Page d'accueil
News
Notre définition
Participez
Jeux Abandonware
Abandonware facile
Dans le navigateur
Trésors exhumés
Sagas/séries
Démos/Shareware
Non Abandonware
Chambre vaudoue
Jeux éducatifs
Logiciels culturels
Advergames
Solutions
Trucs & astuces
Utilitaires
Dosbox.fr
F.A.Q.
Manuels
Magazines
Livres
Romans de Gilles
Livre de Hoagie
Guides de S.Rocher
BIIPER
Screenshots
Covers
Scans Disques
Publicités
Abandonware TV
Musiques
Logos&Sonneries
Compagnies
Personnalités
Compilations
Récompenses
Dossiers
Salons & Evts
Timelines
Parc Minecraft
Zone Membres
Forums
Discord
Page Facebook
Page Twitter
Page Instagram
Groupe Steam
Chaîne Youtube
Chaîne Twitch
Tests des membres
Fan Arts
Donateurs
L'équipe
Historique
Livre d'or
Aidez-nous
Contact
Partenariats
Liens sélectionnés

Submarine Titans
Date de sortie
08/11/2000 (
)

Genre
Age recommandé

Développement
Édition en Europe
Édition aux États-Unis
Distribution en Espagne
Distribution aux États-Unis
Systèmes






Multijoueurs


L’industrie du jeu vidéo est injuste. Je sais que cette petite phrase donne l’impression que j’enfonce des portes ouvertes, mais il y a des moments dans la vie où cette affirmation me heurte de plein fouet. Bien sûr qu’il est satisfaisant de voir un excellent jeu fonctionner, acquérir un statut d’oeuvre et réussir à laisser sa marque dans cette grande fresque qu’est le patrimoine vidéoludique, ou alors de voir un titre de mauvaise qualité ou réalisé pour de mauvaises raisons devenir la risée de la critique et du public (bien que cela se fasse malheureusement souvent aux dépens du studio de développement, pas toujours responsable de cette déconvenue), mais trop souvent, on voit juste des excellents titres passer sous le radar du grand public pour des raisons diverses et variées.
Ces raisons sont multiples, et souvent frustrantes : absence de communication, concurrence trop importante, ou pire un éditeur peu qualifié et refusant de mettre les moyens pour garantir la réussite de son titre. Et cette frustration atteint son pinacle quand tous ces éléments sont réunis pour garantir un four monumental au jeu, aussi bon soit-il, et le condamnant ainsi à être perdu à jamais dans les limbes du temps, au point de transformer la recherche dudit jeu en un parcours du combattant innommable des années plus tard. Une traque qui pour moi aura duré six ans, durant lesquels j’ai cherché inlassablement la version française de Submarine Titans, éditée par TF1 Multimédia et qui n’a visiblement pas daigné utile d’en distribuer une quantité décente, transformant un banal jeu PC en un véritable mirage numérique, dont seules quelques photos publiées dans la presse de l’époque subsistent avant que je réussisse à mettre enfin la main sur une copie.
Pourquoi est-ce que je vous embête avec ces deux paragraphes avant d’aborder le cas de Submarine Titans en lui-même ? Parce que la recherche de ce jeu (et par conséquent Submarine Titans) symbolise pour moi tout l’intérêt d’Abandonware France : conserver une trace de titres certes obscurs mais de grande qualité, qualité malheureusement diminuée par le travail de localisation vraiment pas glorieux de TF1 Multimédia. Cela ne retire en rien cependant l’excellence globale de Submarine Titans, qui reste à mon sens un des meilleurs STR sortis à cette époque, et c’est donc avec grand plaisir que je vous invite à le découvrir durant cette lecture.
Disclaimer : Submarine Titans étant un STR d’une complexité qui ferait passer Age of Empires 2 : Age of Kings pour Adibou, ma maîtrise du jeu est très loin d’être parfaite, aussi il est possible que le contenu de cette fiche fasse râler les potentiels experts du jeu. Si vous en faîtes partie, je tiens d’avance à m’excuser.
Disclaimer 2, Le Retour de la Vengeance : Malgré l’envie très très présente, j’annonce solennellement que cette fiche ne contiendra aucune blague ou référence au sous-marin Titan de la société OceanGate, dont la tragique implosion lors d’une plongée pour explorer l’épave du Titanic en Juin 2023 causera la mort de cinq personnes, dont l’expert français du Titanic Paul-Henri Nargeolet.

Submarine Titans est un jeu de stratégie en temps réel (ou STR) sorti en 2000 en Europe et aux Etats-Unis. Originellement édité par Strategy First (ou “stratégie première” si on en croit le manuel français, quand je vous disais que TF1 multimédia avait fait un travail de sagouin…), il est donc édité chez nous en 2000 par TF1 Multimédia, dont il s’agit d’un des premiers jeux édités, si j’en crois mes recherches. Ce n’est cependant pas le seul STR que le groupe éditera chez nous, puisqu’ils s’occuperont de la localisation de The Outforce en 2001, avec un travail de traduction largement plus qualitatif, pour un jeu malheureusement beaucoup moins sujet à mes éloges que Submarine Titans (pas que The Outforce soit mauvais, il est juste… moyen). Le jeu est développé par le studio australien Ellipse Studios, anciennement appelé Megamedia Australia fondé en 1999, et dont le seul jeu marquant développé est justement Submarine Titans. A noter que si le studio est australien, beaucoup de membres de l’équipe sont d’origine ukrainienne, ce qui explique l’importante présence de personnes avec des noms à consonance russe ou ukrainienne dans les crédits du jeu.
Comme dans l’immense majorité des STR de l’époque, le but va être de construire une base, récolter des ressources pour développer son armée, et tabasser l’adversaire. Le jeu prend pour contexte une planète Terre totalement inhabitable dans le futur, l’humanité s’étant réfugiée sous terre et, l’homme étant l’homme, plusieurs factions se font la guerre pour les ressources sous-marines, et le joueur incarnera donc le commandant d’une de ces factions, et aura la possibilité de montrer toute l’étendue de ses talents de stratège durant la campagne solo, ou même sur des escarmouches contre l’IA ou en ligne. La version au format boîtier DVD ne contient pas le manuel complet au format papier, et pour cause, c’est un mastodonte de 97 PAGES qui vous attend si vous ouvrez le PDF. Et croyez-moi que vous allez en avoir besoin, de ce manuel, car il foisonne de détails qui indiquent à la fois le niveau de complexité très élevé du jeu mais aussi l’implication des développeurs tant sur la forme que sur le fond (marin).
Posons le contexte du jeu : Nous sommes en 2115, et la Terre est dévastée. Allez, tournons ensemble la roulette de la cause de l’apocalypse dans les oeuvres de science-fiction ! Et… C’est une comète, cette fois-ci. Plus précisément, la comète Clark qui va s’écraser en 2047 sur notre belle planète bleue, ravageant tout sur son passage et rendant la vie sur Terre très difficile. Heureusement, les humains s’étaient préparé à l’arrivée de la comète, au prix fort de conflits internes, car les humains étant les humains, une collaboration entre tous les pays aurait été impossible, hein ?

A ma droite, nous avons les White Sharks : héritiers d’une organisation militaire créée par l’ONU chargée du développement d’armes dans le but de se débarrasser de la comète Clark, les White Sharks avaient pour mission de sauvegarder le personnel et les ressources essentielles pour cette mission de défense, en ayant le droit d’intervenir dans les conflits internationaux si cela permettait de remplir leur mission. Voyez ça comme les Casques Bleus de l’ONU, mais en plus brutal, et avec des méthodes moralement douteuses.
A ma gauche, les Black Octopis : Appelée originellement EcoOctopus, les Black Octopis sont une organisation écologique non-gouvernementale ayant absorbé les principales entreprises mondiales, et bénéficiant d’un fort soutien auprès de la population ainsi que des gouvernements du Tiers-Monde. Ils sont les premiers à développer les habitats sous-marins, mais se font voler leur technologie par les White Sharks. Originellement pacifistes et orientés vers la recherche scientifique, les Black Octopis n’ont pas le choix de prendre les armes face aux belliqueux White Sharks, et surtout pour faire face à l’arrivée d’invités… imprévus.
Au milieu de tout ce bazar, nous avons les mystérieux Silicons : race extraterrestre arrivée par inadvertance sur terre quand leur vaisseau a percuté la comète Clark, ils se sont installés dans le cratère laissé par cette dernière au fond de l’eau, et cherchent par tous les moyens à contacter leurs congénères pour repartir chez eux. Malheureusement, cette recherche de solution les a amené à rencontrer les Black Octopis, ce qui a fini en affrontement. Nous avons donc trois factions aux objectifs radicalement différents, et dont deux ne sont pas sans rappeler une version maléfique du GDI et une version gentille du Nod de Command & Conquer, et au milieu des pauvres aliens qui ne demandent qu’à rentrer chez eux. C’est le postulat de base de Submarine Titans, qui va servir de point de départ pour les trois campagnes du jeu, chacune contenant dix missions. Le manuel possède une vingtaine de pages dédiée à l’univers du jeu, avec une chronologie détaillée des évènements, si vous êtes curieux.
Avant de nous intéresser à la forme à proprement parler, il faut parler du gameplay de Submarine Titans : On est ici dans un STR dans sa forme la plus pure, avec une base à construire, une économie à gérer, une armée à amasser et des ennemis à défoncer. Pour ce faire, vous allez avoir besoin de ressources, qui diffèrent entre les factions humaines et les Silicons. Pour les White Sharks et les Black Octopis, quatre ressources sont essentielles au bon fonctionnement de votre base : Le Métal, le Corium (ressource fictive qui sert de moteur à l’univers de Submarine Titans), l’Or et l’Air, qui ne se récoltent pas de la même façon. Le Métal et le Corium sont récoltés sur des gisements dispersés sur la carte via des extracteurs, et doivent ensuite être acheminés à des dépôts dédiés par des sous-marins de transport pour pouvoir être utilisés, là où l’Or est obtenu via des sublimateurs d’or, des structures qui subliment l’or présent sous la mer. Enfin, l’Air est généré naturellement via des bâtiments dédiés (L’Extracteur d’Air pour les White Sharks, et l’O2 Sublimator pour les Black Octopis). Pour faire un point de comparaison, l’Air fonctionne d’une manière similaire à l’énergie dans Command & Conquer, là où le Corium et le Métal serviront à la construction de structures et de sous-marins, et l’Or sert à financer les recherches technologiques.
Les Silicons n’ont besoin que de trois ressources pour fonctionner : le Silicium, le Corium et l'Énergie. Le Silicium est la ressource de base, et se récolte via des extracteurs dédiés, même chose pour le Corium, et servent à la construction des bâtiments et sous-marins. Enfin, l'Énergie est utilisée pour la régénération des unités et le fonctionnement des structures et sous-marins. L’énergie peut être générée via des convertisseurs énergétiques qui transforment Corium et Silicium en énergie, ou récoltée via les gisements de Métal grâce à des accumulateurs. Au-delà de cette différence au niveau des ressources, les Silicons possèdent également une interface assez différente de celles des White Sharks et Black Octopis, ces derniers ayant surtout une différence cosmétique dans leur interface.
On peut d’ailleurs résumer la facilité d’apprentissage de chaque faction par leur nombre de technologies pouvant être recherchées : les White Sharks sont assez directs, et ont un arbre technologique assez léger comparé aux Black Octopis qui possèdent des technologies plus avancées, avec les Silicons remportant la palme de la complexité, renforcée par leur fonctionnement au niveau de la récolte de ressources qui diffère des autres factions. Les White Sharks possèdent des unités avec un bon blindage et une puissance de feu élevée, mais n’auront pas un éventail d’améliorations aussi important que pour les Black Octopis, qui disposent de sous-marins invisibles et de technologies laser par exemple. Le manuel possède toute une section “guide stratégique”, qui détaille la marche à suivre pour chaque faction selon votre style de jeu pour remporter la victoire. Les White Sharks sont les plus à mêmes de lancer des attaques rapides, grâce à leurs sous-marins de base plus puissants, mais il est tout à fait possible de prendre le parti de la défense (ce que les joueurs de STR appellent le Turtling) grâce aux solides tourelles de défense de la faction, tourelles qui peuvent non seulement être améliorées mais aussi être accompagnées de centres de contrôle de requins, qui contrôlent ces féroces squales pour aller mordre les jugulaires des ennemis (et à titre personnel, je trouve ça extrêmement cool).
Les Black Octopis, de par leur nature de scientifiques pas vraiment équipés pour le combat à l'origine, ne possèdent pas de sous-marins de base aussi puissants, et doivent rapidement effectuer des recherches pour pouvoir se défendre. Que l’on se rassure, les Black Octopis effectuent les recherches technologiques plus rapidement que les White Sharks, et ont accès plus rapidement à des technologies de défense. Méfiez-vous des tourelles laser et des pièges laser déployés par les Black Octopis qui peuvent annihiler des flottes entières si bien disposées ! Qui plus est, les Black Octopis peuvent aisément déployer des sous-marins furtifs, et peuvent plus facilement voler les technologies adverses pour les utiliser. Ah, oui, j’avais oublié ce détail, mais il est possible d’utiliser des sous-marins spéciaux pour capturer les bâtiments ennemis, et pouvoir pendant un court instant rechercher leurs technologies ! Cependant, il est impossible pour les White Sharks et Black Octopis de voler les technologies des Silicons et vice-versa. Autre point à prendre en compte : la majorité des sous-marins ont des munitions limitées, et doivent aller se réapprovisionner à des bâtiments spécifiques qui vont produire les différents types de munitions nécessaires pour que les sous-marins puissent de nouveau se battre. Bon, ça c’est la théorie, mais de ce que j’ai pu voir de certains affrontements en multijoueurs, il est plus simple de continuellement produire de nouveaux sous-marins avec des chargeurs pleins…

Cependant, là où à mon sens Submarine Titans se démarque de la concurrence de l’époque, c’est dans tout ce qui entoure ce gameplay très (voire parfois trop) complexe. Le moteur du jeu, réalisé en interne spécifiquement pour Submarine Titans, permet des visuels impressionnants pour l’époque, avec des fonds marins superbes accompagnés de la faune marine se promenant parfois autour de votre base. Ce travail est d’autant plus louable qu’il est l'œuvre d’une petite équipe de 16 personnes seulement, dont quatre artistes qui ont à eux seuls façonné la très qualitative direction artistique du jeu. Tout ce contexte sous-marin offre une certaine unicité au jeu d’Ellipse Studios, et les oeuvres exploitant un contexte comme celui-ci sont assez rares pour être soulignées (en dehors du classique Vingt Mille Lieues sous les Mers de Jules Verne, je pense tout de suite au jeu de rôle Polaris du français Philippe Tessier, qui se passe également sous l’océan). Les modèles des sous-marins et surtout des bâtiments sont détaillés, et les effets spéciaux lors des combats rendent les affrontements beaucoup plus épiques.
Mais le point sur lequel je souhaite attirer l’attention et qui pour moi est la cerise sur l’appétissant gâteau qu’est la direction artistique de Submarine Titans, c’est sa musique. Composées par un certain Andrei Vasylenko si j’en crois les crédits du studio, les thèmes de Submarine Titans ne sont pas nombreux mais retranscrivent à merveille l’ambiance sous-marine du jeu. Je n’aurais jamais cru dire ça d’un STR un jour, mais il y a vraiment quelque chose de relaxant à se poser une ou deux minutes, et voir sa base fonctionner aux sons du jeu. Du moins, jusqu’à ce que le jeu ne vous hurle dans les oreilles qu’il n’y a pas assez d’air, ou qu’une attaque éclair de l’ennemi ne vous ramène brutalement à la réalité.
Car oui, malgré tout le bien que j’ai à dire de Submarine Titans, le jeu n’est pas sans défauts, le principal à mon sens étant son accessibilité. Je ne parle pas spécialement d’accessibilité dans le sens où obtenir le jeu est difficile (sa ressortie en 2019 sur GoG et en 2020 sur Steam l’ayant enfin rendu facilement jouable en langue anglaise, bien que comme dit précédemment, la version française est vraiment, VRAIMENT difficile à trouver, surtout si vous cherchez la Big Box originale), mais dans le sens où le jeu ne fait aucun cadeau aux nouveaux joueurs. Le tutoriel de chaque faction explique les bases les plus sommaires du jeu, mais ne rentre que très peu dans les détails, ce qui rend les premières missions extrêmement laborieuses, même contre l’IA facile. La lecture du manuel en devient donc presque obligatoire pour avoir une vision à peu près décente des options offertes au joueur, tant le jeu se révèle complexe et difficile à maîtriser. C’est un titre qui s’adresse à mon sens à des habitués du genre en priorité, ce qui n’a pas dû aider à se faire apprécier des joueurs débutants, d’ailleurs cette courbe de progression vraiment trop importante est un des défauts les plus couramment cité dans les tests de la presse de l’époque.
Le second défaut majeur est inhérent à la version française : ce jeu est traduit avec les pieds. Que ce soit les fautes d’orthographe (le tutoriel appelé “Lesson”, par exemple…), l’absence de traduction pour beaucoup de bâtiments du jeu ou des traductions hasardeuses (“Choisit Joueur” pour sélectionner le profil du joueur…), on sent que TF1 Multimédia n’a pas revu sa copie avant de sortir le jeu. Et si encore cette traduction hasardeuse était juste rigolote, passe encore, mais certains éléments traduits impactent directement le gameplay, et par conséquent l’expérience du joueur. Déjà que la distribution de Submarine Titans chez nous a été réduite au strict minimum, ce travail de tâcheron au niveau de la localisation française était vraiment le dernier clou dans le cercueil du jeu…

Lors d’une interview donnée en 2008, un des membres d’Ellipse Studios indique que Submarine Titans s’est très mal vendu, détruisant tout espoir d’une suite. De mémoire, le jeu a péniblement atteint les 20 000 unités vendues dans le monde, ce qui est très peu. Ce chiffre peut être imputé à une forte concurrence dans le secteur, l’absence de moyens pour faire connaître le jeu, ou même le fait qu’il ait été développé en Australie, à l’époque où l’industrie du Jeu Vidéo était très peu porteuse dans le pays, du moins si on en croit les équipes d’Ellipse Studios. Reste que le jeu a été globalement bien, voire très bien noté par la presse spécialisée. Chez nous, JeuxVideo.com gratifiera le titre d’un très honorable 16/20, et à l’international Gamespy notera le jeu 79/100 et IGN 7/10. Des scores qui font globalement honneur à Submarine Titans, qui gardera un petit statut culte auprès des joueurs s’y étant essayé, notamment sur la scène russe ou ukrainienne, où le jeu semble avoir eu un écho particulièrement favorable si j’en crois les nombreuses vidéos dans ces langues sur Youtube.
Avant de finir cette fiche, je me permets un petit aparté personnel : Je suis un grand amateur de STR, et j’en ai essayé beaucoup, vraiment beaucoup, certains m’ayant marqué plus que d’autres. Submarine Titans mérite-t-il un Abandonware d’Or ? Cela peut être sujet à débat, si on prend objectivement en compte les quelques défauts du titre. Pour autant, je lui offre le mien gracieusement, ne serait-ce que pour rendre hommage à un de mes STR préférés toutes générations confondues, et qui à mes yeux cristallise tout ce que j’aime dans le jeu vidéo, et que je souhaite partager au plus grand nombre. Comme je l’ai expliqué plus haut dans la fiche, le jeu est disponible sur GoG et Steam, à un prix souvent très très bas. Alors si vous avez apprécié la lecture de cette fiche, j’espère que cela vous motivera à essayer un jeu certes obscur, certes complexe, mais qui a tellement à offrir qu’il mérite assurément que l’on s’y penche. Sur ce, je vous laisse, les profondeurs m’appellent.

L'équipe technique a mis au point une version automatique qui vous évitera de vous tracasser : téléchargez, installez et Jouez !

Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.

Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.











Whitecoal (Jeu, commentaire, screenshots, scan CD-ROM)
Partenaires Jeux
PC Savegames
Dosbox
Planète Aventure
Resident Evil Fr
Jeux de Jadis
Partenaires RetroActu
Le mag MO5.com
Rom Game
Emu-France
Megatest.fr
Associations
Association WDA
Association MO5
Partenaires Geek
Geekipedia
Another Retro World
Sites Amis
Livres de G. Ermia
Blog BD - La Kavaseb
Twitch de DNADNL
Le blog de Half Wolf
PC Savegames
Dosbox
Planète Aventure
Resident Evil Fr
Jeux de Jadis
Partenaires RetroActu
Le mag MO5.com
Rom Game
Emu-France
Megatest.fr
Associations
Association WDA
Association MO5
Partenaires Geek
Geekipedia
Another Retro World
Sites Amis
Livres de G. Ermia
Blog BD - La Kavaseb
Twitch de DNADNL
Le blog de Half Wolf