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Solution de Croisière pour un cadavre
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.. Et savez vous pourquoi ? Tout simplement parce que Rose n'avait épousé Tom Logan que dans le but d'oublier un ancien mais cruel chagrin d'amour. Vous verrez par la suite que ce point est essentiel !
JLR . Mis à part les témoignages des uns et des autres, avez-vous découvert beaucoup d'indices concrets, cendres de cigarettes, empreintes... ?
RD : II y avait tout d'abord les lettres et le message. Et à 10 h 00, dans ma propre chambre, j'ai découvert aussi une clef, sur le tapis, au-dessous du sac de golf. C'est dans le bureau de Karaboudjan que j'ai pu utiliser cet indice. Cette clef ouvrait le secrétaire et j'y trouvai une lettre de remerciement et, surtout, un écrin. A l'intérieur, près du fermoir, des initiales : R J... II était maintenant 10 h 30.
JLR : Et que disait la lettre ?
RD : Fabiani y remerciait Niklos pour un service rendu. Décidément, ces deux hommes n'avaient pas, sans vouloir faire de l'humour, des relations très catholiques... Je devais résoudre cette énigme au plus vite. Je trouvai Fabiani dans sa cabine. Il m'expliqua tout simplement qu'il s'agissait d'un don de Niklos pour réparer le clocher de son église. Vrai ou faux ? Je n'étais encore sûr de rien. Puisque Fabiani n'était pas, pour une fois, dans la salle à manger, je jugeai le moment opportun pour visiter cette salle. Dans les tiroirs de la commode, je trouvai les cartons d'invitations à 10 h 40 précises et j'y appris deux choses importantes : en premier lieu, que Julio et Daphné devaient se fiancer, ensuite et surtout, les initiales de la femme de Niklos, Rébecca : R V J, pour Rébecca Vivian Jones.
JLR : D'où le RJ de l'écrin !
RD : Vous avez vu juste ! Le bracelet, acheté par Tom, était en fait destiné à la femme de Niklos, et non à Rose. Sur tous ces points, il me fallait des éclaircissements. Je rejoignai donc Suzanne, toujours penchée sur la balustrade du pont supérieur. Elle m'apprit que Fabiani avait organisé une grande kermesse pour la restauration du clocher de son église, et qu'il avait obtenu beaucoup d'argent. Je sus aussi que les fiançailles de Julio et Daphné avaient été annulées. Pourquoi ? J'étais bien décidé à le découvrir. Quant à Fabiani, que j'interrogeai à son tour, il me dit pour sa part que la kermesse n'avait rien rapporté. Etrange, non ? Quant aux fiançailles, j'appris que Niklos n'avait même pas prévenu sa fille qu'il avait décidé de lui-même de la marier à Julio
JLR : II y avait de quoi devenir chèvre !
RD : Oui, et je fus assez découragé pendant un instant. Aussi ai-je jugé bon de faire une trêve, de prendre un peu l'air, de profiter ne serait-ce que quelques minutes de l'air du large. Mais l'aventure ne voulait décidément pas me lâcher ! Alors que je flânai pour me détendre sur le pont principal bâbord arrière, quelle ne fut pas ma surprise d'apercevoir Tom et Rébecca dans des effusions peu dignes du moment. J'avais vu juste, ces deuxlà s'entendaient bien mieux entre eux qu'avec leurs conjoints respectifs. Et l'un ce ces conjoints était mort... Tournant les talons, je décidai de visiter quelques lieux moins fréquentés. Dans les toilettes du bas, je ne trouvai rien d'intéressant. Dans celles du haut, par contre, j'empochai un savon. Un geste que les journalistes ont à l'époque interprété comme un trait de génie, puisque ce savon allait me sauver la vie par la suite. En fait, je peux l'avouer maintenant, je voulais juste m'en servir pour laver quelques affaires ! Enfin, bref... En parfait détective, je regardai aussi dans le siphon. Mais c'était une fausse piste. Je visitai la lingerie. Dans le bac marqué « invités »», je trouvai un peignoir. Dans la poche de ce vêtement, un pendentif. Rien de bien passionnant je l'avoue, si ce n'est que le pendentif appartenait à Daphné Karaboudjan, comme le prouvaient les initiales gravées à l'intérieur.
JLR : On a pourtant dit dans la presse que ce pendentif avait un secret ?!
RD : En effet, mais je ne le découvris qu'ensuite, en examinant mieux l'objet. Vers 11 h 00, alors que je tripotais le bijou, je m'aperçus que le portrait qui était dedans ne représentait pas du tout Daphné, mais une autre personne du nom d'Aglaé, comme me l'apprit Fabiani lorsque je l'interrogeai à ce sujet. Fabiani parlait de cette fameuse Aglaé à l'imparfait. Etait-elle donc décédée...? Il me fallait tirer l'affaire au clair. J'interrogeai Hector, le majordome, puis Désiré Gros Jean que je rencontrai pour la première fois. A 11 h 10, j'interrogeai encore Julio dans sa cabine pour apprendre qu'Aglaé était la tante de Daphné. Jusqu'à 11 h 40, je discutai tour à tour avec Fabiani, dans sa cabine, puis avec Suzanne dans le bar. Enfin, je retrouvai Suzanne dans sa chambre, complètement saoule. Ce fut l'occasion pour moi de fouiller sa cabine.
JLR : Et vous avez trouvé...
RD : Dans l'armoire de gauche, dans sa vanity-case, une ordonnance.
JLR . Mis à part les témoignages des uns et des autres, avez-vous découvert beaucoup d'indices concrets, cendres de cigarettes, empreintes... ?
RD : II y avait tout d'abord les lettres et le message. Et à 10 h 00, dans ma propre chambre, j'ai découvert aussi une clef, sur le tapis, au-dessous du sac de golf. C'est dans le bureau de Karaboudjan que j'ai pu utiliser cet indice. Cette clef ouvrait le secrétaire et j'y trouvai une lettre de remerciement et, surtout, un écrin. A l'intérieur, près du fermoir, des initiales : R J... II était maintenant 10 h 30.
JLR : Et que disait la lettre ?
RD : Fabiani y remerciait Niklos pour un service rendu. Décidément, ces deux hommes n'avaient pas, sans vouloir faire de l'humour, des relations très catholiques... Je devais résoudre cette énigme au plus vite. Je trouvai Fabiani dans sa cabine. Il m'expliqua tout simplement qu'il s'agissait d'un don de Niklos pour réparer le clocher de son église. Vrai ou faux ? Je n'étais encore sûr de rien. Puisque Fabiani n'était pas, pour une fois, dans la salle à manger, je jugeai le moment opportun pour visiter cette salle. Dans les tiroirs de la commode, je trouvai les cartons d'invitations à 10 h 40 précises et j'y appris deux choses importantes : en premier lieu, que Julio et Daphné devaient se fiancer, ensuite et surtout, les initiales de la femme de Niklos, Rébecca : R V J, pour Rébecca Vivian Jones.
JLR : D'où le RJ de l'écrin !
RD : Vous avez vu juste ! Le bracelet, acheté par Tom, était en fait destiné à la femme de Niklos, et non à Rose. Sur tous ces points, il me fallait des éclaircissements. Je rejoignai donc Suzanne, toujours penchée sur la balustrade du pont supérieur. Elle m'apprit que Fabiani avait organisé une grande kermesse pour la restauration du clocher de son église, et qu'il avait obtenu beaucoup d'argent. Je sus aussi que les fiançailles de Julio et Daphné avaient été annulées. Pourquoi ? J'étais bien décidé à le découvrir. Quant à Fabiani, que j'interrogeai à son tour, il me dit pour sa part que la kermesse n'avait rien rapporté. Etrange, non ? Quant aux fiançailles, j'appris que Niklos n'avait même pas prévenu sa fille qu'il avait décidé de lui-même de la marier à Julio
JLR : II y avait de quoi devenir chèvre !
RD : Oui, et je fus assez découragé pendant un instant. Aussi ai-je jugé bon de faire une trêve, de prendre un peu l'air, de profiter ne serait-ce que quelques minutes de l'air du large. Mais l'aventure ne voulait décidément pas me lâcher ! Alors que je flânai pour me détendre sur le pont principal bâbord arrière, quelle ne fut pas ma surprise d'apercevoir Tom et Rébecca dans des effusions peu dignes du moment. J'avais vu juste, ces deuxlà s'entendaient bien mieux entre eux qu'avec leurs conjoints respectifs. Et l'un ce ces conjoints était mort... Tournant les talons, je décidai de visiter quelques lieux moins fréquentés. Dans les toilettes du bas, je ne trouvai rien d'intéressant. Dans celles du haut, par contre, j'empochai un savon. Un geste que les journalistes ont à l'époque interprété comme un trait de génie, puisque ce savon allait me sauver la vie par la suite. En fait, je peux l'avouer maintenant, je voulais juste m'en servir pour laver quelques affaires ! Enfin, bref... En parfait détective, je regardai aussi dans le siphon. Mais c'était une fausse piste. Je visitai la lingerie. Dans le bac marqué « invités »», je trouvai un peignoir. Dans la poche de ce vêtement, un pendentif. Rien de bien passionnant je l'avoue, si ce n'est que le pendentif appartenait à Daphné Karaboudjan, comme le prouvaient les initiales gravées à l'intérieur.
JLR : On a pourtant dit dans la presse que ce pendentif avait un secret ?!
RD : En effet, mais je ne le découvris qu'ensuite, en examinant mieux l'objet. Vers 11 h 00, alors que je tripotais le bijou, je m'aperçus que le portrait qui était dedans ne représentait pas du tout Daphné, mais une autre personne du nom d'Aglaé, comme me l'apprit Fabiani lorsque je l'interrogeai à ce sujet. Fabiani parlait de cette fameuse Aglaé à l'imparfait. Etait-elle donc décédée...? Il me fallait tirer l'affaire au clair. J'interrogeai Hector, le majordome, puis Désiré Gros Jean que je rencontrai pour la première fois. A 11 h 10, j'interrogeai encore Julio dans sa cabine pour apprendre qu'Aglaé était la tante de Daphné. Jusqu'à 11 h 40, je discutai tour à tour avec Fabiani, dans sa cabine, puis avec Suzanne dans le bar. Enfin, je retrouvai Suzanne dans sa chambre, complètement saoule. Ce fut l'occasion pour moi de fouiller sa cabine.
JLR : Et vous avez trouvé...
RD : Dans l'armoire de gauche, dans sa vanity-case, une ordonnance.