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Jack the Ripper
Date de sortie
1995 (
)

Genre
Développement
Édition
Systèmes

Dosbox
Compatible avec la version DOSBox X
#1800 #cdaudio #curseur #decors2dbitmap #enquete #objets2dbitmap #royaumeuni #vuesubj
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Si l'Angleterre est le pays du plus grand détective du monde : Sherlock Holmes, elle est aussi la patrie du plus célèbre des tueurs en série: Jack l'éventreur. Édité par Gametek en 1995, Jack the Ripper vous invite à trouver la véritable identité de l'assassin en utilisant les méthodes de Holmes. Attention à ne pas confondre ce jeu avec Ripper de Take 2, sorti en 1996, et transposant les crimes de Jack dans un New-York futuriste.
Spitalfields, la cour des miracles anglaise
Le jeu débute par une animation racontant l'assassinat de la première victime : Polly Nichols. Les images fixes qui se succèdent sont dessinées à la main en noir et blanc et sont parfaitement adaptées au récit. Le tout est accompagné d'une musique expressive et de quelques phrases de dialogue.
Un classique du Whodunit
Après nous avoir mis dans l'ambiance, l'enquête commence. Comme dans tout polar qui se respecte, vous interrogez les suspects, recherchez et examinez les preuves puis vous élaborez quelques théories. Pratiquement, vous allez d'abord recueillir les indices sur le terrain en fouillant la zone du crime et en interrogeant les témoins, les journaux contiennent aussi des éléments intéressants. Vous consignez vos résultats dans un carnet de notes. Lorsque vous pensez avoir fait le tour du sujet, vous rentrez à votre bureau et vous confrontez, alors, deux indices parmi ceux que vous avez trouvés. Si l'adéquation est bonne, vous obtenez un nouvel indice et ainsi de suite jusqu'à la découverte du coupable.
Une interface complexe
L'ergonomie du jeu est assez discutable. En voulant utiliser ce qui était à l'époque le comble du modernisme - le multi-fenêtrage - le concepteur du jeu a créé une interface assez complexe. Il a dû s'en rendre compte car un tutoriel vous explique en détail comment naviguer parmi les fenêtres affichées à l'écran. Lorsque vous aurez maîtrisé le système, vous vous attellerez à l'enquête qui sera longue et difficile. Vos petites cellules grises seront mises à rude épreuve ! Heureusement, vous pouvez sauvegarder à tous moments ce qui vous évitera de vous perdre dans vos investigations. Pendant l'aventure, les gens vivent leur vie et ne restent pas statiquement au même endroit, ce qui amène une difficulté supplémentaire : trouver les protagonistes qui se baladent quelque part sur la carte.
Comme l'explique la documentation, si tous les événements et personnages ainsi que leur déclaration sont rigoureusement authentiques, les archives utilisées ne permettent pas de désigner un coupable, il a donc fallu rajouter des indices supplémentaires pour permettre l'authentification du criminel. A chaque fois que vous relancez une nouvelle affaire, ces preuve changent ainsi que le coupable, ce qui assure au jeu une très longue durée de vie.
Un système de points mesure votre avancée dans l'enquête : vous gagnez des points en trouvant des indices mais le temps qui passe vous en fait perdre. De plus, vous devez mettre le coupable en prison avant une date butoir, sinon vous finirez égorgé et dépecé dans une ruelle de Spitalfields.
Ambiance victorienne assurée
Le jeu est entièrement en anglais et l'utilisation de termes provenant de l'ère victorienne réserve l'aventure aux joueurs possédant un bon niveau dans la langue. Cependant, la documentation fournit un excellent lexique des expressions les plus utilisées. Les graphismes du jeu ont été souvent critiqués comme dépassés. Ce n'est pas du tout mon avis, ils me semblent parfaitement adaptés à l'atmosphère générale de l'enquête. La musique consiste en huit morceaux enregistrés à part sur le CD; de très bonne qualité, elle est parfois répétitive. A part dans l'intro du jeu, il n'y a aucune voix pendant le reste de l'aventure. D'après la documentation, contre le paiement des frais de port, il était possible de récupérer une disquette avec d'autres preuves mais celle-ci semble définitivement perdue. Basé sur le déroulement réel des événements, Jack the Ripper est une enquête très difficile qui ravira les amateurs d'intrigues policières. Serez-vous meilleur enquêteur que les policiers du Yard de l'époque qui n'ont jamais réussi à coincer l'éventreur ?
Installation
L'installation fonctionne avec Dosbox-X mais elle est assez capricieuse, aussi ai-je joint une seconde archive avec le jeu déjà installé : décompactez celle-ci et lancez Jack, le jeu débutera alors avec la musique.
Fabrice Debaque.

Le jeu débute par une animation racontant l'assassinat de la première victime : Polly Nichols. Les images fixes qui se succèdent sont dessinées à la main en noir et blanc et sont parfaitement adaptées au récit. Le tout est accompagné d'une musique expressive et de quelques phrases de dialogue.

Après nous avoir mis dans l'ambiance, l'enquête commence. Comme dans tout polar qui se respecte, vous interrogez les suspects, recherchez et examinez les preuves puis vous élaborez quelques théories. Pratiquement, vous allez d'abord recueillir les indices sur le terrain en fouillant la zone du crime et en interrogeant les témoins, les journaux contiennent aussi des éléments intéressants. Vous consignez vos résultats dans un carnet de notes. Lorsque vous pensez avoir fait le tour du sujet, vous rentrez à votre bureau et vous confrontez, alors, deux indices parmi ceux que vous avez trouvés. Si l'adéquation est bonne, vous obtenez un nouvel indice et ainsi de suite jusqu'à la découverte du coupable.

L'ergonomie du jeu est assez discutable. En voulant utiliser ce qui était à l'époque le comble du modernisme - le multi-fenêtrage - le concepteur du jeu a créé une interface assez complexe. Il a dû s'en rendre compte car un tutoriel vous explique en détail comment naviguer parmi les fenêtres affichées à l'écran. Lorsque vous aurez maîtrisé le système, vous vous attellerez à l'enquête qui sera longue et difficile. Vos petites cellules grises seront mises à rude épreuve ! Heureusement, vous pouvez sauvegarder à tous moments ce qui vous évitera de vous perdre dans vos investigations. Pendant l'aventure, les gens vivent leur vie et ne restent pas statiquement au même endroit, ce qui amène une difficulté supplémentaire : trouver les protagonistes qui se baladent quelque part sur la carte.
Comme l'explique la documentation, si tous les événements et personnages ainsi que leur déclaration sont rigoureusement authentiques, les archives utilisées ne permettent pas de désigner un coupable, il a donc fallu rajouter des indices supplémentaires pour permettre l'authentification du criminel. A chaque fois que vous relancez une nouvelle affaire, ces preuve changent ainsi que le coupable, ce qui assure au jeu une très longue durée de vie.
Un système de points mesure votre avancée dans l'enquête : vous gagnez des points en trouvant des indices mais le temps qui passe vous en fait perdre. De plus, vous devez mettre le coupable en prison avant une date butoir, sinon vous finirez égorgé et dépecé dans une ruelle de Spitalfields.

Le jeu est entièrement en anglais et l'utilisation de termes provenant de l'ère victorienne réserve l'aventure aux joueurs possédant un bon niveau dans la langue. Cependant, la documentation fournit un excellent lexique des expressions les plus utilisées. Les graphismes du jeu ont été souvent critiqués comme dépassés. Ce n'est pas du tout mon avis, ils me semblent parfaitement adaptés à l'atmosphère générale de l'enquête. La musique consiste en huit morceaux enregistrés à part sur le CD; de très bonne qualité, elle est parfois répétitive. A part dans l'intro du jeu, il n'y a aucune voix pendant le reste de l'aventure. D'après la documentation, contre le paiement des frais de port, il était possible de récupérer une disquette avec d'autres preuves mais celle-ci semble définitivement perdue. Basé sur le déroulement réel des événements, Jack the Ripper est une enquête très difficile qui ravira les amateurs d'intrigues policières. Serez-vous meilleur enquêteur que les policiers du Yard de l'époque qui n'ont jamais réussi à coincer l'éventreur ?

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