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#decors3dtext #objets2dbitmap #paintball #scrollmulti #vuesubj
Attention, peinture fraîche !
Après avoir récemment découvert la collection Extreme avec l'inénarrable Extreme Watersports, c'est encore Fingus qui nous offre un titre issu de cette saga qui a envahi les bacs des supermarkets des Etats-Unis à la fin des années 1990. Pour Extreme Paintbrawl, l'éditeur reste HeadGames Publishing, mais la réalisation a été confiée à un studio qui n'a pas connu de réelle gloire, en l'occurence Creative Carnage. Selon une légende relayée sur le site Mobygames, l'éditeur a laissé deux semaines au studio de développement pour aller au bout de la programmation du jeu. Deux semaines, ça fait 336 heures. Mais même en déclinant ce délai en minutes ou en secondes, cela restera deux semaines. Du coup, dire que le jeu est bâclé et bugué est un doux euphémisme.
Pourtant, il y avait de l'idée derrière le projet de Carlos Cuello, le programmeur en chef de ce jeu. Un FPS sans violence, avec des ennemis à abattre en utilisant une arme dont les seules munitions sont de la peinture, c'était une idée sympa ! Oui mais voilà, sitôt passé l'écran principal du jeu, on est contraints de passer par une tente pour choisir une équipe, la nommer, et recruter les huit membres de son escouade. Puis il faut aller au magasin, sous la houlette de Sheridan, leader mondial de pistolets à air comprimé utilisés pour le Paintball. On n'échappe pas aux sponsors qui ont financé le jeu, ce qui semble la "marque" de fabrique des jeux Extreme.
Si vous décidez de vous entraîner avant de partir en guerre, sachez que vous allez arpenter cinq environnements sans ennemi ni coéquipiers, désespérèment seul avec votre flingue dans des couloirs aux décors pixellisés. En mode "Play a Match" vous allez tellement ramer que vous ne pourrez pas répondre aux tirs de l'adversaire, et votre seul salut sera de courir à l'aveuglette pour dénicher le drapeau de l'ennemi et de gagner "à la Pyrrhus". Quant aux "saisons", elles doivent être intéressantes, à condition d'opter pour le mode multijoueurs qui existe ici, mais que l'on n'a pas testé.
Conclusion
Deux semaines pour ce résultat, c'est finalement une belle performance ! Mais soyons réalistes : le jeu est buggué et le moteur de jeu, repris de celui de Duke Nukem 3D, est indigne de la réputation du premier nommé. Les environnements semblent sortis d'un jeu d'arcade de la fin des années 80. L'IA est inexistante, ce qui occasionne des ennemis qui ne cherchent pas à se camoufler et des coéquipiers qui traînent à portée de peinture fraîche. Pour faire fonctionner le jeu, il a fallu que notre équipe utilise beaucoup d'énergie pour contourner les écueils. Le jeu rame et le son est absent sous peine de plantage. Les déplacements, au joystick ou au clavier, sont plutôt difficiles à retenir, et il faudra revenir souvent à l'écran de configuration du jeu pour vérifier la validité des touches. Un jeu absolument raté, et ce qui est incompréhensible, c'est qu'il y a eu non seulement une suite, en 1999, mais deux autres en 2000 et 2002 ! Une vraie licence pour quatre jeux qui ont tous subi une violente campagne de critiques. Vous tenez le premier de la série entre les mains : Essayez-le, et vérifiez que l'on a eu raison de lui décerner un Abandonware de plomb !
Lancement
Sans The Uploader, le jeu serait resté dans les cartons des jeux "impossibles à faire fonctionner" et n'aurait pas eu de fiche sur Abandonware France. Préférez la version "automatisée" plutôt que l'archive des fichiers-jeux, que seuls les initiés arriveront à faire tourner.
Voici les instructions pour faire fonctionner le setup (qui a été réglé pour un clavier AZERTY) :
- Télécharger et installez la version automatique
- Lancer le jeu
- Lancer une partie en mode joueur seul
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Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.
Des questions ? besoin d'aide ?
Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

Après avoir récemment découvert la collection Extreme avec l'inénarrable Extreme Watersports, c'est encore Fingus qui nous offre un titre issu de cette saga qui a envahi les bacs des supermarkets des Etats-Unis à la fin des années 1990. Pour Extreme Paintbrawl, l'éditeur reste HeadGames Publishing, mais la réalisation a été confiée à un studio qui n'a pas connu de réelle gloire, en l'occurence Creative Carnage. Selon une légende relayée sur le site Mobygames, l'éditeur a laissé deux semaines au studio de développement pour aller au bout de la programmation du jeu. Deux semaines, ça fait 336 heures. Mais même en déclinant ce délai en minutes ou en secondes, cela restera deux semaines. Du coup, dire que le jeu est bâclé et bugué est un doux euphémisme.
Pourtant, il y avait de l'idée derrière le projet de Carlos Cuello, le programmeur en chef de ce jeu. Un FPS sans violence, avec des ennemis à abattre en utilisant une arme dont les seules munitions sont de la peinture, c'était une idée sympa ! Oui mais voilà, sitôt passé l'écran principal du jeu, on est contraints de passer par une tente pour choisir une équipe, la nommer, et recruter les huit membres de son escouade. Puis il faut aller au magasin, sous la houlette de Sheridan, leader mondial de pistolets à air comprimé utilisés pour le Paintball. On n'échappe pas aux sponsors qui ont financé le jeu, ce qui semble la "marque" de fabrique des jeux Extreme.
Si vous décidez de vous entraîner avant de partir en guerre, sachez que vous allez arpenter cinq environnements sans ennemi ni coéquipiers, désespérèment seul avec votre flingue dans des couloirs aux décors pixellisés. En mode "Play a Match" vous allez tellement ramer que vous ne pourrez pas répondre aux tirs de l'adversaire, et votre seul salut sera de courir à l'aveuglette pour dénicher le drapeau de l'ennemi et de gagner "à la Pyrrhus". Quant aux "saisons", elles doivent être intéressantes, à condition d'opter pour le mode multijoueurs qui existe ici, mais que l'on n'a pas testé.

Deux semaines pour ce résultat, c'est finalement une belle performance ! Mais soyons réalistes : le jeu est buggué et le moteur de jeu, repris de celui de Duke Nukem 3D, est indigne de la réputation du premier nommé. Les environnements semblent sortis d'un jeu d'arcade de la fin des années 80. L'IA est inexistante, ce qui occasionne des ennemis qui ne cherchent pas à se camoufler et des coéquipiers qui traînent à portée de peinture fraîche. Pour faire fonctionner le jeu, il a fallu que notre équipe utilise beaucoup d'énergie pour contourner les écueils. Le jeu rame et le son est absent sous peine de plantage. Les déplacements, au joystick ou au clavier, sont plutôt difficiles à retenir, et il faudra revenir souvent à l'écran de configuration du jeu pour vérifier la validité des touches. Un jeu absolument raté, et ce qui est incompréhensible, c'est qu'il y a eu non seulement une suite, en 1999, mais deux autres en 2000 et 2002 ! Une vraie licence pour quatre jeux qui ont tous subi une violente campagne de critiques. Vous tenez le premier de la série entre les mains : Essayez-le, et vérifiez que l'on a eu raison de lui décerner un Abandonware de plomb !

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