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#arcade #decors2dbitmap #decors2dbitmap #police #rongeur #vuelater
A vot' bon coeur, messieurs dames !
Mappy c'est une pépite qui arrive tout droit de vos souvenirs d'enfance ou d'adolescence. A vous qui avez séché vos cours de maths pour aller à la salle d'arcade, avec l'argent de poche dominical de mémé, vous qui avez tout cramé dans les petites bornes pleines de couleurs qui attiraient votre attention avec des musiques et autres sonorités cristallines, ce jeu va certainement réveiller votre conscience endormie. Il y avait toujours un gros nuage de fumée grise, des mégots qui se consumaient dans les cendriers à côté des boutons On et Off. Vous avez forcément joué à Space Invaders, Pac-Man ou Galaxian, mais Dig Dug et Mappy étaient de grands outsiders, planqués à côté du Juke-Box et à proximité du Baby foot.
Aujourd'hui, c'est de Mappy que l'on parle, dans ce test, portage Windows de 1999 de l'original de la borne d'arcade lancée en 1983.
Mappy c'est le nom d'une souris policière. Une sacrée fouine en vérité : elle enquête sur un gang de matous relou qui ont dérobé des trésors qu'ils ont stockés quelque part : Nyamco, le chef de ce gang, dispose d'un manoir où les couloirs labyrinthiques abritent ces richesses : des tableaux de maîtres, des ordinateurs, du matériel électronique.
Vous devez arpenter les corridors sur les six étages du manoir, et collecter les bonus sans croiser la route des Meowkins, les vilains chats du gang.
Attention, pas d'escaliers pour monter, Nyamco a pensé à tout : il a installé des trampolines pour permettre de grimper. Des trampolines fragiles, qui cassent net après quatre sauts successifs. Et il a criblé ses couloirs de portes qu'il faut ouvrir, ce qui fait perdre du temps, et parfois qui font reculer d'un pas, ce qui permet d'être rattrapé par les gangsters.
Pour mettre hors d'état de nuire vos poursuivants, pas de gros flingue ni de magie : il faudra être malin, fuir dans les bonnes directions, et ouvrir à bon escient les portes qui assomment ou celles qui délivrent des ondes électriques qui neutralisent les meowkins.
Mais si vous traînez trop, un mode "Hurry up" se déclenche, avec des ennemis plus nombreux et plus rapides. Et dans l'ultime acte, un disque en forme de pièce de monnaie (sorte de clin d'oeil au Game Over qui se prépare, appelant le joueur à glisser une pièce dans le monnayeur) se lance à vos trousses, avec une invulnérabilité qui force votre sang froid à rester d'actualité.
De temps en temps, un niveau bonus vous donnera l'occasion de rebondir de trampoline en trampoline pour crever des ballons et faire grimper le score. Et tous les 20 000 points, une vie supplémentaire viendra s'ajouter à votre capital.
Attention, le jeu est addictif et plaisant, mais qu'est-ce qu'il est difficile ! Certaines (mauvaises) langues ont avancé l'idée que cette difficulté avait été programmée pour faire du fric avec les joueurs. Soit ! Mais le jeu, d'autant plus redoutable que le portage passe en mode fenêtré (pour ne pas dire timbre-poste) et que chaque partie vous fait recommencer à zéro, risque de lasser les plus patients. Le jeu est réputé pour posséder 256 niveaux, ce qui est quasi impossible quand on sait qu'il faut à chaque fois recommencer au premier tableau ! Mention spéciale à la musique, jazzy et enjouée mais qui finira par vous lasser.
Trivia
Le concepteur du jeu est Hiroshi Ono, dit Mister Dotman. S'il a travaillé sur de multiples jeux d'arcade de l'âge d'or des bornes d'arcade, Mappy est son vrai bébé. Alors que ce test se termine en ce 30/11/2021, j'apprends que ce grand monsieur est juste décédé le 16 octobre dernier. En jouant à ce jeu, vous ne ferez pas que lui rendre hommage, vous participerez à la construction de sa légende devant l'éternité.
Commandes
F2 = Ajouter un crédit
F3 Lancer une partie 1 joueur
6 ou 4 pavé numérique : Se déplacer
Barre espace : Sauter, ouvrir une porte
Attentions aux autres commandes du menu, elles sont invalides.
Lancement
Utilisez la version automatique, elle est pratique et fonctionnelle. Par contre, le jeu ne veut pas se lancer en mode "Full Screen". Rien à faire dans la limite de nos connaissances.
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Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.
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Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

Mappy c'est une pépite qui arrive tout droit de vos souvenirs d'enfance ou d'adolescence. A vous qui avez séché vos cours de maths pour aller à la salle d'arcade, avec l'argent de poche dominical de mémé, vous qui avez tout cramé dans les petites bornes pleines de couleurs qui attiraient votre attention avec des musiques et autres sonorités cristallines, ce jeu va certainement réveiller votre conscience endormie. Il y avait toujours un gros nuage de fumée grise, des mégots qui se consumaient dans les cendriers à côté des boutons On et Off. Vous avez forcément joué à Space Invaders, Pac-Man ou Galaxian, mais Dig Dug et Mappy étaient de grands outsiders, planqués à côté du Juke-Box et à proximité du Baby foot.
Aujourd'hui, c'est de Mappy que l'on parle, dans ce test, portage Windows de 1999 de l'original de la borne d'arcade lancée en 1983.
Mappy c'est le nom d'une souris policière. Une sacrée fouine en vérité : elle enquête sur un gang de matous relou qui ont dérobé des trésors qu'ils ont stockés quelque part : Nyamco, le chef de ce gang, dispose d'un manoir où les couloirs labyrinthiques abritent ces richesses : des tableaux de maîtres, des ordinateurs, du matériel électronique.
Vous devez arpenter les corridors sur les six étages du manoir, et collecter les bonus sans croiser la route des Meowkins, les vilains chats du gang.
Attention, pas d'escaliers pour monter, Nyamco a pensé à tout : il a installé des trampolines pour permettre de grimper. Des trampolines fragiles, qui cassent net après quatre sauts successifs. Et il a criblé ses couloirs de portes qu'il faut ouvrir, ce qui fait perdre du temps, et parfois qui font reculer d'un pas, ce qui permet d'être rattrapé par les gangsters.
Pour mettre hors d'état de nuire vos poursuivants, pas de gros flingue ni de magie : il faudra être malin, fuir dans les bonnes directions, et ouvrir à bon escient les portes qui assomment ou celles qui délivrent des ondes électriques qui neutralisent les meowkins.
Mais si vous traînez trop, un mode "Hurry up" se déclenche, avec des ennemis plus nombreux et plus rapides. Et dans l'ultime acte, un disque en forme de pièce de monnaie (sorte de clin d'oeil au Game Over qui se prépare, appelant le joueur à glisser une pièce dans le monnayeur) se lance à vos trousses, avec une invulnérabilité qui force votre sang froid à rester d'actualité.
De temps en temps, un niveau bonus vous donnera l'occasion de rebondir de trampoline en trampoline pour crever des ballons et faire grimper le score. Et tous les 20 000 points, une vie supplémentaire viendra s'ajouter à votre capital.
Attention, le jeu est addictif et plaisant, mais qu'est-ce qu'il est difficile ! Certaines (mauvaises) langues ont avancé l'idée que cette difficulté avait été programmée pour faire du fric avec les joueurs. Soit ! Mais le jeu, d'autant plus redoutable que le portage passe en mode fenêtré (pour ne pas dire timbre-poste) et que chaque partie vous fait recommencer à zéro, risque de lasser les plus patients. Le jeu est réputé pour posséder 256 niveaux, ce qui est quasi impossible quand on sait qu'il faut à chaque fois recommencer au premier tableau ! Mention spéciale à la musique, jazzy et enjouée mais qui finira par vous lasser.

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