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Dark Castle
Série
Date de sortie
1987 (
)

Genre
Développement
Conversion sur PC
Édition
Distribution en Europe
Systèmes








#chateau #decors2dbitmap #objets2dbitmap #vuelater
Présentation du jeu
Dark Castle, c'est sans doute l'histoire d'une révolution manquée. Pour qui a eu la chance de jouer en contexte (comprendre les quadragénaires qui ont eu le jeu entre les mains), le titre a laissé un souvenir doux amer.
Dark Castle c'est d'abord une extraordinaire prouesse graphique et technique et sonore. Graphique tout d'abord, car le jeu se payait le luxe de transcender les limitations techniques de l'époque pour proposer un jeu certes rétrospectivement limité mais bien au-dessus des standards de l'époque. S'il était besoin d'un critère, on pourra y jouer aujourd'hui sans le trouver moche. C'est dire plus de 30 ans plus tard. L'utilisation des sons est judicieuse et a marqué en son temps car la chose n'était pas courante. Mais ce qui frappe le plus est l'utilisation d'arme (en l'occurrence de cailloux) à 360 degrés. Le jeu introduisait bon nombre d'innovations qui se révélaient pas toutes judicieuses mais dans l'ensemble qui apportaient un souffle nouveau au genre. Les animations sont particulièrement réussies pour ce qui est des sauts et lorsqu'il grimpe à la corde. Alors qu'est ce qui a empêché le jeu d'être un Prince of Persia avant la lettre ? La difficulté tout d'abord. Le nombre d'armes portées est limité et pour ne rien arranger votre barre de vie descend trop vite. Certes vous pourrez paramétrer la difficulté lors de l'écran d'accueil mais cela risque de ne pas suffire. Car le gameplay est littéralement pourri. C'est à vrai dire l'un des pires qu'il m'ait été donné de voir. Les commandes sont à la limite de la jouabilité et nourriront une grosse frustration. En se voulant élitiste, le gameplay a nui au plaisir du joueur.
Le scénario est des plus banals. Vous jouez un paladin du nom de Duncan qui a pour objectif de tuer un prince maléfique qui terrorise la contrée environnante.
Postérité
Croyant en leur bébé, les développeurs ont lancé une suite l'année suivante et sont revenus à leur premier amour en offrant un Dark Castle en version couleur. Hélas, le fond du jeu ne sera pas corrigé. Le jeu avait bénéficié d'un fort soutien sur Mac et c'est sur ce support qu'une dernière suite sera proposée en 2008.
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Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

Dark Castle, c'est sans doute l'histoire d'une révolution manquée. Pour qui a eu la chance de jouer en contexte (comprendre les quadragénaires qui ont eu le jeu entre les mains), le titre a laissé un souvenir doux amer.
Dark Castle c'est d'abord une extraordinaire prouesse graphique et technique et sonore. Graphique tout d'abord, car le jeu se payait le luxe de transcender les limitations techniques de l'époque pour proposer un jeu certes rétrospectivement limité mais bien au-dessus des standards de l'époque. S'il était besoin d'un critère, on pourra y jouer aujourd'hui sans le trouver moche. C'est dire plus de 30 ans plus tard. L'utilisation des sons est judicieuse et a marqué en son temps car la chose n'était pas courante. Mais ce qui frappe le plus est l'utilisation d'arme (en l'occurrence de cailloux) à 360 degrés. Le jeu introduisait bon nombre d'innovations qui se révélaient pas toutes judicieuses mais dans l'ensemble qui apportaient un souffle nouveau au genre. Les animations sont particulièrement réussies pour ce qui est des sauts et lorsqu'il grimpe à la corde. Alors qu'est ce qui a empêché le jeu d'être un Prince of Persia avant la lettre ? La difficulté tout d'abord. Le nombre d'armes portées est limité et pour ne rien arranger votre barre de vie descend trop vite. Certes vous pourrez paramétrer la difficulté lors de l'écran d'accueil mais cela risque de ne pas suffire. Car le gameplay est littéralement pourri. C'est à vrai dire l'un des pires qu'il m'ait été donné de voir. Les commandes sont à la limite de la jouabilité et nourriront une grosse frustration. En se voulant élitiste, le gameplay a nui au plaisir du joueur.
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