Cars
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titre Introduction

Cars est le septième long-métrage d’animation en images de synthèse des studios Pixar, co-produit par Walt Disney Studios et sorti en 2006 sur grand écran. Dans un monde entièrement peuplé d’automobiles anthropomorphes, c’est-à-dire de voitures vivantes, parlantes et dotées de conscience, et où les véritables êtres humains n’existent pas, Flash McQueen est une jeune voiture de course aspirant à la gloire sur les circuits de la Piston Cup, l’alter-égo fictif de la Nascar aux États-Unis. Lors de la dernière course de la saison, McQueen termine à égalité de points avec ses deux rivaux, Strip Weathers dit "le King", multiple vainqueur de la Piston Cup sur le point de prendre sa retraite, et Chick Hicks, une acariâtre voiture verte tricheuse et violente sur la piste.

Afin de départager les trois rivaux ex-æquo, une ultime course est organisée à Los Angeles en Californie, et McQueen s’y rend donc bon train, désireux de remporter sa première Piston Cup. Cependant, un regrettable incident avec des voitures délinquantes sur l’Interstate 40 sépare McQueen de Mack, son transporteur. Flash se retrouve donc perdu sur la Route 66 et débarque en pleine nuit à Radiator Springs, une petite ville rurale du comté de Carburator en Arizona, non sans endommager la route principale lors d’une course poursuite avec le shérif de la ville. Condamné à réparer les dégâts causés lors de son arrivée, McQueen va rester près d’une semaine dans cette petite bourgade, et va s’y lier d’amitié avec les différents habitants, tout en découvrant l’histoire de la ville.

Retrouvé par la presse au bout de plusieurs jours, McQueen participe finalement à la dernière course de la saison, mais renonce à la victoire pour aider le King à franchir la ligne d’arrivée, ce dernier étant accidenté par un accrochage provoqué par Chick Hicks. Si ce dernier remporte la Piston Cup, Flash lui conquiert le cœur des fans, et vient s’installer à Radiator Springs, donnant une nouvelle jeunesse à la ville et à la Route 66, désertées depuis la construction de l’Interstate 40 quelques décennies plus tôt.

Le film connaît un important succès critique et commercial, avec 462 millions de dollars de recettes au box-office et plusieurs récompenses obtenues, dont le Golden Globe 2007 du meilleur film d’animation. Avec un tel succès, le long-métrage verra sans surprise l’arrivée de multiples produits dérivés, tels que des attractions dans les parcs Disney, des jouets, des courts-métrages, des séries TV et bien entendu des jeux-vidéos. C’est dans ce contexte que débarque Cars le jeu, sorti en même temps que le film, développé par Rainbow Studios et édité par THQ. Se passant un an après les événements du film, cette aventure vidéoludique propose au joueur de retrouver Flash McQueen à Radiator Springs pour la saison ultérieure de la Piston Cup. Il s’agira donc ici d’aider Flash à remporter pour de bon cette compétition, tout en se baladant dans la petite ville et en y aidant les habitants. Aventure digne du long-métrage ou simple produit dérivé servant à faire rentrer l’argent dans les caisses du géant américain de l’animation ? C’est donc parti pour le test de Cars le jeu-vidéo.

titre A la conquête de la Piston Cup

Au commencement de cette virée dans les grandes étendues sableuses du désert américain, le joueur retrouve Flash McQueen se reposant à l’hôtel de Radiator Springs, rêvant d’ores-et-déjà de ses futures courses. Alors que la saison approche, Mack lui signifie qu’il serait sûrement temps de commencer à s’entraîner s’il souhaite remporter la Piston Cup cette nouvelle saison. D’accord avec ce constat, McQueen va se décider à se remettre en jambes, et en guise d’entraînement, va se mettre à affronter les habitants de la petite ville, ainsi que des visiteurs venus de loin pour le voir, dans des courses de rues dans et aux alentours de la bourgade.

Le joueur va ainsi alterner entre courses de rues et courses de la Piston Cup, ce dernier devant suffisamment remporter des premières pour pouvoir participer aux secondes. Loin d’une aventure linéaire avec des courses qui s’enchaînent bêtement les unes après les autres, le soft est un véritable monde ouvert où le joueur pourra se balader dans Radiator Springs et ses environs entres les courses, parlant aux habitants et explorant les grandes étendues rocailleuses du désert.

Lâché dans ce charmant petit comté rural, le joueur doit remporter des points, au total de 250, pour terminer l’aventure, chaque palier intermédiaire donnant l’accès à une nouvelle course de la Piston Cup. Les courses de rues sont des épreuves relativement classiques, en général d’une durée de trois tours sur un tracé prédéfini et contre quatre adversaires, et qui permettent de remporter de précieux points de carrière sous condition de victoire. Les courses de la Piston Cup quant-à-elles se déroulent en douze tours contre dix-neufs adversaires, et voient McQueen lutter contre Chick Hicks et contre d’autres voitures de courses afin de remporter la victoire. Fait notable, ces courses comportent un aspect de gestion des pneus et d’arrêts aux stands, lors desquels le joueur devra réussir des QTE en temps limité s’il souhaite réaliser un arrêt rapide et revenir en piste devant ses adversaires. A tout moment de l’aventure, ce dernier pourra revenir en conduite libre s’il le souhaite, afin de se balader dans la ville ou explorer les recoins de la carte.

Plus qu’un enchaînement de courses, le titre propose une véritable histoire, avec des cinématiques, des personnages à qui parler et des missions scénarisées. Ainsi, au début de l’aventure, McQueen devra aller voir Doc, le maire de la ville, afin que ce dernier lui apprenne à déraper (référence directe au même moment du film). Quant à eux, Fillmore et Sergent vont lui apprendre respectivement à utiliser de la nitro et à réaliser de petits sauts en s’abaissant puis en se relevant sur ses suspensions. Enfin, Martin, le meilleur ami de Flash dans la petite bourgade, va lui apprendre à rouler en marche arrière grâce à ses rétroviseurs. Autant de nouveaux mouvements qui viennent s’ajouter aux classiques "accélérer, freiner, tourner", et que Flash pourra mettre en œuvre dans les courses de rues.

McQueen aura même affaire à Chick Hicks, venu l’espionner pendant son entraînement dans le désert, et qui va tenter de le déstabiliser en cambriolant Mack pendant la nuit sur l’autoroute. Le joueur contrôlera ainsi les voitures délinquantes du film, appelées gang des Road Hazards, afin de subtiliser à Mack les affaires de McQueen. Ce dernier se vengera ensuite en traquant les voleurs et en récupérant son matériel, envoyant ces derniers en prison et révélant la tentative de triche de son rival. Expérience variée et diversifiée, l’aventure permettra également au joueur de participer à une course de "demolition derby" contre les cousins de Martin, et même à une course de monster-trucks contre des camions hooligans venus le défier.

Si le joueur aura la liberté d’explorer Radiator Springs et ses environs, deux nouvelles cartes adjacentes viendront s’ajouter au monde ouvert au fil de l’histoire. Ainsi, après une nouvelle course-poursuite avec Shérif, Flash McQueen pourra désormais se rendre à Ornament Valley, un bassin rural comprenant entre autres une voie de chemins de fers désaffectée et un labyrinthe de haies. Plus tard dans l’aventure, Sally, la romance de Flash dans le long-métrage, invitera ce dernier à une virée vers le Col de Tailfin, un massif montagneux comportant des routes sinueuses à fleur de falaise et une mine d’or abandonnée.

Proposant une aventure riche et variée, Cars le jeu permet donc au joueur de participer à des activités diverses, des courses de rues, des missions scénarisées, et des courses de la Piston Cup, tout en lui laissant la possibilité de se balader librement sur la carte. Si l’histoire est plaisante à suivre et les courses de rues sympathiques dans ce décor pittoresque de l’ouest américain, les courses de la Piston Cup sont quant-à-elles d’une qualité et d’un intérêt très moyens, le joueur devant se contenter de garder la ligne intérieure sur le circuit ovale pendant douze tours afin de remporter la victoire. Si le pitch de base est intéressant et s’il est satisfaisant de voir Flash McQueen remporter sa première Piston Cup à l’issue de l’aventure, force est de constater que côté gameplay, ces courses assez ennuyeuses rendent l’expérience plutôt inégale. Malgré cela, Cars propose une virée plaisante, entre courses palpitantes et balades champêtres dans la campagne du comté de Carburator.

titre Quelques mini-jeux pour pimenter l’aventure

Si l’histoire principale de Cars est suffisamment riche et variée, le titre nous en donne encore plus avec les nombreux mini-jeux qu’il est possible de faire entre deux courses ou entre deux balades. Ainsi, cinq habitants de Radiator Springs auront chacun une série de mini-jeux à soumettre au joueur, afin de diversifier encore plus l’expérience et d’obtenir les derniers points de carrière qui lui permettront de terminer le soft à 100%.

  • Le camp d’entraînement du Sergent : Afin de mettre les nouveaux mouvements appris en application, le Sergent va soumettre Flash à une série de parcours d’obstacles chronométrés, où ce dernier devra déraper, s’incliner, mettre la nitro et sauter s’il souhaite triompher des nombreux pièges et terminer les trois tours dans le temps imparti. Plus les manches avancent et plus les parcours d’obstacles sont piégeux et difficiles.
  • Luigi à la rescousse : Après que Flash lui a appris avoir vu des pneus traîner sur le bord de la route, Luigi se met en tête de tous les ramasser dans le temps imparti. Ainsi, pour chaque manche le joueur devra regarder sa mini-carte et arpenter les environs de Radiator Springs afin de récupérer les pneus abandonnés et de les ramener au magasin de Luigi. Plus les manches avancent et plus les pneus sont nombreux et éloignés du magasin, rendant la tâche plus délicate de tous les récupérer.
  • Le Shérif aux trousses : La venue de Flash McQueen à Radiator Springs y a attiré de nombreux touristes qui ne respectent pas forcément les limites de vitesse. Le Shérif devra donc les traquer, et rester proche derrière eux suffisamment longtemps pour les arrêter. Chaque manche comporte trois chauffards à arrêter, et plus les manches avancent, plus ces derniers sont rapides et difficiles à traquer.
  • Chasse aux cartes postales de Lizzie : A cause d’une maladresse de Flash, la collection de vieilles cartes postales de Lizzie a été disséminée dans Radiator Springs, Ornament Valley et le Col de Tailfin. Il s’agira donc ici d’une chasse aux collectables qui amènera le joueur à fouiller les moindres recoins de la carte s’il souhaite remettre la main sur les vingt cartes postales à récupérer. Une invitation à l’exploration qui permettra à ce dernier de mieux connaître les trois zones visitables, mais également d’avoir un but autre que la balade lors des virées dans le monde ouvert.
  • Renverser les tracteurs : Comme dans le long-métrage, Flash et Martin aiment s’introduire la nuit dans les enclos des tracteurs afin de leur faire peur et de les renverser en arrière. Le joueur contrôlera donc Martin dans les enclos des tracteurs, gardés par Franck la terrifiante moissonneuse-batteuse. Avec des niveaux en vue aérienne, le but sera ici de se frayer un chemin dans les enclos afin de dénicher et d’effrayer tous les tracteurs, tout en prenant soin d’éviter les projecteurs, et surtout d’éviter Franck qui fait des rondes dans l’enclos afin de garder son troupeau. Véritable jeu d’infiltration, le joueur devra donc être discret et utiliser la ruse afin de traverser les niveaux, se faufiler dans l’ombre, et effrayer tous les tracteurs dans le temps imparti sans se faire prendre.

En plus d’une aventure déjà fournie et prenante, les différents mini-jeux permettent d’enrichir et de diversifier encore plus l’expérience de jeu, en proposant à chaque fois un gameplay un peu différent des courses traditionnelles. Si ces mini-jeux sont tous agréables à leur manière, mention honorable à "Renverser les tracteurs" qui propose un total changement de gameplay pour transformer Cars en un jeu d’infiltration où les différentes manches forment un véritable "jeu dans le jeu". Une addition réussie à un titre qui en donnait déjà beaucoup au joueur.

titre Points bonus et extras

Lors des différentes courses de rues, le joueur sera récompensé par l’obtention de points lors des divers dérapages et acrobaties qu’il fera subir à McQueen. Ce dernier obtiendra également des points supplémentaires sous condition d’un bon résultat en course, ou même d’un tour entièrement réalisé en tête de la course. De même, Flash trouvera sur la carte au cours de ses balades des icônes qui lui feront gagner des points, certaines plus difficiles à obtenir que d’autres, la couleur de l’icône correspondant au nombre de points récupérés une fois cette dernière ramassée. L’ensemble de ces points sont comptabilisés dans le mode histoire, et permettent au joueur de débloquer des récompenses exclusives dans la boutique du jeu, accessible depuis les menus.

Ainsi, il sera possible d’utiliser ces points pour acheter de nouvelles voitures à piloter dans le mode arcade ou dans le mode compétitif en écran partagé. De même, de nouvelles peintures pour toutes les voitures du jeu seront accessibles, et le joueur pourra changer la couleur de Flash dans le mode histoire en se rendant à l’atelier de Ramone. Enfin, il sera également possible de débloquer des dessins et des cinématiques exclusives qui retracent la création du jeu-vidéo. Tout un ensemble d’extras qui ne révolutionnent pas l’expérience de jeu, mais qui sont tout de même des ajouts bienvenus pour les fans de la licence.

titre Graphismes et sons

Visuellement, le titre reste correct sans toutefois révolutionner les standards de l’époque. La lumière est satisfaisante, les effets de particules plutôt réussis, les textures d’une qualité convenable et la modélisation des véhicules très fidèle à celle du long-métrage. De manière générale, la direction artistique reste très respectueuse du matériau d’origine, et il est plaisant d’évoluer dans un désert rocailleux du sud-ouest américain porté par un grand ciel bleu, des rochers aux couleurs ocres, de vielles bâtisses en bois abandonnées et une végétation desséchée se faisant assez discrète. Seul véritable bémol, la profondeur de champ pas très élevée avec parfois un clipping assez prononcé, notamment dans les zones avec un nombre important d’objets à charger. Rien de fondamentalement grave, mais il est simplement dommage pour l’immersion de voir apparaître des arbres ou des barils à quelques mètres devant soi sur la route.

Côté sonore, les bruitages du titre sont tous d’une qualité très convenable, avec en particulier des bruits de moteurs réussis et très ressemblants à ceux du long-métrage. Du point de vue du doublage, si certains acteurs du film reviennent prêter leurs voix à leurs personnages dans l’adaptation vidéoludique, ce n’est malheureusement pas le cas de tous, et force est de constater que les voix de remplacement utilisées ici ne sont pas à la hauteur de celles provenant du grand écran. Mention déshonorable à la voix française de Flash McQueen, aussi plate et désintéressée qu’une voix-off de gare ou d’ascenseur.

Côté musiques, c’est en revanche une franche réussite puisque le compositeur du titre, Bruno Coon, a su parfaitement reprendre les codes de la bande-son du film pour retranscrire des morceaux originaux, voguant entre le rock ‘n’ roll et la musique country, et qui s’adaptent parfaitement à l’ambiance un peu western de cette aventure vidéoludique. Si cette dernière ne bénéficie pas des titres sonores du long-métrage, les morceaux spécialement composés pour cette nouvelle aventure sont de qualité, et accompagnent parfaitement le joueur dans cette virée à travers le désert du sud-ouest américain. Si les voix sont un peu décevantes, le titre se rattrape donc par ses bruitages de qualité et par sa bande-son très cohérente et étudiée.

titre Gameplay

Niveau gameplay, la conduite du titre est de qualité relativement moyenne, la maniabilité des différentes voitures étant souvent perfectible. Si les sensations de conduite à haute vitesse sont satisfaisantes, force est de constater que le pilotage est un peu approximatif, avec des contrôles pas toujours précis et une fâcheuse tendance des différentes voitures à sous-virer. Si les différents mouvements appris par Flash McQueen au fil du mode histoire sont sympathiques, ces derniers restent pour la plupart relativement inutiles, seuls les dérapages et la nitro étant réellement essentiels en course. Rien de fondamentalement grave, et le joueur arrivera sans peine à terminer l’aventure avec la conduite proposée par le titre, mais la maniabilité aurait gagnée à être un peu plus travaillée et précise afin d’offrir des sensations de conduite encore meilleures.

Par ailleurs, le joueur aura le choix entre plusieurs caméras : une vue subjective, une vue à la troisième personne rapprochée et une plus éloignée. Aucune de ces vues ne semble poser de problème particulier, et peu de soucis de caméras ont été rencontrés lors de ce test.

Côté difficulté, le titre propose au joueur de choisir entre une aventure dite "compacte", plus courte, plus facile et à destination des jeunes enfants, et une aventure dite "intégrale", plus longue, un peu plus difficile et à destination d’un public un peu plus âgé. Si ce test a été réalisé avec la campagne complète, force est de constater que le titre reste relativement facile, et qu’il est assez improbable d’être mis en difficulté par le jeu, que ce soit au niveau des adversaires ou des temps à battre dans les différents mini-jeux. Cependant, Cars possède pourtant bien des niveaux de difficulté concernant les intelligences artificielles des adversaires, mais ces réglages restent réservés au mode arcade. Malgré cela, il reste possible d’augmenter le difficulté du titre en choisissant "CHMPION" comme nom de profil, ce cheat-code permettant d’activer le niveau de difficulté le plus élevé en mode histoire.

Enfin, concernant la durée de vie du titre, malgré la richesse de l’histoire et la variété dans les différentes phases de gameplay proposées au fil de l’aventure, il convient tout de même de noter la relativement faible longévité du soft, avec une aventure qui s’est bouclée à 100% pour ce test en environ 5h30, en utilisant seulement une soluce pour les cartes postales de Lizzie les plus difficiles à dénicher. Si cela reste une durée de vie plutôt convenable pour un jeu destiné en priorité aux enfants, les joueurs les plus aguerris et les plus investis dans la licence risqueront de rester un peu sur leur faim à l’issue du mode histoire.

titre Conclusion

Au global, Cars le jeu-vidéo est un titre très sympathique et avenant, qui propose au joueur d’incarner Flash McQueen et d’aider ce dernier à remporter sa première Piston Cup, tout en se baladant dans Radiator Springs et ses environs, en y défiant ses habitants à la course et en y réalisant des mini-jeux. Le mode histoire reste très plaisant à parcourir, avec des missions scénarisées, des cinématiques à visionner, ainsi que tous les personnages clés de la petite ville rurale des États-Unis, théâtre de l’action du long-métrage. Avec une histoire agréable, des variations de gameplay intéressantes rendues notamment possibles par les mini-jeux, et un cadre très charmant et pittoresque au milieu du désert américain, Cars le jeu-vidéo est un excellent moyen pour les fans de la licence de prolonger l’expérience du grand écran.

Malgré cela, des courses de la Piston Cup un peu ennuyeuses et inintéressantes, des problèmes de clipping, une maniabilité perfectible, des niveaux de difficulté confus et une durée de vie relativement limitée viennent ternir un peu le tableau. Aucune issue majeure cependant, Cars restant un titre très agréable à parcourir et proposant au joueur une expérience réussie et assez unique dans son genre. Une belle virée qui conviendra à tous les fans de la licence, mais également aux curieux qui souhaitent se frotter à ce titre un peu atypique.

Une fois cette adaptation vidéoludique sortie sur le petit écran, trois autres softs viendront honorer l’héritage de cette franchise, avec les jeux de course Cars Mater-National en 2007 et Cars Race-O-Rama en 2009, ce dernier n’ayant jamais vu le chemin du PC. De plus, un titre ne comportant que des mini-jeux, intitulé Cars Radiator Springs Adventures, sortira la même année que le long-métrage, en 2006 donc. Quatre jeux au total pour ce film fondamental et pourtant si particulier des studios Pixar, de quoi rouler donc pour les amateurs de virées sous le soleil du désert américain.



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