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Nil dieu vivant
Titre anglais
Day of the Pharaoh
Date de sortie
1989 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution en Allemagne
Systèmes

Dosbox
Compatible avec la version 0.74
#antiquite #bateau #commerce #decors2dbitmap #egypte #objets2dbitmap
Présentation
Pharaon, ça devait vraiment être un bon job. La protection de dieux garantissait l'impunité, vous aviez un peuple réduit à l'esclavage pour vous construire une immense résidence secondaire pour l'éternité (avec quelques pièges pour les éventuelles futures pilleuses de tombes qui viendraient trouble votre repos millénnaire), il y avait des chats partout, vous pouviez mener des guerres comme bon vous semblait... Mais on n'échappait pas pour autant aux épidémies ou aux complots fomentés par quelques jaloux qui convoiteraient le poste. Et c'est précisément ce qui vient d'arriver : le pharaon vient d'être exécuté, ainsi que toute sa descendance (tant qu'à faire), à l'exception d'un rejeton qui a réussi à s'enfuir. Le dieu Osiris apparaît devant lui et, plutôt que de lui donner des super-pouvoirs, il lui offre 3000 cicles d'argent et un voilier. Il va maintenant falloir reconquérir le trône, et pour cela, le piston ne sera d'aucun aide, il faudra faire vos preuves - et vous vous doutez bien que le poste de pharaon ne requiert pas les mêmes qualifications que celui de DRH pour Ben Hur Motors.
Nil dieu vivant est le deuxième de jeu d'action/aventure historique de Chip, avec la même équipe (et toujours un certain Éric Chahi au graphisme), la même influence Cinemaware et les mêmes défauts typiques de l'époque. Par exemple, le mode d'emploi se résume au strict minimum : il résume simplement ce qu'on attend de vous en expliquant à peine les écrans du jeu, leurs icônes et leur fonctionnement. Pour résumer : l'écran principal permet de construire des voiliers et des chars (très important : si vous les perdez tous, le jeu est terminé), embaucher un comptable, ajouter un épouse à votre harem (mais il faut payer la dot et organiser le banquet), faire une offrande à un des douze dieux (soyez généreux), attaquer une des trois tribus à dominer (Bédouins, Hyksos et Nubiens), et enfin construire des entrepôts, des bâtiments et, si vous pouvez vous le permettre, une pyramide. Attention, certaines de ces options sont bloquées tant que vous n'avez pas atteint un certain rang social (pas explicitement indiqué à l'écran, d'ailleurs).
Pour faire tout cela, vous devrez avoir un gros stock de richesses stockées dans vos entrepôts. L'icône de navigation affiche la carte. En cliquant sur un voilier, vous pouvez sélectionner les flèches pour descendre ou remonter le Nil, ou cliquer sur le nom d'un port pour accéder à son comptoir commercial, où vous pourrez acheter et vendre des marchandises avec un boulier. Là encore, rien n'est décrit dans le manuel. Les écrans d'achat et de vente affichent les stocks et la demande - je suppose - pour chaque marchandise, mais leur prix n'apparaît nulle part ! La signification des icônes n'apparaît que dans le manuel, sans doute pour décourager les pirates. De gauche à droite, ce sont : or, argent, cuivre, étain, calcaire, granit, albâtre, bois, ivoire, émeraudes, turquoises, esclaves, chevaux, céréales, huile, vin, bière.
Comme tout jeu à la sauce Cinemaware, Nil dieu vivant a des mini-scènes d'action répétitives et pénibles. Une attaque donne lieu à une séquence en char au cours de laquelle il faut tirer sur un certain nombre d'ennemis défilant en arrière-plan (ce nombre est affiché en haut à droite). Vous pourriez croire que vous avez la possibilité d'esquiver les flèches adverse en déplaçant le char vers la gauche ou la droite, mais pas du tout : vous ne pouvez rien esquiver du tout, vous devez vous dépêcher de tuer votre quota d'ennemis si vous ne voulez pas mourir. Je vous donne un indice : pour toucher un ennemi à coup sûr, tirez lorsqu'il se trouve pile au milieu de la moitié droite de l'écran, entre deux palmiers (voir la capture d'écran). Visez le même emplacement dans les autres décors. Lors d'un trajet en bateau, il faut louvoyer entre les rochers, et parfois repousser des pirates à coups de rame. Il faut les frapper précisément quand ils montrent leur tête après avoir gravi la coque; une fois sur le pont, impossible de les repousser ! Enfin, un pari sur une cargaison se fait par une course de chameaux qui vous obligera à marteler très vite les touches gauche et droite, comme au pas si bon vieux temps des jeux d'épreuves olympiques.
Cette version PC a une réalisation correcte pour l'époque. Les graphismes EGA sont passables, et le haut-parleur interne réussit à cracher des samples de musiques de péplum. Je pourrais vous conseiller d'essayer plutôt la version Amiga, qui est bien plus jolie. Le problème, c'est qu'elle contient aussi un joli virus offert par la maison Chip dans tous les exemplaires du jeu ! Un triste exemple du manque de sérieux qui plombait l'industrie vidéoludique française des années 80.
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Pharaon, ça devait vraiment être un bon job. La protection de dieux garantissait l'impunité, vous aviez un peuple réduit à l'esclavage pour vous construire une immense résidence secondaire pour l'éternité (avec quelques pièges pour les éventuelles futures pilleuses de tombes qui viendraient trouble votre repos millénnaire), il y avait des chats partout, vous pouviez mener des guerres comme bon vous semblait... Mais on n'échappait pas pour autant aux épidémies ou aux complots fomentés par quelques jaloux qui convoiteraient le poste. Et c'est précisément ce qui vient d'arriver : le pharaon vient d'être exécuté, ainsi que toute sa descendance (tant qu'à faire), à l'exception d'un rejeton qui a réussi à s'enfuir. Le dieu Osiris apparaît devant lui et, plutôt que de lui donner des super-pouvoirs, il lui offre 3000 cicles d'argent et un voilier. Il va maintenant falloir reconquérir le trône, et pour cela, le piston ne sera d'aucun aide, il faudra faire vos preuves - et vous vous doutez bien que le poste de pharaon ne requiert pas les mêmes qualifications que celui de DRH pour Ben Hur Motors.
Nil dieu vivant est le deuxième de jeu d'action/aventure historique de Chip, avec la même équipe (et toujours un certain Éric Chahi au graphisme), la même influence Cinemaware et les mêmes défauts typiques de l'époque. Par exemple, le mode d'emploi se résume au strict minimum : il résume simplement ce qu'on attend de vous en expliquant à peine les écrans du jeu, leurs icônes et leur fonctionnement. Pour résumer : l'écran principal permet de construire des voiliers et des chars (très important : si vous les perdez tous, le jeu est terminé), embaucher un comptable, ajouter un épouse à votre harem (mais il faut payer la dot et organiser le banquet), faire une offrande à un des douze dieux (soyez généreux), attaquer une des trois tribus à dominer (Bédouins, Hyksos et Nubiens), et enfin construire des entrepôts, des bâtiments et, si vous pouvez vous le permettre, une pyramide. Attention, certaines de ces options sont bloquées tant que vous n'avez pas atteint un certain rang social (pas explicitement indiqué à l'écran, d'ailleurs).
Pour faire tout cela, vous devrez avoir un gros stock de richesses stockées dans vos entrepôts. L'icône de navigation affiche la carte. En cliquant sur un voilier, vous pouvez sélectionner les flèches pour descendre ou remonter le Nil, ou cliquer sur le nom d'un port pour accéder à son comptoir commercial, où vous pourrez acheter et vendre des marchandises avec un boulier. Là encore, rien n'est décrit dans le manuel. Les écrans d'achat et de vente affichent les stocks et la demande - je suppose - pour chaque marchandise, mais leur prix n'apparaît nulle part ! La signification des icônes n'apparaît que dans le manuel, sans doute pour décourager les pirates. De gauche à droite, ce sont : or, argent, cuivre, étain, calcaire, granit, albâtre, bois, ivoire, émeraudes, turquoises, esclaves, chevaux, céréales, huile, vin, bière.
Comme tout jeu à la sauce Cinemaware, Nil dieu vivant a des mini-scènes d'action répétitives et pénibles. Une attaque donne lieu à une séquence en char au cours de laquelle il faut tirer sur un certain nombre d'ennemis défilant en arrière-plan (ce nombre est affiché en haut à droite). Vous pourriez croire que vous avez la possibilité d'esquiver les flèches adverse en déplaçant le char vers la gauche ou la droite, mais pas du tout : vous ne pouvez rien esquiver du tout, vous devez vous dépêcher de tuer votre quota d'ennemis si vous ne voulez pas mourir. Je vous donne un indice : pour toucher un ennemi à coup sûr, tirez lorsqu'il se trouve pile au milieu de la moitié droite de l'écran, entre deux palmiers (voir la capture d'écran). Visez le même emplacement dans les autres décors. Lors d'un trajet en bateau, il faut louvoyer entre les rochers, et parfois repousser des pirates à coups de rame. Il faut les frapper précisément quand ils montrent leur tête après avoir gravi la coque; une fois sur le pont, impossible de les repousser ! Enfin, un pari sur une cargaison se fait par une course de chameaux qui vous obligera à marteler très vite les touches gauche et droite, comme au pas si bon vieux temps des jeux d'épreuves olympiques.
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