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Introduction
"Vous êtes un danger public !"
Je crois bien que c'est le seul compliment que je récolterais si dans la vraie vie je conduisais de la même façon que dans les jeux vidéos. Durant les années 90, l'arrivée de la 3D a littéralement fait exploser la production de jeux vidéo de simulation de course. Cette innovation technique est devenue alors un standard pour tout jeu de course, quelque soit son thème, qui voulait mettre en avant sa qualité. Beaucoup de séries de jeux de course sont nées avec la 3D, notamment les franchises Need for Speed et Moto Racer d'Electronic Arts. Toutefois, d'autres séries du même genre existaient déjà du temps de la 2D et se sont renouvelées grâce à la 3D, je pense à Road Rash (toujours chez Electronic Arts) et à la série qui nous intéresse : Test Drive d'Accolade. Test Drive III : The Passion affichait déjà des décors en 3D. Mais c'était en 1990 et cette 3D n'était pas texturée. Il y a eu un passage à vide de près de sept ans entre la sortie de ce jeu et celle de son petit frère Test Drive 4. Et lorsque celui-ci a déboulé sur PlayStation et sur PC, le bond technique était impressionnant. Mais Test Drive 4, ce n'est pas qu'un bond technique, c'est surtout le renouveau de la série.
Le principe
À l'instar des premiers épisodes de la série Need for Speed, Test Drive 4 vous met aux commandes de voitures de rêve récentes, comme la Dodge Viper; ou plus vieilles, comme la Chevrolet Corvette des années 60. Par contre, la chose qui démarque Test Drive 4 des autres jeux de course, et qui est la marque de fabrique depuis les débuts de la série, est que les courses auxquelles vous participez ne se font pas sur un circuit avec plusieurs tours. En effet, c'est un trajet d'un point A à un point B et il y a quatre checkpoints (représentés par des bannières avec les mots Stage 1, 2, etc) qu'il faut franchir pour récupérer du temps de conduite. Par contre, contrairement à ses aînés, Test Drive 4 se veut plus simple dans ses règles de course. Il n'y a donc plus besoin de faire le plein de carburant et votre voiture est indestructible. Vous pouvez donc percuter les autres concurrents et les civils autant que vous voulez. En dehors de ses quatre championnats et du mode multi-joueurs, Test Drive 4 propose aussi un mode Dragster. Dans ce mode, vous faites la course en ligne droite contre un concurrent.
La réalisation graphique et sonore
Pour avoir joué à l'opus PlayStation et à l'opus PC, je peux vous affirmer une chose : techniquement, la version PC de Test Drive 4 écrase sans difficulté la version PlayStation. Vous vous dites qu'il y a forcément un truc de plus sur PC pour que les choses en soient ainsi, et vous avez raison. Ce petit truc s'appelle la carte 3Dfx et croyez-moi, ça change tout. Grâce à cette carte accélératrice 3D, on peut faire monter la résolution du jeu à 640x480 pixels et toutes les textures sont lissées. Quant à la fluidité, la question ne se pose même pas: l'animation ne souffre d'aucunes saccades. Il y a toutefois un tout petit défaut du point de vue graphique : il arrive que, sur certains circuits, les effets pyrotechniques comme la fumée des pneus ou les étincelles de la carrosserie soient légèrement buggés et entourés de noir, mais ce n'est vraiment pas grave. D'un point de vue sonore, Test Drive 4 n'a rien à envier à son concurrent direct : Need for Speed II. En effet, le doublage du commentateur est excellent, les bruitages sont dans l'ensemble tout à fait convaincants, et les morceaux techno collent très bien aux courses.
La jouabilité et la durée de vie
S'il y a bien UN truc qu'il ne faut surtout pas louper si on veut qu'un jeu de course devienne un hit, c'est bien la jouabilité. De ce côté-là, Test Drive 4 s'en sort de façon remarquable. La conduite est certes beaucoup plus arcade que dans les précédents volets, mais elle n'est pas simpliste pour autant. Il y a pas mal de subtilités qu'il faut connaître pour en mettre plein la vue aux adversaires. Je ne vais en citer qu'une : le démarrage. Ça n'a l'air de rien comme ça, et pourtant cela peut faire la différence en course, notamment en Dragster (c'est évident ^^). Si vous accélérez trop fort lors du démarrage, votre voiture va patiner sur place et ne va pas avancer, ainsi votre démarrage sera complètement loupé et vous perdrez du terrain et du temps sur vos concurrents. Pour ce qui est du contenu, on peut dire que les développeurs ne se sont pas moqués du consommateur. Il y a quatre championnats à parcourir, plus le mode Dragster ainsi que le mode multi-joueur, ce dernier étant quand même assez anecdotique. C'est beaucoup plus que dans les précédents volets qui ne proposaient qu'un seul championnat assez court, où seule la difficulté rythmait la durée de vie.
Conclusion
Test Drive 4 est sorti après une longue absence depuis le troisième opus, mais on peut dire que ce jeu a sauvé la saga Test Drive, et pas à moitié en plus. Avec ses superbes graphismes, sa jouabilité arcade qui n'est toutefois pas simpliste, ainsi que son contenu assez conséquent, Test drive 4 offre une excellente alternative à son concurrent direct, j'ai nommé Need for Speed II, et mérite parfaitement son abandonware d'or.
Anecdote intéressante
Un des arguments marketing d'Accolade pour vendre Test Drive 4 était que les circuits étaient inspirés d'endroits réels dans des villes connues comme Kyoto, Washington, etc. Ce qui a moins été mis en avant est qu'une section du circuit de San Francisco est directement inspirée (voire copiée) d'un autre jeu : San Francisco Rush : Extreme Racing. Il s'agit d'un jeu de course qui est sorti sur arcade, PlayStation et Nintendo 64. Quant à la section qui a été reprise, il s'agit d'une montée avec plusieurs sauts.
Technique
Jeu testé dans sa version 3Dfx sur l'émulateur PCem avec Windows 98. Montez l'image du jeu dans le lecteur de l'émulateur puis lancez l'installation. Durant celle-ci choisissez l'option 3Dfx, le dossier sera plus volumineux, mais ça vaut le coup quand même vu les améliorations graphiques.
Complétez cette fiche
Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.
Des questions ? besoin d'aide ?
Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

"Vous êtes un danger public !"
Je crois bien que c'est le seul compliment que je récolterais si dans la vraie vie je conduisais de la même façon que dans les jeux vidéos. Durant les années 90, l'arrivée de la 3D a littéralement fait exploser la production de jeux vidéo de simulation de course. Cette innovation technique est devenue alors un standard pour tout jeu de course, quelque soit son thème, qui voulait mettre en avant sa qualité. Beaucoup de séries de jeux de course sont nées avec la 3D, notamment les franchises Need for Speed et Moto Racer d'Electronic Arts. Toutefois, d'autres séries du même genre existaient déjà du temps de la 2D et se sont renouvelées grâce à la 3D, je pense à Road Rash (toujours chez Electronic Arts) et à la série qui nous intéresse : Test Drive d'Accolade. Test Drive III : The Passion affichait déjà des décors en 3D. Mais c'était en 1990 et cette 3D n'était pas texturée. Il y a eu un passage à vide de près de sept ans entre la sortie de ce jeu et celle de son petit frère Test Drive 4. Et lorsque celui-ci a déboulé sur PlayStation et sur PC, le bond technique était impressionnant. Mais Test Drive 4, ce n'est pas qu'un bond technique, c'est surtout le renouveau de la série.

À l'instar des premiers épisodes de la série Need for Speed, Test Drive 4 vous met aux commandes de voitures de rêve récentes, comme la Dodge Viper; ou plus vieilles, comme la Chevrolet Corvette des années 60. Par contre, la chose qui démarque Test Drive 4 des autres jeux de course, et qui est la marque de fabrique depuis les débuts de la série, est que les courses auxquelles vous participez ne se font pas sur un circuit avec plusieurs tours. En effet, c'est un trajet d'un point A à un point B et il y a quatre checkpoints (représentés par des bannières avec les mots Stage 1, 2, etc) qu'il faut franchir pour récupérer du temps de conduite. Par contre, contrairement à ses aînés, Test Drive 4 se veut plus simple dans ses règles de course. Il n'y a donc plus besoin de faire le plein de carburant et votre voiture est indestructible. Vous pouvez donc percuter les autres concurrents et les civils autant que vous voulez. En dehors de ses quatre championnats et du mode multi-joueurs, Test Drive 4 propose aussi un mode Dragster. Dans ce mode, vous faites la course en ligne droite contre un concurrent.

Pour avoir joué à l'opus PlayStation et à l'opus PC, je peux vous affirmer une chose : techniquement, la version PC de Test Drive 4 écrase sans difficulté la version PlayStation. Vous vous dites qu'il y a forcément un truc de plus sur PC pour que les choses en soient ainsi, et vous avez raison. Ce petit truc s'appelle la carte 3Dfx et croyez-moi, ça change tout. Grâce à cette carte accélératrice 3D, on peut faire monter la résolution du jeu à 640x480 pixels et toutes les textures sont lissées. Quant à la fluidité, la question ne se pose même pas: l'animation ne souffre d'aucunes saccades. Il y a toutefois un tout petit défaut du point de vue graphique : il arrive que, sur certains circuits, les effets pyrotechniques comme la fumée des pneus ou les étincelles de la carrosserie soient légèrement buggés et entourés de noir, mais ce n'est vraiment pas grave. D'un point de vue sonore, Test Drive 4 n'a rien à envier à son concurrent direct : Need for Speed II. En effet, le doublage du commentateur est excellent, les bruitages sont dans l'ensemble tout à fait convaincants, et les morceaux techno collent très bien aux courses.

S'il y a bien UN truc qu'il ne faut surtout pas louper si on veut qu'un jeu de course devienne un hit, c'est bien la jouabilité. De ce côté-là, Test Drive 4 s'en sort de façon remarquable. La conduite est certes beaucoup plus arcade que dans les précédents volets, mais elle n'est pas simpliste pour autant. Il y a pas mal de subtilités qu'il faut connaître pour en mettre plein la vue aux adversaires. Je ne vais en citer qu'une : le démarrage. Ça n'a l'air de rien comme ça, et pourtant cela peut faire la différence en course, notamment en Dragster (c'est évident ^^). Si vous accélérez trop fort lors du démarrage, votre voiture va patiner sur place et ne va pas avancer, ainsi votre démarrage sera complètement loupé et vous perdrez du terrain et du temps sur vos concurrents. Pour ce qui est du contenu, on peut dire que les développeurs ne se sont pas moqués du consommateur. Il y a quatre championnats à parcourir, plus le mode Dragster ainsi que le mode multi-joueur, ce dernier étant quand même assez anecdotique. C'est beaucoup plus que dans les précédents volets qui ne proposaient qu'un seul championnat assez court, où seule la difficulté rythmait la durée de vie.

Test Drive 4 est sorti après une longue absence depuis le troisième opus, mais on peut dire que ce jeu a sauvé la saga Test Drive, et pas à moitié en plus. Avec ses superbes graphismes, sa jouabilité arcade qui n'est toutefois pas simpliste, ainsi que son contenu assez conséquent, Test drive 4 offre une excellente alternative à son concurrent direct, j'ai nommé Need for Speed II, et mérite parfaitement son abandonware d'or.

Un des arguments marketing d'Accolade pour vendre Test Drive 4 était que les circuits étaient inspirés d'endroits réels dans des villes connues comme Kyoto, Washington, etc. Ce qui a moins été mis en avant est qu'une section du circuit de San Francisco est directement inspirée (voire copiée) d'un autre jeu : San Francisco Rush : Extreme Racing. Il s'agit d'un jeu de course qui est sorti sur arcade, PlayStation et Nintendo 64. Quant à la section qui a été reprise, il s'agit d'une montée avec plusieurs sauts.

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