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Ceremony of Innocence
Date de sortie
1997 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution en France
Distribution en Allemagne
Systèmes

#courrier #curseur #director #objets2dbitmap #vuesubj
Présentation
Ceremony of Innocence est une fiction interactive directement inspirée de la trilogie de Nick Bantock : "Sabin & Griffin". Comme l'oeuvre littéraire dont il s'inspire, le jeu se caractérise par des échanges de cartes que vous devez ouvrir en utilisant votre curseur comme d'un coupe-papier ou comme d'un doigt expert. Griffin Moss est un artiste londonien qui vit au coeur de la mégapole grisâtre. Il reçoit une magnifique carte des Îles Sicmons, dans le Pacifique Sud, d'une mystérieuse Sabine Strohem. Cette dernière lui révèle le connaître à travers ses peintures, et affirme le voir de façon télépathique. Griffin répond à Sabin, et une mystérieuse correspondance naît entre ces deux êtres que tout sépare.
Conte initiatique ou rêve éveillé ?
Le jeu a toutes les apparences d'un conte initiatique de la catégorie des clones de Myst. Mais très vite, vous allez comprendre que les puzzles se résolvent en tâtonnant et non en combinant des indices à de savants calculs. De la première enveloppe à la dernière missive, vous allez revivre les trois albums illustrés de la trilogie de Nick Bantock. Parfois, il faudra cliquer sur les zones interactives, parfois il faudra recourir au "Drag and Drop" (je clique gauche sur un coin et je maintiens le bouton appuyé tout en tirant l'objet grâce aux mouvements de la souris). D'autres fois, il faudra simplement secouer sa souris en l'absence de curseur. Lorsque l'enveloppe est ouverte, la carte/lettre apparaît et la voix de Paul Mc Gann ou d'Isabella Rossellini lit la missive, et la musique rythme la lecture, tantôt mystérieuse, tantôt triste, enjouée.
Dès l'écran du menu, vous allez entrer votre nom ou votre pseudonyme, et le générique retentit. Pour sauvegarder votre progression, vous allez appuyer sur Ctrl et Q simultanément, et choisir l'icone du bonhomme à bascule : vous vous retrouvez sur la page du menu, et vous cherchez le nom sous lequel vous voulez sauvegarder votre progression. A chaque fois que vous allez revenir au jeu, vous allez devoir choisir le nom du jeu et le générique débute : Vous appuyez sur la Barre Espace et vous arriverez sur la page où s'affiche votre progression mémorisée. Vous pourrez à tout moment recommencer un puzzle pour le plaisir que sa résolution procure, ou pour "relire" une lettre dont le détail vous avait échappé.
Les trois parties (The Falcon, The Gryphon et The Phoenix) vous plongent dans une étrange rêverie métaphysique : Correspondance imaginaire, monologue schizophrène, réel don télépathique entre deux êtres doués d'une sensibilité hors du commun ? Peu à peu, au gré de la fantaisie de Sabine et de la morosité dépressive de Griffin, vous allez arpenter des paysages imaginaires esquissés par les couleurs des illustrations des cartes et par la magie des mots.
Conclusion
Conçu comme un poëme illustré, le "jeu" est en réalité une suite de 58 cartes, 58 oeuvres d'art qui vous plongent dans l'essence de l'âme humaine. Un voyage au plus profond de vous-mêmes, car chacun est libre d'interpréter cette suite de cartes comme bon lui semble. Attention, c'est un logiciel en anglais, il demande un très bon niveau de langue pour libérer tous ses arômes. Et si trois heures seront nécessaires pour aller au bout de la dernière missive, il faudra y revenir plusieurs fois pour confronter ses émotions à tout ce que l'on peut identifier de sens caché. Comme si 58 tableaux surréalistes ou expressionnistes animés et nimbés de musique et de sons venaient exhaler leurs couleurs et leurs impressions sur l'écran de votre ordinateur...
Dernière minute
Le test a été réalisé avec la version originale, présente en téléchargement. Mais la version française a été ajoutée ultérieurement et permettra de donner plus de consistance aux effets poétiques de ce livre d'images illustré de rêveries.
Lancement
Un jeu particulièrement capricieux, avec quelques retours intempestifs sur le bureau (sauvegardez souvent). Testé avec un ordi Win 7 et 64 bits sur VPC et Win 98. Réglez vos paramètres avec 16 bits et résolution d'écran 640*480.
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Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
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Ceremony of Innocence est une fiction interactive directement inspirée de la trilogie de Nick Bantock : "Sabin & Griffin". Comme l'oeuvre littéraire dont il s'inspire, le jeu se caractérise par des échanges de cartes que vous devez ouvrir en utilisant votre curseur comme d'un coupe-papier ou comme d'un doigt expert. Griffin Moss est un artiste londonien qui vit au coeur de la mégapole grisâtre. Il reçoit une magnifique carte des Îles Sicmons, dans le Pacifique Sud, d'une mystérieuse Sabine Strohem. Cette dernière lui révèle le connaître à travers ses peintures, et affirme le voir de façon télépathique. Griffin répond à Sabin, et une mystérieuse correspondance naît entre ces deux êtres que tout sépare.

Le jeu a toutes les apparences d'un conte initiatique de la catégorie des clones de Myst. Mais très vite, vous allez comprendre que les puzzles se résolvent en tâtonnant et non en combinant des indices à de savants calculs. De la première enveloppe à la dernière missive, vous allez revivre les trois albums illustrés de la trilogie de Nick Bantock. Parfois, il faudra cliquer sur les zones interactives, parfois il faudra recourir au "Drag and Drop" (je clique gauche sur un coin et je maintiens le bouton appuyé tout en tirant l'objet grâce aux mouvements de la souris). D'autres fois, il faudra simplement secouer sa souris en l'absence de curseur. Lorsque l'enveloppe est ouverte, la carte/lettre apparaît et la voix de Paul Mc Gann ou d'Isabella Rossellini lit la missive, et la musique rythme la lecture, tantôt mystérieuse, tantôt triste, enjouée.
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Les trois parties (The Falcon, The Gryphon et The Phoenix) vous plongent dans une étrange rêverie métaphysique : Correspondance imaginaire, monologue schizophrène, réel don télépathique entre deux êtres doués d'une sensibilité hors du commun ? Peu à peu, au gré de la fantaisie de Sabine et de la morosité dépressive de Griffin, vous allez arpenter des paysages imaginaires esquissés par les couleurs des illustrations des cartes et par la magie des mots.

Conçu comme un poëme illustré, le "jeu" est en réalité une suite de 58 cartes, 58 oeuvres d'art qui vous plongent dans l'essence de l'âme humaine. Un voyage au plus profond de vous-mêmes, car chacun est libre d'interpréter cette suite de cartes comme bon lui semble. Attention, c'est un logiciel en anglais, il demande un très bon niveau de langue pour libérer tous ses arômes. Et si trois heures seront nécessaires pour aller au bout de la dernière missive, il faudra y revenir plusieurs fois pour confronter ses émotions à tout ce que l'on peut identifier de sens caché. Comme si 58 tableaux surréalistes ou expressionnistes animés et nimbés de musique et de sons venaient exhaler leurs couleurs et leurs impressions sur l'écran de votre ordinateur...

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