Page d'accueil
News
Notre définition
Participez
Jeux Abandonware
Abandonware facile
Dans le navigateur
Trésors exhumés
Sagas/séries
Démos/Shareware
Non Abandonware
Chambre vaudoue
Jeux éducatifs
Logiciels culturels
Advergames
Solutions
Trucs & astuces
Utilitaires
Dosbox.fr
F.A.Q.
Manuels
Magazines
Livres
Romans de Gilles
Livre de Hoagie
Guides de S.Rocher
BIIPER
Screenshots
Covers
Scans Disques
Publicités
Abandonware TV
Musiques
Logos&Sonneries
Compagnies
Personnalités
Compilations
Récompenses
Dossiers
Salons & Evts
Timelines
Parc Minecraft
Zone Membres
Forums
Discord
Page Facebook
Page Twitter
Page Instagram
Groupe Steam
Chaîne Youtube
Chaîne Twitch
Tests des membres
Fan Arts
Donateurs
L'équipe
Historique
Livre d'or
Aidez-nous
Contact
Partenariats
Liens sélectionnés

Cosmos - Voyage dans l'univers
Date de sortie
1997 (
)

Genre
Développement
Production audio
Édition
Édition
Systèmes

#ciel #constellations #culture #mythologie #univers
Présentation
Cosmos, voyage dans l'univers fait partie de l'immense famille des productions non ludiques de l'industrie du jeu vidéo. Cette production, en net déclin maintenant, a connu son moment de gloire vers la fin du vingtième siècle grâce aux possibilités combinées du Compact Disk et d'une génération d'ordinateurs personnels sous Windows 95/98. Tout paraissait devenir possible, en particulier quand il s'agissait de mettre à la portée de chacun un ensemble de connaissances jadis réservées au spécialiste. Et les imaginations se sont déchaînées, toutes les niches ont été exploitées, tous les thèmes ont été abordés, tous les publics ont été visés. Et le pire a côtoyé le meilleur, le fast food industriel a rivalisé avec le bijou amoureusement ciselé.
Alors, qu'avons-nous là ? Comment présenter en quelques lignes ce logiciel qui ressemble tellement à tant d'autres et qui pourtant est différent ? Peut-être d'abord par son ambition. En effet, Cosmos ne se veut pas seulement un programme de découverte de cet univers qui nous entoure, il veut aussi nous faire comprendre combien celui-ci est indissociable de notre civilisation et des progrès de l'humanité. Peut-être ensuite par sa réalisation somptueuse, œuvre d'une équipe impressionnante de compétences et, visiblement, d'enthousiasme. Jetez un coup d’œil sur les crédits quand ils défileront au sortir du programme, je pense que vous me comprendrez - c'est le meilleur de ce que pouvait offrir la France en cette fin de siècle. Mais surtout (et sans peut-être) par son attrait, par cet intérêt qui se développe au fur et à mesure qu'on parcourt le programme, amenant à regarder encore quelque chose, à essayer autre chose, à revenir en arrière, à recommencer, en un mot à le savourer.
Est-ce à dire que tout est parfait ? Non, naturellement. Ne serait-ce que l'apprentissage nécessaire pour tirer de ce logiciel tout ce qu'il peut offrir. Mais, comme la mouche accentuait la séduction des belles dames du XVIIIe siècle, je trouve que cet effort nécessaire est finalement un des atouts de Cosmos. Ceci dit, la lecture du manuel, justement intitulé Mode d'emploi, est vivement conseillée. C'est court, clair et très bien fait.
En résumé, voici incontestablement un Abandonware d'or !
Bon, après cette présentation en forme de conclusion, il ne me reste plus qu'à ajouter quelques détails, avant de vous inviter à vous rendre en page de téléchargement...
Un contenu ambitieux
Avertissement : Tout va se passer à la souris, par déplacement du pointeur sur un objet ou par clic gauche. Le clic droit n'est pas utilisé, le clavier non plus (sauf pour interagir avec l'émulateur). Le dessin est précis mais très fin, les contrastes sont parfois faibles et les objets assez petits (j'ai lu qu'il y en avait plus de 50 000...). Je vous conseille donc de jouer en mode plein écran pour mieux profiter de tous les détails du logiciel.
À la mise en route, Cosmos nous présente un écran d'accueil avec tout autour quatre grandes entrées possibles : le Planétarium, la Sphère du savoir, le Laboratoire et le Ciel des hommes. Sous cet écran, quelques boutons donnent accès à diverses fonctions. Il y a notamment un bouton navigation qui permet un retour vers l'écran précédent ou vers le sommaire, l'accès à l'aide, au lexique et à Internet (au fait, je n'ai rien obtenu avec ce dernier choix, ce qui n'est pas étonnant pour un logiciel ancien mais reste quand même frustrant). Et, pendant que vous êtes sur cet écran, assurez-vous que le son est réglé à votre convenance, ce serait dommage de ne pas profiter de la musique d'accompagnement et des commentaires qu'offre le logiciel.
Le Planétarium nous amène par défaut sur une représentation du ciel actuel de Paris. En déplaçant le pointeur de la souris sur l'écran, nous pouvons faire apparaître le nom des astres ou des constellation visibles (mais nous pouvons nous tourner ou lever plus ou moins les yeux en plaçant le pointeur de la souris sur les côtés de l'écran actif - attention, ça va vite). Si nous le désirons, nous pouvons changer de lieu d'observation et/ou de date ou d'heure, faire apparaître ou non les dessins des constellations (avec le bouton outils, en bas) ou, en cliquant sur un objet, accéder à divers écrans d'information sur une planète, une étoile ou une constellation. À chaque fois, c'est un régal, avec des images, des animations et des commentaires de qualité.
Ainsi, pour une constellation, nous pouvons, en déplaçant un petit bouton de couleur bleue sur le nouvel écran, passer progressivement de la représentation imagée de la constellation à sa représentation sous forme de schéma ou vice versa. Nous pouvons aussi accéder à la partie Atlas du logiciel (des gravures anciennes, superbes !). Enfin, un bouton figure en partie inférieure gauche de l'écran (il peut faire penser à un petit soleil blanc) ; il permet d'ouvrir une fenêtre avec des liens vers différentes informations complémentaires pertinentes réparties selon les quatre grandes partie, l'atlas et le lexique. Ce bouton est précieux, n'hésitez pas à l'utiliser, Cosmos étant tout sauf linéaire.
La Sphère du savoir, elle, permet d'approfondir notre connaissance de l'univers et de la façon dont sa compréhension a évolué. Elle se présente comme un disque que l'on peut faire tourner et qui propose successivement différents choix de rubriques. Là encore, on retrouve la même qualité, la même richesse, la même beauté de présentation. Regardez par exemple l'animation sur le Big Bang. Et quand elle sera terminée, ne vous précipitez pas sur le bouton navigation, le seul qui apparaisse alors. Cliquez plutôt sur l'écran, vous verrez apparaître un second bouton, le petit soleil blanc (vous savez, le précieux bouton qui ouvre une fenêtre de liens)...
Le Laboratoire nous permet d'accéder à un ensemble de présentations interactives sur les principaux objets célestes. Son menu est très simple : en haut à gauche, une petite flèche permet de choisir entre le système solaire, les étoiles ou le ciel profond. Selon notre choix, nous voyons apparaître à sa droite une série de miniatures qui, d'un clic, ouvrent la rubrique correspondante. Prenons le système solaire : nous trouvons toutes les planètes (y compris Pluton, c'est le seul coup de vieux que le non spécialiste que je suis a pu observer...) , plus une icône pour les comètes. Mais regardons de plus près... certains satellites figurent aussi à côté de leur planète ! Et à chaque choix, des photos, parfois spectaculaires, et toutes sortes d'informations s'offrent à nous. Par exemple, saviez-vous que Pluton possède un satellite ou que sa température moyenne est de -230 °C ? Et on peut même faire des comparaisons ou des expériences.
Le Ciel des hommes complète les trois approches thématiques que nous venons de voir en nous aidant à percevoir, au travers de différents contes et légendes, comment nos prédécesseurs sur Terre ont tenté d'expliquer ce mystère qui nous entoure... Une sphère joliment décorée occupe l'écran et deux rubriques nous sont offertes : les grandes légendes à droite, les constellations selon la mythologie à gauche. En choisissant les légendes, un menu classique se présente sur la sphère. En choisissant les constellations, c'est le passage du pointeur qui fait apparaître celle que nous voulons voir racontée...
Que pourrais-je ajouter à ce qui précède ?
Lancement
Bon amusement !
Complétez cette fiche
Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.
Des questions ? besoin d'aide ?
Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

Cosmos, voyage dans l'univers fait partie de l'immense famille des productions non ludiques de l'industrie du jeu vidéo. Cette production, en net déclin maintenant, a connu son moment de gloire vers la fin du vingtième siècle grâce aux possibilités combinées du Compact Disk et d'une génération d'ordinateurs personnels sous Windows 95/98. Tout paraissait devenir possible, en particulier quand il s'agissait de mettre à la portée de chacun un ensemble de connaissances jadis réservées au spécialiste. Et les imaginations se sont déchaînées, toutes les niches ont été exploitées, tous les thèmes ont été abordés, tous les publics ont été visés. Et le pire a côtoyé le meilleur, le fast food industriel a rivalisé avec le bijou amoureusement ciselé.
Alors, qu'avons-nous là ? Comment présenter en quelques lignes ce logiciel qui ressemble tellement à tant d'autres et qui pourtant est différent ? Peut-être d'abord par son ambition. En effet, Cosmos ne se veut pas seulement un programme de découverte de cet univers qui nous entoure, il veut aussi nous faire comprendre combien celui-ci est indissociable de notre civilisation et des progrès de l'humanité. Peut-être ensuite par sa réalisation somptueuse, œuvre d'une équipe impressionnante de compétences et, visiblement, d'enthousiasme. Jetez un coup d’œil sur les crédits quand ils défileront au sortir du programme, je pense que vous me comprendrez - c'est le meilleur de ce que pouvait offrir la France en cette fin de siècle. Mais surtout (et sans peut-être) par son attrait, par cet intérêt qui se développe au fur et à mesure qu'on parcourt le programme, amenant à regarder encore quelque chose, à essayer autre chose, à revenir en arrière, à recommencer, en un mot à le savourer.
Est-ce à dire que tout est parfait ? Non, naturellement. Ne serait-ce que l'apprentissage nécessaire pour tirer de ce logiciel tout ce qu'il peut offrir. Mais, comme la mouche accentuait la séduction des belles dames du XVIIIe siècle, je trouve que cet effort nécessaire est finalement un des atouts de Cosmos. Ceci dit, la lecture du manuel, justement intitulé Mode d'emploi, est vivement conseillée. C'est court, clair et très bien fait.
En résumé, voici incontestablement un Abandonware d'or !
Bon, après cette présentation en forme de conclusion, il ne me reste plus qu'à ajouter quelques détails, avant de vous inviter à vous rendre en page de téléchargement...

Avertissement : Tout va se passer à la souris, par déplacement du pointeur sur un objet ou par clic gauche. Le clic droit n'est pas utilisé, le clavier non plus (sauf pour interagir avec l'émulateur). Le dessin est précis mais très fin, les contrastes sont parfois faibles et les objets assez petits (j'ai lu qu'il y en avait plus de 50 000...). Je vous conseille donc de jouer en mode plein écran pour mieux profiter de tous les détails du logiciel.
À la mise en route, Cosmos nous présente un écran d'accueil avec tout autour quatre grandes entrées possibles : le Planétarium, la Sphère du savoir, le Laboratoire et le Ciel des hommes. Sous cet écran, quelques boutons donnent accès à diverses fonctions. Il y a notamment un bouton navigation qui permet un retour vers l'écran précédent ou vers le sommaire, l'accès à l'aide, au lexique et à Internet (au fait, je n'ai rien obtenu avec ce dernier choix, ce qui n'est pas étonnant pour un logiciel ancien mais reste quand même frustrant). Et, pendant que vous êtes sur cet écran, assurez-vous que le son est réglé à votre convenance, ce serait dommage de ne pas profiter de la musique d'accompagnement et des commentaires qu'offre le logiciel.
Le Planétarium nous amène par défaut sur une représentation du ciel actuel de Paris. En déplaçant le pointeur de la souris sur l'écran, nous pouvons faire apparaître le nom des astres ou des constellation visibles (mais nous pouvons nous tourner ou lever plus ou moins les yeux en plaçant le pointeur de la souris sur les côtés de l'écran actif - attention, ça va vite). Si nous le désirons, nous pouvons changer de lieu d'observation et/ou de date ou d'heure, faire apparaître ou non les dessins des constellations (avec le bouton outils, en bas) ou, en cliquant sur un objet, accéder à divers écrans d'information sur une planète, une étoile ou une constellation. À chaque fois, c'est un régal, avec des images, des animations et des commentaires de qualité.
La Sphère du savoir, elle, permet d'approfondir notre connaissance de l'univers et de la façon dont sa compréhension a évolué. Elle se présente comme un disque que l'on peut faire tourner et qui propose successivement différents choix de rubriques. Là encore, on retrouve la même qualité, la même richesse, la même beauté de présentation. Regardez par exemple l'animation sur le Big Bang. Et quand elle sera terminée, ne vous précipitez pas sur le bouton navigation, le seul qui apparaisse alors. Cliquez plutôt sur l'écran, vous verrez apparaître un second bouton, le petit soleil blanc (vous savez, le précieux bouton qui ouvre une fenêtre de liens)...
Le Laboratoire nous permet d'accéder à un ensemble de présentations interactives sur les principaux objets célestes. Son menu est très simple : en haut à gauche, une petite flèche permet de choisir entre le système solaire, les étoiles ou le ciel profond. Selon notre choix, nous voyons apparaître à sa droite une série de miniatures qui, d'un clic, ouvrent la rubrique correspondante. Prenons le système solaire : nous trouvons toutes les planètes (y compris Pluton, c'est le seul coup de vieux que le non spécialiste que je suis a pu observer...) , plus une icône pour les comètes. Mais regardons de plus près... certains satellites figurent aussi à côté de leur planète ! Et à chaque choix, des photos, parfois spectaculaires, et toutes sortes d'informations s'offrent à nous. Par exemple, saviez-vous que Pluton possède un satellite ou que sa température moyenne est de -230 °C ? Et on peut même faire des comparaisons ou des expériences.
Le Ciel des hommes complète les trois approches thématiques que nous venons de voir en nous aidant à percevoir, au travers de différents contes et légendes, comment nos prédécesseurs sur Terre ont tenté d'expliquer ce mystère qui nous entoure... Une sphère joliment décorée occupe l'écran et deux rubriques nous sont offertes : les grandes légendes à droite, les constellations selon la mythologie à gauche. En choisissant les légendes, un menu classique se présente sur la sphère. En choisissant les constellations, c'est le passage du pointeur qui fait apparaître celle que nous voulons voir racontée...
Que pourrais-je ajouter à ce qui précède ?
- Une citation bien connue : Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie (Pascal).
- Un regret : comme tant d'autres ouvrages à vocation pédagogique ou encyclopédique, Cosmos nous propose une vision presque exclusivement occidentale de son sujet.
- Un constat : comme dans la vie, on n'a jamais la certitude d'avoir fait le tour complet d'un sujet (eh oui, même avec le petit "soleil" !)
- Un conseil : Cosmos est traité avec clarté, poésie même, mais avec beaucoup de sérieux, ce qui peut rebuter les plus jeunes. Mieux vaut leur présenter des extraits choisis en fonction de leur personnalité que de les installer tout seuls devant l'ordinateur.
- Une confirmation : c'est vraiment une pépite. À essayer au moins, même si vous n'avez jamais levé les yeux vers un ciel étoilé. Et si vous aimez, merci qui ? Merci Abandonware France !

Pour éviter les difficultés inévitables quand on veut lancer un logiciel ancien sur un ordinateur moderne, je vous conseille d'utiliser la version automatique que nous vous proposons. Elle installe Cosmos sous DOSBox-X et tous les réglages sont déjà faits.
Voici quelques raccourcis utiles dans ce cas :- Pour passer du mode plein écran au mode fenêtré et vice versa : F11+F (attention, j'ai observé que cette manœuvre désactive le son dans Cosmos, il faut retourner sur l'écran du sommaire pour refaire votre réglage).
- Pour faire une capture d'écran : F11+P
- Pour sortir la souris de la fenêtre de jeu : CTRL+F10
- Pour quitter le jeu plus rapidement qu'avec la commande Quitter du sommaire : ALT+F4 (la touche ESC a parfois le même effet que Quitter).
Bon amusement !

Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.

Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.












sagitaire021 (Version automatique), Stamparade (Jeu, test, scans, manuel)
Partenaires Jeux
PC Savegames
Dosbox
Planète Aventure
Resident Evil Fr
Jeux de Jadis
Partenaires RetroActu
Le mag MO5.com
Rom Game
Emu-France
Megatest.fr
Associations
Association WDA
Association MO5
Partenaires Geek
Geekipedia
Another Retro World
Sites Amis
Livres de G. Ermia
Blog BD - La Kavaseb
Twitch de DNADNL
Le blog de Half Wolf
PC Savegames
Dosbox
Planète Aventure
Resident Evil Fr
Jeux de Jadis
Partenaires RetroActu
Le mag MO5.com
Rom Game
Emu-France
Megatest.fr
Associations
Association WDA
Association MO5
Partenaires Geek
Geekipedia
Another Retro World
Sites Amis
Livres de G. Ermia
Blog BD - La Kavaseb
Twitch de DNADNL
Le blog de Half Wolf