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#creatperso #curseur #decors2dbitmap #equipe #explor #fantasy #objets2dbitmap #vuehaute
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Créé en 1992 par Thalion Software pour l'Amiga, Amberstar fut aussi réalisé dans la foulée pour le PC et l'Atari ST. Ce jeu de rôle médiéval fantastique connut un vif succès qui ne s'est jamais démenti. Il eut une suite Ambermoon qui, malheureusement, ne rencontra pas le même intérêt et resta très longtemps uniquement en allemand. Par contre, Dragonflight, la préquelle d'Ambermoon, premier jeu de rôle de la compagnie, existe aussi sur PC, Amiga et Atari ST en français, en allemand et en anglais.
Un RPG classique
Le jeu débute par une création de personnage très basique. Votre avatar est défini par les attributs habituels : force, intelligence, dextérité, constitution, etc. Ces caractéristiques sont tirées au hasard et vous pouvez relancer les dés virtuels autant de fois que vous le souhaitez. Lorsque le tirage vous conviendra, il vous suffira de nommer votre personnage et c'est fini. Pas de choix de races, ni de classes alors qu'elles existent dans le jeu. Ce n'est clairement pas la partie la plus intéressante de l'aventure !
Vous commencez la partie dans le cimetière de Twinlake où vous venez d'enterrer vos parents. Désoeuvré et l'âme en peine, vous errez dans le cimetière puis dans la ville. En chemin, vous parlez à des tas de gens qui vous donnent des renseignements ou vous demandent un service jusqu'à ce que vous arriviez chez Shandra un magicien qui vous confie une tâche très importante, contrecarrer les plans d'un autre magot, Marmion qui essaie de libérer Tarbos, le dieu du chaos, exilé hors de la Terre grâce à l'Amberstar, une pierre magique créée à cet effet et qui fut ensuite brisée en treize morceaux éparpillés dans le monde. Vous devez évidemment reconstituer cet objet magique pour triompher. Si vous voulez en savoir plus, il faut lire la nouvelle qui accompagne la documentation et raconte l'histoire de ce fils du chaos.
Un simulation complète mais parfois complexe
L'écran se divise en trois grandes parties :
- Une bande horizontale en haut de l'écran qui contient les icônes des personnages.
- A gauche, la fenêtre graphique qui se présente de trois manières différentes : une vue à vol d'oiseau réservée aux voyages à l'extérieur des villes mais aussi lors de la visite de certains lieux, une autre en fausse 3D pour les "labyrinthes", c'est à dire les villes et les donjons et une dernière en forme de damier spécifique au combat.
- Sur la droite, les interactions avec le décor : un pavé en bas contient les flèches de direction qui se transforment d'un clic en icônes utiles à l'exploration. À propos des déplacements, il existe plusieurs manières de faire avancer votre personnage, le pavé de direction préalablement cité mais aussi les touches fléchées du clavier ou directement sur la fenêtre graphique en bougeant la souris.
Il existe aussi de nombreux écrans dévolus à certaines tâches comme l'ouverture des serrures par exemple. L'ergonomie du jeu même si elle date un peu reste de bonne qualité pour peu que l'on ne soit pas un joueur impatient. Le seul réel point noir du jeu est l'existence d'une seule sauvegarde.
Un héros triste et désoeuvré
Au début de l'aventure, vous êtes livré à vous-même mais les choses se clarifient pendant votre errance dans la ville et rapidement, vous vous fixerez des objectifs. Ici, encore, il faut être méticuleux, fouiller partout, interroger tout le monde et noter ce qu'ils vous disent car il n'y a pas de journal intégré. Pour les déplacements, il ne sera peut-être pas obligatoire de vous lancer dans la cartographie. En effet, pour les voyages en extérieur, le jeu est fourni avec une carte du monde et lors de l'exploration des labyrinthes, il y a une "automap" qui n'est malheureusement pas annotée. Les combats sont assez mortels surtout au début (ne vous y lancez pas avant d'avoir réuni une solide équipe) mais c'est la seule manière de gagner de l'expérience que vous convertirez en points de compétence dans les guildes diverses moyennant de l'argent.
Lisez la doc !
Les personnages se déplacent avec aisance dans un décor en VGA 256 couleurs avec un rendu lumineux. La musique utilise les cartes-sons du PC et est, à proprement parler, excellente. La documentation fournie avec le jeu est très complète, il vaut mieux la lire attentivement avant de commencer la partie, ne serait-ce pour se familiariser avec toutes les abréviations utilisées dans le jeu !
Des versions équivalentes
Les trois versions Amiga, Atari ST et PC se valent avec peut-être un léger avantage à la version Amiga. Pour de plus amples informations sur ces trois versions, je vous conseille de visiter The Thalion Webshrine, le site de référence pour les jeux Thalion. Le jeu doit d'abord être installé sur disque dur dans tous les cas ce qui complexifie l'installation surtout sur Amiga et Atari ST. Sur PC, l'installation ne fonctionne que sur un vrai PC de l'époque cependant, comme il suffit de copier les fichiers dans un répertoire que vous émulerez en disque dur avec DOSBox, ce n'est pas bien gênant. Le seul inconvénient, c'est que vous ne pourrez pas créer de nouveau personnage, sauf si vous copiez dans le répertoire le fichier MAKECHAR.EXE qui sera fourni avec l'archive. Malheureusement ce programme ne fonctionne qu'avec DOSBox 0.74,et plante avec DOSBox-X. Si vous souhaitez utiliser DOSBox-x pour profiter des sauvegardes proposées, vous créerez votre personnage avec DOSBox 0.74 puis vous recopierez le répertoire dans le disque dur virtuel de l'autre émulateur, cela devrait fonctionner sans problème.
Fabrice Debaque

Le jeu débute par une création de personnage très basique. Votre avatar est défini par les attributs habituels : force, intelligence, dextérité, constitution, etc. Ces caractéristiques sont tirées au hasard et vous pouvez relancer les dés virtuels autant de fois que vous le souhaitez. Lorsque le tirage vous conviendra, il vous suffira de nommer votre personnage et c'est fini. Pas de choix de races, ni de classes alors qu'elles existent dans le jeu. Ce n'est clairement pas la partie la plus intéressante de l'aventure !
Vous commencez la partie dans le cimetière de Twinlake où vous venez d'enterrer vos parents. Désoeuvré et l'âme en peine, vous errez dans le cimetière puis dans la ville. En chemin, vous parlez à des tas de gens qui vous donnent des renseignements ou vous demandent un service jusqu'à ce que vous arriviez chez Shandra un magicien qui vous confie une tâche très importante, contrecarrer les plans d'un autre magot, Marmion qui essaie de libérer Tarbos, le dieu du chaos, exilé hors de la Terre grâce à l'Amberstar, une pierre magique créée à cet effet et qui fut ensuite brisée en treize morceaux éparpillés dans le monde. Vous devez évidemment reconstituer cet objet magique pour triompher. Si vous voulez en savoir plus, il faut lire la nouvelle qui accompagne la documentation et raconte l'histoire de ce fils du chaos.

L'écran se divise en trois grandes parties :
- Une bande horizontale en haut de l'écran qui contient les icônes des personnages.
- A gauche, la fenêtre graphique qui se présente de trois manières différentes : une vue à vol d'oiseau réservée aux voyages à l'extérieur des villes mais aussi lors de la visite de certains lieux, une autre en fausse 3D pour les "labyrinthes", c'est à dire les villes et les donjons et une dernière en forme de damier spécifique au combat.
- Sur la droite, les interactions avec le décor : un pavé en bas contient les flèches de direction qui se transforment d'un clic en icônes utiles à l'exploration. À propos des déplacements, il existe plusieurs manières de faire avancer votre personnage, le pavé de direction préalablement cité mais aussi les touches fléchées du clavier ou directement sur la fenêtre graphique en bougeant la souris.
Il existe aussi de nombreux écrans dévolus à certaines tâches comme l'ouverture des serrures par exemple. L'ergonomie du jeu même si elle date un peu reste de bonne qualité pour peu que l'on ne soit pas un joueur impatient. Le seul réel point noir du jeu est l'existence d'une seule sauvegarde.

Au début de l'aventure, vous êtes livré à vous-même mais les choses se clarifient pendant votre errance dans la ville et rapidement, vous vous fixerez des objectifs. Ici, encore, il faut être méticuleux, fouiller partout, interroger tout le monde et noter ce qu'ils vous disent car il n'y a pas de journal intégré. Pour les déplacements, il ne sera peut-être pas obligatoire de vous lancer dans la cartographie. En effet, pour les voyages en extérieur, le jeu est fourni avec une carte du monde et lors de l'exploration des labyrinthes, il y a une "automap" qui n'est malheureusement pas annotée. Les combats sont assez mortels surtout au début (ne vous y lancez pas avant d'avoir réuni une solide équipe) mais c'est la seule manière de gagner de l'expérience que vous convertirez en points de compétence dans les guildes diverses moyennant de l'argent.

Les personnages se déplacent avec aisance dans un décor en VGA 256 couleurs avec un rendu lumineux. La musique utilise les cartes-sons du PC et est, à proprement parler, excellente. La documentation fournie avec le jeu est très complète, il vaut mieux la lire attentivement avant de commencer la partie, ne serait-ce pour se familiariser avec toutes les abréviations utilisées dans le jeu !

Les trois versions Amiga, Atari ST et PC se valent avec peut-être un léger avantage à la version Amiga. Pour de plus amples informations sur ces trois versions, je vous conseille de visiter The Thalion Webshrine, le site de référence pour les jeux Thalion. Le jeu doit d'abord être installé sur disque dur dans tous les cas ce qui complexifie l'installation surtout sur Amiga et Atari ST. Sur PC, l'installation ne fonctionne que sur un vrai PC de l'époque cependant, comme il suffit de copier les fichiers dans un répertoire que vous émulerez en disque dur avec DOSBox, ce n'est pas bien gênant. Le seul inconvénient, c'est que vous ne pourrez pas créer de nouveau personnage, sauf si vous copiez dans le répertoire le fichier MAKECHAR.EXE qui sera fourni avec l'archive. Malheureusement ce programme ne fonctionne qu'avec DOSBox 0.74,et plante avec DOSBox-X. Si vous souhaitez utiliser DOSBox-x pour profiter des sauvegardes proposées, vous créerez votre personnage avec DOSBox 0.74 puis vous recopierez le répertoire dans le disque dur virtuel de l'autre émulateur, cela devrait fonctionner sans problème.
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