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Les Aventures du 5ème mousquetaire
Titre anglais
Touché : The Adventures of the Fifth Musketeer
Date de sortie
1995 (
)

Genre
Développement
Édition
Systèmes







Dosbox
Compatible avec la version 0.65
#1500 #curseur #decors2dbitmap #france #mousquetaire #objets2dbitmap #vuepersp
LE SCENARIO
En garde! Dans cet authentique point and click "old school", vous incarnez le mousquetaire du roi Geoffroi Le Brun, nommé sur la place forte de Rouen en l'an de grâce 1562. Le soir même de votre arrivée, vous êtes témoin du meurtre d'un gentilhomme, le richissime Comte du Peuple. Le malheureux a été détroussé de son testament par des bandits qui ont trouvé refuge dans la taverne voisine. Avant de mourir, Guillaume du Peuple vous explique qu'il devait se rendre à Paris afin de faire enregistrer son legs à la Cour. Il vous fait promettre de retrouver le testament et les auteurs du crime. Peut-on refuser une dernière volonté à un mourant ? Non, surtout lorsqu'on est mousquetaire du roi! Très vite, ce qui devait être une simple formalité devient une suite de rebondissements,sur fond de complot contre le roi. Flanqué de votre stupide ( en apparence!) valet, Henri, vous parcourrez un bon bout de chemin, de Rouen à Paris, de Saint-Quentin au Mans, résolvant de nombreuses énigmes tantôt logiques, tantôt farfelues, mais toujours pleines d'humour.
LE GAMEPLAY
Passionnés de taquins, férus de tours de Hanoï, passez votre chemin! Mais si vous êtes des fanatiques de Simon le Sorcier ou de Guybrush Threepwood, ce jeu est fait pour vous. Comme dans The Secret of Monkey Island, il vous faudra combiner des objets dans votre inventaire, interagir avec des éléments du décor, choisir les bons items dans des menus proposant des verbes ou des actions, ou dans des dialogues à choix multiples. Et pour ceux qui ont adoré le gameplay de Runaway, vous trouverez dans ce jeu un "ancêtre" de Brian Basco, le détective malgré lui du studio Pendulo. Ne croyez pas que ce jeu est facile, que nenni ! Non seulement la difficulté va crescendo, mais en plus les indices ne sont pas toujours palpables, tantôt disséminés dans quelque réplique apparemment anodine, ou dans quelque élément du décor. D'autre part, tous les lieux visités ( il y a à peu près 80 décors à visiter. Rien qu'à Rouen, j'en ai compté 14) peuvent être revus à n'importe quel moment, grâce à une carte accessible à partir de certains décors. On peut se perdre assez vite, tourner en rond sans savoir que faire ni où chercher. Le maître mot est d'être sur ses gardes. En garde!
Petite précision: pour sélectionner les items, les choix d'actions, il vous faudra faire un clic droit et sélectionner l'item, puis relâcher le clic sur l'action choisie. Au départ, c'est un peu surprenant, mais on s'y fait assez vite.
UN JEU MECONNU A (RE)DECOUVRIR !
En 1995, le jeu d'aventure est dominé par le studio LucasArts, avec ses graphismes de dessins animés, et par les productions de Sierra, avec des cinématiques et des personnages réels incrustés dans des décors peints ou filmés. Les Aventures du cinquième mousquetaire est un jeu qui se rattache à la première catégorie. Mais face à une concurrence des plus rudes, le jeu est passé inaperçu au moment de sa sortie. Et pourtant, il mérite d'être célèbre. Le studio U.S. Gold a réuni une équipe expérimentée pour donner vie à ce mousquetaire qui rêve à l'aventure, à l'amour et à la fortune.
Le scénario, sans être d'une extraordinaire originalité, promet de nombreux rebondissements, et la durée de vie, pour le joueur habitué à ce style de jeu, dépasse largement les douze heures.
C'est Graham Lilley qui a conçu le storyboard, l'auteur du jeu Gauntlet en personne. Avec Paul Cockburn, il a su créer un personnage attachant, naïf et bienveillant, aidé dans son entreprise par une canaille de valet toujours en quête de repas. L'éternel duo que tout sépare, mais qui se complète à merveille : l'anti-héros maladroit et l'idiot affamé. D'ailleurs, Henri n'est pas qu'un faire-valoir. Il vous permettra de réaliser des actions et sera même bien davantage qu'un simple auxiliaire. Mais, chuuut, je ne spoilerai pas, c'est promis.
Au-delà de l'histoire, il y a surtout beaucoup d'humour, parfois un peu lourdingue, mais qui fait mouche dans la plupart des répliques. Un exemple ? A un moment, Geoffroi menace de jeter l'éponge et de partir se réfugier en Angleterre. Henri réplique : "Ah non, pas en Angleterre ! La nourriture y est trop mauvaise !". Dans le contexte du jeu, il y a de nombreuses répliques qui sauront déclencher votre sourire, et, parfois, vous vous surprendrez à rire bruyamment devant l'incongruité d'une situation ou le décalage d'une réplique. Dans un jeu qui se déroule dans le passé, rien de tel que l'anachronisme pour provoquer des situations comiques. de ce côté-là aussi, le jeu tient ses promesses. Vous aurez le loisir de cotoyer un inventeur un peu fantasque qui s'appelle Da Vinci, et un ménestrel raté qui se demande s'il ne ferait pas mieux de ne se consacrer qu'à l'écriture et qui se nomme Alexandre Dumas.
En ce qui concerne les graphismes, c'est Teoman Irmak qui a tout dessiné. Et oui, encore un ancien de Gauntlet ! Tous les décors sont peints à la main, et les héros évoluent au milieu d'autres personnages, dans des animations fluides étonnantes. Bon, on pourra toujours reprocher que beaucoup de personnages se ressemblent et que le décor des tavernes est toujours identique, de Rouen à Amiens, en passant par Saint-Quentin, mais l'ensemble est très agréable. Enfin, la musique n'est pas en reste. Chaque tableau est rythmé par une musique, une petite ritournelle qui vous hante bien après être sorti du jeu, mais toujours très bien choisie. C'est Ben Dalglish qui a composé la plupart des thèmes, encore un ancien de Gauntlet ! En ce qui concerne ce dernier, il a crédité une cinquantaine de jeux de ses compositions entre le milieu des années 1980 et 2000, et on retrouve encore sa patte sur un autre jeu d'aventure méconnu Druid : Daemons of the Mind, présent sur votre site préféré.
Bien entendu, ce jeu a quelques défauts, et c'est ce qui explique probablement qu'il n'ait pas eu la notoriété de Sam & Max Hit the Road : les déplacements sur la carte sont assez lents, et lorsqu'il faut retourner fouiller des décors, cela occasionne des temps d'attente un peu énervants. Certaines énigmes sont également un peu confuses ( l'énigme des orchidées par exemple, qui relève un peu du hasard, sauf si on a tout bien observé et surtout bien écouté). Cela dit, c'est un jeu très agréable, plein de retournements de situation et d'humour, et qui se termine non pas par un happy end mais, comme il se doit, d'un véritable "funny end". Prêts à tenter l'aventure ? Vous avez raison. En garde !
Lancement sous DOSBox
Lancez le fichier INSTALL.EXE de l'image disque. Après l'installation, allez dans le répertoire créé sur le disque dur virtuel et exécutez AVENTURE.BAT.
Au démarrage, les voix sont toujours désactivées. Pendant la partie, la touche 'F5' affiche le menu qui permet de les activer (ainsi que les sauvegardes / chargements). Pour bénéficier des musiques MIDI, saisissez la commande INSTALL.EXE, modifiez la carte son et sélectionnez "Carte MIDI standard". Le jeu est à présent configuré pour bénéficier des musiques MIDI. Avant de le lancer, il vous faudra cependant utiliser la commande suivante :
CONFIG -SET "MIDI MPU401=UART".
Pour lancer la démo, placez le répertoire ToucheDemo à la racine C du disque dur. Exécutez le fichier "Jouer à Touche Demo" pour lancer le jeu.
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En garde! Dans cet authentique point and click "old school", vous incarnez le mousquetaire du roi Geoffroi Le Brun, nommé sur la place forte de Rouen en l'an de grâce 1562. Le soir même de votre arrivée, vous êtes témoin du meurtre d'un gentilhomme, le richissime Comte du Peuple. Le malheureux a été détroussé de son testament par des bandits qui ont trouvé refuge dans la taverne voisine. Avant de mourir, Guillaume du Peuple vous explique qu'il devait se rendre à Paris afin de faire enregistrer son legs à la Cour. Il vous fait promettre de retrouver le testament et les auteurs du crime. Peut-on refuser une dernière volonté à un mourant ? Non, surtout lorsqu'on est mousquetaire du roi! Très vite, ce qui devait être une simple formalité devient une suite de rebondissements,sur fond de complot contre le roi. Flanqué de votre stupide ( en apparence!) valet, Henri, vous parcourrez un bon bout de chemin, de Rouen à Paris, de Saint-Quentin au Mans, résolvant de nombreuses énigmes tantôt logiques, tantôt farfelues, mais toujours pleines d'humour.

Passionnés de taquins, férus de tours de Hanoï, passez votre chemin! Mais si vous êtes des fanatiques de Simon le Sorcier ou de Guybrush Threepwood, ce jeu est fait pour vous. Comme dans The Secret of Monkey Island, il vous faudra combiner des objets dans votre inventaire, interagir avec des éléments du décor, choisir les bons items dans des menus proposant des verbes ou des actions, ou dans des dialogues à choix multiples. Et pour ceux qui ont adoré le gameplay de Runaway, vous trouverez dans ce jeu un "ancêtre" de Brian Basco, le détective malgré lui du studio Pendulo. Ne croyez pas que ce jeu est facile, que nenni ! Non seulement la difficulté va crescendo, mais en plus les indices ne sont pas toujours palpables, tantôt disséminés dans quelque réplique apparemment anodine, ou dans quelque élément du décor. D'autre part, tous les lieux visités ( il y a à peu près 80 décors à visiter. Rien qu'à Rouen, j'en ai compté 14) peuvent être revus à n'importe quel moment, grâce à une carte accessible à partir de certains décors. On peut se perdre assez vite, tourner en rond sans savoir que faire ni où chercher. Le maître mot est d'être sur ses gardes. En garde!
Petite précision: pour sélectionner les items, les choix d'actions, il vous faudra faire un clic droit et sélectionner l'item, puis relâcher le clic sur l'action choisie. Au départ, c'est un peu surprenant, mais on s'y fait assez vite.

En 1995, le jeu d'aventure est dominé par le studio LucasArts, avec ses graphismes de dessins animés, et par les productions de Sierra, avec des cinématiques et des personnages réels incrustés dans des décors peints ou filmés. Les Aventures du cinquième mousquetaire est un jeu qui se rattache à la première catégorie. Mais face à une concurrence des plus rudes, le jeu est passé inaperçu au moment de sa sortie. Et pourtant, il mérite d'être célèbre. Le studio U.S. Gold a réuni une équipe expérimentée pour donner vie à ce mousquetaire qui rêve à l'aventure, à l'amour et à la fortune.
Le scénario, sans être d'une extraordinaire originalité, promet de nombreux rebondissements, et la durée de vie, pour le joueur habitué à ce style de jeu, dépasse largement les douze heures.
C'est Graham Lilley qui a conçu le storyboard, l'auteur du jeu Gauntlet en personne. Avec Paul Cockburn, il a su créer un personnage attachant, naïf et bienveillant, aidé dans son entreprise par une canaille de valet toujours en quête de repas. L'éternel duo que tout sépare, mais qui se complète à merveille : l'anti-héros maladroit et l'idiot affamé. D'ailleurs, Henri n'est pas qu'un faire-valoir. Il vous permettra de réaliser des actions et sera même bien davantage qu'un simple auxiliaire. Mais, chuuut, je ne spoilerai pas, c'est promis.
Au-delà de l'histoire, il y a surtout beaucoup d'humour, parfois un peu lourdingue, mais qui fait mouche dans la plupart des répliques. Un exemple ? A un moment, Geoffroi menace de jeter l'éponge et de partir se réfugier en Angleterre. Henri réplique : "Ah non, pas en Angleterre ! La nourriture y est trop mauvaise !". Dans le contexte du jeu, il y a de nombreuses répliques qui sauront déclencher votre sourire, et, parfois, vous vous surprendrez à rire bruyamment devant l'incongruité d'une situation ou le décalage d'une réplique. Dans un jeu qui se déroule dans le passé, rien de tel que l'anachronisme pour provoquer des situations comiques. de ce côté-là aussi, le jeu tient ses promesses. Vous aurez le loisir de cotoyer un inventeur un peu fantasque qui s'appelle Da Vinci, et un ménestrel raté qui se demande s'il ne ferait pas mieux de ne se consacrer qu'à l'écriture et qui se nomme Alexandre Dumas.
En ce qui concerne les graphismes, c'est Teoman Irmak qui a tout dessiné. Et oui, encore un ancien de Gauntlet ! Tous les décors sont peints à la main, et les héros évoluent au milieu d'autres personnages, dans des animations fluides étonnantes. Bon, on pourra toujours reprocher que beaucoup de personnages se ressemblent et que le décor des tavernes est toujours identique, de Rouen à Amiens, en passant par Saint-Quentin, mais l'ensemble est très agréable. Enfin, la musique n'est pas en reste. Chaque tableau est rythmé par une musique, une petite ritournelle qui vous hante bien après être sorti du jeu, mais toujours très bien choisie. C'est Ben Dalglish qui a composé la plupart des thèmes, encore un ancien de Gauntlet ! En ce qui concerne ce dernier, il a crédité une cinquantaine de jeux de ses compositions entre le milieu des années 1980 et 2000, et on retrouve encore sa patte sur un autre jeu d'aventure méconnu Druid : Daemons of the Mind, présent sur votre site préféré.
Bien entendu, ce jeu a quelques défauts, et c'est ce qui explique probablement qu'il n'ait pas eu la notoriété de Sam & Max Hit the Road : les déplacements sur la carte sont assez lents, et lorsqu'il faut retourner fouiller des décors, cela occasionne des temps d'attente un peu énervants. Certaines énigmes sont également un peu confuses ( l'énigme des orchidées par exemple, qui relève un peu du hasard, sauf si on a tout bien observé et surtout bien écouté). Cela dit, c'est un jeu très agréable, plein de retournements de situation et d'humour, et qui se termine non pas par un happy end mais, comme il se doit, d'un véritable "funny end". Prêts à tenter l'aventure ? Vous avez raison. En garde !

Lancez le fichier INSTALL.EXE de l'image disque. Après l'installation, allez dans le répertoire créé sur le disque dur virtuel et exécutez AVENTURE.BAT.
Au démarrage, les voix sont toujours désactivées. Pendant la partie, la touche 'F5' affiche le menu qui permet de les activer (ainsi que les sauvegardes / chargements). Pour bénéficier des musiques MIDI, saisissez la commande INSTALL.EXE, modifiez la carte son et sélectionnez "Carte MIDI standard". Le jeu est à présent configuré pour bénéficier des musiques MIDI. Avant de le lancer, il vous faudra cependant utiliser la commande suivante :
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