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ToCA Race Driver
Titre américain
Pro Race Driver
Titre allemand
DTM Race Driver
Série
Date de sortie
28/03/2003 (
)

Genre
Développement
Création graphique
Édition
Systèmes






Multijoueurs


#circuit #decors3dtext #objets3dtext #scrollmulti #voiture #vuedos #vuesubj
Présentation
La série des TOCA (pour TOuring CAr) a débuté sur Playstation et PC en 1997, s'est poursuivie avec un TOCA 2 en 1998, s'est prolongée en 2000, seulement sur Playstation avec TOCA World Touring Cars, pour revenir plus beau et plus fort en 2002 sur Playstation 2 et 2003 sur PC, avec ce titre : TOCA Race Driver. Le titre profite des trois plus grosses licences de compétition de voitures de tourisme de l'époque: le BTCC (British Touring Car Championship), le DTM (Deutsche Tourenwagen Masters) et le V8 Supercars (Australie).
Le gameplay penche fortement du côté arcade avec une physique moyennement réaliste de la conduite, des dégâts non proportionnels aux chocs, des adversaires carrément tricheurs ! Et un petit côté simulation avec juste ce qu'il faut de glisse, de survirage ou sous-virage dans la maitrise du véhicule pour qu'il y ait un challenge de conduite, ainsi que des dégâts localisés et visuels sur la voiture et la possibilité d'effectuer des réglages.
Ryan McKane, au nom du père...
Contrairement aux précédents opus, TOCA Race Driver enrobe son jeu, pour la première fois, d'un scénario. On commence sur une première cinématique d'un accident en course qui se termine par le décès du père de Ryan McKane lorsqu'il n'avait qu'environ 10 ans. Puis une seconde cinématique, 15 ans plus tard, où l'on découvre Ryan, adulte et jeune pilote en devenir, que vous allez incarner.
Le scénario est l'activité principale du jeu, vous commencerez par une proposition de pilote pour une équipe du BTCC, avec un test à réussir pour être engagé (un tour de circuit chronométré). Puis les courses et les championnats s'enchainent au gré de vos résultats. Il y a un premier niveau de 6 championnats (2 avec voitures monotypes : Alfa Cup et NEC (Saab), et 4 multimarques : TOCA (BTCC), Pacific Challenge, Americas Series et SEC) ainsi que des Single Events : un pilote vous défie sur un tour de circuit avec voiture identique : si vous le battez, vous gardez la voiture. Au bout de 132 points, on débloque le niveau suivant avec quatre championnats (DTM, V8 Supercars, European Tour et American All Stars (Nascar sans la licence) et toujours les Single Events. Idem, à 132 points, vous débloquez le Lola World Championship. Le barème de points est pour les 6 premiers : 10,6,4,3,2,1 et 10 points en Single Events. Un championnat comporte 6 courses et peut donc valoir 60 points maximum. Des objectifs de rémunération supplémentaire sont proposés (battre une équipe, finir sur le podium du championnat, gagner un nombre X de courses), cet argent vous servira au delà du Lola World Championship... à vous de le découvrir !
Pour le reste, on trouve les modes de jeu habituels : course libre (choix du championnat, des circuits et des voitures disponibles dans ce championnat, du nombre de tours) ou freestyle (voitures et circuits comme bon vous semble), contre la montre, jeu en réseau, multijoueurs (jusqu'à 4 sur un même écran).
T'as la frite, McKane ?
TOCA Race Driver est graphiquement magnifique et n'a pas pris beaucoup de rides. C'est visuellement irréprochable, avec quatre vues disponibles et un replay en fin course, tout comme le contenu jouable: 44 voitures variées et de marques connues et les 39 circuits sont réels ou ont existé dans leur tracé en 2002 (Silverstone, Catalogne, Zandvoort par exemple...). Mention spéciale au circuit de Dijon-Prénois que l'on ne voit pas souvent en jeu vidéo. La progression du scénario n'est pas linéaire en fonction de l'offre que vous accepterez et des vidéos entre les courses vous maintiendront en haleine pour connaitre le fin mot de l'histoire. Dans le garage, un petit commentaire vous aidera lors des réglages de la voiture (pas toujours pertinent, à vrai dire) et votre chef d'équipe vous donnera des informations intéressantes pendant les courses (nombre de tours restants, qui est devant ou derrière, de simples encouragements...).
Mais le tableau n'est pas parfait ! Je suis pourtant le premier à pester quand on affronte une IA stupide au QI d'huitre dans les jeux de course mais là, c'est carrément de la triche. Alors bon, passe encore les coups de portière ou de parechoc des adversaires IA, c'est de bonne guerre, ils me rendent la monnaie de ma pièce. Mais les accélérations de dragster en ligne droite ou dans l'herbe quand votre véhicule n'a pas les mêmes propriétés, j’ appelle ça de la triche. Du coup pour compenser, il plante les freins sans raison dans des courbes rapides, quand on est juste derrière, merci le brake-check ! J'ai vraiment déprimé contre l'IA de ce jeu qui alterne le pire et le meilleur en même temps. Autre défaut et héritage d'un jeu console, pas de souris dans les menus, tout se dirige au clavier et sauvegarde imposée toutes les deux courses, ce sont des limitations un peu frustrantes.
Avis
Abandonware d'Or sans hésiter ! Un contenu complet, un pilotage fun (malgré une IA tordue) et des graphismes chatoyants pour son âge. Codemasters reprendra la formule du scénario pour ses jeux de F1 et certains Dirt Rally, mais l'original, le premier, l'unique à introduire la formule, c'est TOCA Race Driver !
Révision Technique chez Abandonware France Garage
Jeu testé avec la version Automatique sans problème. A noter quelques freezes d'écran parfois mais cela semble provenir du jeu, car ils se reproduisent aussi en utilisation avec les ISO. J'ai également eu une sauvegarde corrompue qui plantait le jeu (retour bureau) à chaque lancement de course. Privilégier un volant ou une manette analogique car la gestion de l'accélération est difficile en on/off.
Config d'origine clavier:
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Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

La série des TOCA (pour TOuring CAr) a débuté sur Playstation et PC en 1997, s'est poursuivie avec un TOCA 2 en 1998, s'est prolongée en 2000, seulement sur Playstation avec TOCA World Touring Cars, pour revenir plus beau et plus fort en 2002 sur Playstation 2 et 2003 sur PC, avec ce titre : TOCA Race Driver. Le titre profite des trois plus grosses licences de compétition de voitures de tourisme de l'époque: le BTCC (British Touring Car Championship), le DTM (Deutsche Tourenwagen Masters) et le V8 Supercars (Australie).
Le gameplay penche fortement du côté arcade avec une physique moyennement réaliste de la conduite, des dégâts non proportionnels aux chocs, des adversaires carrément tricheurs ! Et un petit côté simulation avec juste ce qu'il faut de glisse, de survirage ou sous-virage dans la maitrise du véhicule pour qu'il y ait un challenge de conduite, ainsi que des dégâts localisés et visuels sur la voiture et la possibilité d'effectuer des réglages.

Contrairement aux précédents opus, TOCA Race Driver enrobe son jeu, pour la première fois, d'un scénario. On commence sur une première cinématique d'un accident en course qui se termine par le décès du père de Ryan McKane lorsqu'il n'avait qu'environ 10 ans. Puis une seconde cinématique, 15 ans plus tard, où l'on découvre Ryan, adulte et jeune pilote en devenir, que vous allez incarner.
Le scénario est l'activité principale du jeu, vous commencerez par une proposition de pilote pour une équipe du BTCC, avec un test à réussir pour être engagé (un tour de circuit chronométré). Puis les courses et les championnats s'enchainent au gré de vos résultats. Il y a un premier niveau de 6 championnats (2 avec voitures monotypes : Alfa Cup et NEC (Saab), et 4 multimarques : TOCA (BTCC), Pacific Challenge, Americas Series et SEC) ainsi que des Single Events : un pilote vous défie sur un tour de circuit avec voiture identique : si vous le battez, vous gardez la voiture. Au bout de 132 points, on débloque le niveau suivant avec quatre championnats (DTM, V8 Supercars, European Tour et American All Stars (Nascar sans la licence) et toujours les Single Events. Idem, à 132 points, vous débloquez le Lola World Championship. Le barème de points est pour les 6 premiers : 10,6,4,3,2,1 et 10 points en Single Events. Un championnat comporte 6 courses et peut donc valoir 60 points maximum. Des objectifs de rémunération supplémentaire sont proposés (battre une équipe, finir sur le podium du championnat, gagner un nombre X de courses), cet argent vous servira au delà du Lola World Championship... à vous de le découvrir !
Pour le reste, on trouve les modes de jeu habituels : course libre (choix du championnat, des circuits et des voitures disponibles dans ce championnat, du nombre de tours) ou freestyle (voitures et circuits comme bon vous semble), contre la montre, jeu en réseau, multijoueurs (jusqu'à 4 sur un même écran).

TOCA Race Driver est graphiquement magnifique et n'a pas pris beaucoup de rides. C'est visuellement irréprochable, avec quatre vues disponibles et un replay en fin course, tout comme le contenu jouable: 44 voitures variées et de marques connues et les 39 circuits sont réels ou ont existé dans leur tracé en 2002 (Silverstone, Catalogne, Zandvoort par exemple...). Mention spéciale au circuit de Dijon-Prénois que l'on ne voit pas souvent en jeu vidéo. La progression du scénario n'est pas linéaire en fonction de l'offre que vous accepterez et des vidéos entre les courses vous maintiendront en haleine pour connaitre le fin mot de l'histoire. Dans le garage, un petit commentaire vous aidera lors des réglages de la voiture (pas toujours pertinent, à vrai dire) et votre chef d'équipe vous donnera des informations intéressantes pendant les courses (nombre de tours restants, qui est devant ou derrière, de simples encouragements...).
Mais le tableau n'est pas parfait ! Je suis pourtant le premier à pester quand on affronte une IA stupide au QI d'huitre dans les jeux de course mais là, c'est carrément de la triche. Alors bon, passe encore les coups de portière ou de parechoc des adversaires IA, c'est de bonne guerre, ils me rendent la monnaie de ma pièce. Mais les accélérations de dragster en ligne droite ou dans l'herbe quand votre véhicule n'a pas les mêmes propriétés, j’ appelle ça de la triche. Du coup pour compenser, il plante les freins sans raison dans des courbes rapides, quand on est juste derrière, merci le brake-check ! J'ai vraiment déprimé contre l'IA de ce jeu qui alterne le pire et le meilleur en même temps. Autre défaut et héritage d'un jeu console, pas de souris dans les menus, tout se dirige au clavier et sauvegarde imposée toutes les deux courses, ce sont des limitations un peu frustrantes.

Abandonware d'Or sans hésiter ! Un contenu complet, un pilotage fun (malgré une IA tordue) et des graphismes chatoyants pour son âge. Codemasters reprendra la formule du scénario pour ses jeux de F1 et certains Dirt Rally, mais l'original, le premier, l'unique à introduire la formule, c'est TOCA Race Driver !

Jeu testé avec la version Automatique sans problème. A noter quelques freezes d'écran parfois mais cela semble provenir du jeu, car ils se reproduisent aussi en utilisation avec les ISO. J'ai également eu une sauvegarde corrompue qui plantait le jeu (retour bureau) à chaque lancement de course. Privilégier un volant ou une manette analogique car la gestion de l'accélération est difficile en on/off.
Config d'origine clavier:
- Tourner à gauche : Flèche gauche
- Tourner à droite : Flèche droite
- Accélérer : Flèche haut
- Freiner : Flèche bas
- Passer à la vitesse supérieure : A
- Rétrograder : Z
- Frein à main : Espace
- Afficher les dégâts : Ctrl droit
- Regarder à gauche ,
- Regarder à droite .
- Regarder en arrière : Maj droit
- Changer la vue : C

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