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Paris-Marseille Racing II
Titre anglais
London Racer II
Titre allemand
Autobahn Raser IV Mit Vollgas Durch Die Innenstadt
Date de sortie
25/10/2002 (
)

Genre
Développement
Édition
Systèmes





Multijoueurs

#circuit #decors3dtext #france #objets3dtext #scrollmulti #voiture #vuedos
Un jeu de course vite fait !
Attachez vos ceintures parce que ça va aller vite. Paris-Marseille Racing II c'est : 3... 2... 1... GO ! 3 modes de jeu, 6 courses, 14 véhicules et c'est le FINISH !
Alors on est accueilli ici grâce à une cinématique et ses graphismes plutôt orientés PS1 ou Nintendo 64, pas très rassurants pour la suite. Passons, ce n'est pas grave parce que vous êtes déchaînés rien qu'à l'idée de prendre en fond de 6 les péages de l'autoroute A6 et A7 pour rejoindre Paris ou Marseille ? Et bien non.
On débute le jeu avec des courses en France : Paris, Marseille, Lyon et ... ce sera tout pour les villes françaises. Chaque ville ne contient pas une mais deux courses, qui tournent en rond et qui sont en fait les mêmes tracés, l'un à l'endroit et l'autre à l'envers. Pour parcourir ces villes nous avons à notre disposition sept véhicules associés chacun à un pilote particulier. De quoi envoyer dans le décor Gran Turismo 3 : A-spec , sorti l'année d'avant, avec ses 180 véhicules et ses 35 circuits (c'est faux).
Le mode Tournoi est le mode de jeu qui vous permettra de débloquer finalement 3 autres villes qui n'ont rien à voir mais pourquoi pas : Londres, Edimbourg et Las Vegas, avec des courses recyclées d'anciens opus de chez Davilex ainsi que 7 autres véhicules plus sportifs associés chacun aux 7 pilotes déjà présents. Ce mode nous permettra aussi de récolter de l'argent et d'améliorer notre véhicule de base. Chaque upgrade améliorera le design de notre véhicule et le rendra plus agressif.
Le mode Course simple permet de choisir rapidement sa voiture et de se lancer dans la course de son choix et le mode Contre la montre permet de réaliser des chronos et d'essayer de battre son meilleur temps et son fantôme associé. A deux, on a droit au mode Duel qui est le mode Course simple et Poursuite où l'un incarne la police et doit arrêter l'autre.
Dans n'importe quel mode, tout au long de la course il sera nécessaire de gérer les dégâts de son véhicule ainsi que le boost, en ramassant des items plus ou moins cachés, tout en évitant la police et le trafic très peu présents.
Un jeu qui tient la route ?
L'intention était très louable de vouloir modéliser des villes françaises, ce qui est rare dans un jeu vidéo, mais elles sont très simplifiées et présentent cinq ou six grands monuments distincts. Par exemple, pour Paris, nous démarrons à la pyramide du Louvre, trois virages plus tard, la tour Eiffel puis deux virages après, la butte Montmartre, et on arrive à l'Arc de Triomphe.
Les trois adversaires que nous affrontons suivent, quoi qu'il en coûte, leur tracé. Ce qui donne lieu à de belles cascades préméditées. Certains objets comme les lampadaires sont destructibles, mais ne font absolument pas vaciller notre véhicule à l'impact. Lorsque nous accrochons un obstacle ou un concurrent, un petit ralenti se fait sentir à l'écran, de quoi faire pâlir un certain Burnout 2 : Point of Impact sorti la même année (ce n'est pas vrai). Idem pour l'incroyable sensation de vitesse lorsque nous déclenchons le boost (pas vrai non plus) et la pêche que saura vous donner l'animateur radio à l'antenne (toujours pas).
Ne vous attendez pas à pouvoir faire des collisions tactiques pour tenter d'envoyer vos adversaires dans le décor, la physique aléatoire du jeu ne vous le permettra pas. Notre voiture au comportement routier semblable à un cube en polystyrène est tout le temps à fond, mais seul le compteur indiquant les 257 km/h nous fera dire que nous allons terriblement vite.
Ajoutez à cela des écrans de chargement assez moches pourvus d'une jauge de chargement d'un joli marron et une traduction française remplie de phautes d'hortografes et vous aurez devant vous, THE abandonware d'or (c'est faux aussi).
Lancement
Jeu prévu pour fonctionner avec Win 98 ou XP. Mais si vous préférez utiliser la version automatique mise au point par la team, c'est simple : selon la formule consacrée, téléchargez, installez et jouez !
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Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.
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Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

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Alors on est accueilli ici grâce à une cinématique et ses graphismes plutôt orientés PS1 ou Nintendo 64, pas très rassurants pour la suite. Passons, ce n'est pas grave parce que vous êtes déchaînés rien qu'à l'idée de prendre en fond de 6 les péages de l'autoroute A6 et A7 pour rejoindre Paris ou Marseille ? Et bien non.
On débute le jeu avec des courses en France : Paris, Marseille, Lyon et ... ce sera tout pour les villes françaises. Chaque ville ne contient pas une mais deux courses, qui tournent en rond et qui sont en fait les mêmes tracés, l'un à l'endroit et l'autre à l'envers. Pour parcourir ces villes nous avons à notre disposition sept véhicules associés chacun à un pilote particulier. De quoi envoyer dans le décor Gran Turismo 3 : A-spec , sorti l'année d'avant, avec ses 180 véhicules et ses 35 circuits (c'est faux).
Le mode Tournoi est le mode de jeu qui vous permettra de débloquer finalement 3 autres villes qui n'ont rien à voir mais pourquoi pas : Londres, Edimbourg et Las Vegas, avec des courses recyclées d'anciens opus de chez Davilex ainsi que 7 autres véhicules plus sportifs associés chacun aux 7 pilotes déjà présents. Ce mode nous permettra aussi de récolter de l'argent et d'améliorer notre véhicule de base. Chaque upgrade améliorera le design de notre véhicule et le rendra plus agressif.
Le mode Course simple permet de choisir rapidement sa voiture et de se lancer dans la course de son choix et le mode Contre la montre permet de réaliser des chronos et d'essayer de battre son meilleur temps et son fantôme associé. A deux, on a droit au mode Duel qui est le mode Course simple et Poursuite où l'un incarne la police et doit arrêter l'autre.
Dans n'importe quel mode, tout au long de la course il sera nécessaire de gérer les dégâts de son véhicule ainsi que le boost, en ramassant des items plus ou moins cachés, tout en évitant la police et le trafic très peu présents.

L'intention était très louable de vouloir modéliser des villes françaises, ce qui est rare dans un jeu vidéo, mais elles sont très simplifiées et présentent cinq ou six grands monuments distincts. Par exemple, pour Paris, nous démarrons à la pyramide du Louvre, trois virages plus tard, la tour Eiffel puis deux virages après, la butte Montmartre, et on arrive à l'Arc de Triomphe.
Les trois adversaires que nous affrontons suivent, quoi qu'il en coûte, leur tracé. Ce qui donne lieu à de belles cascades préméditées. Certains objets comme les lampadaires sont destructibles, mais ne font absolument pas vaciller notre véhicule à l'impact. Lorsque nous accrochons un obstacle ou un concurrent, un petit ralenti se fait sentir à l'écran, de quoi faire pâlir un certain Burnout 2 : Point of Impact sorti la même année (ce n'est pas vrai). Idem pour l'incroyable sensation de vitesse lorsque nous déclenchons le boost (pas vrai non plus) et la pêche que saura vous donner l'animateur radio à l'antenne (toujours pas).
Ne vous attendez pas à pouvoir faire des collisions tactiques pour tenter d'envoyer vos adversaires dans le décor, la physique aléatoire du jeu ne vous le permettra pas. Notre voiture au comportement routier semblable à un cube en polystyrène est tout le temps à fond, mais seul le compteur indiquant les 257 km/h nous fera dire que nous allons terriblement vite.
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