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Ports of Call
Date de sortie
1990 (
)

Genre
Édition
Édition
Distribution en Allemagne
Distribution en Espagne
Systèmes







Dosbox
Compatible avec la version 0.73
#bateau #decors2dbitmap #entreprise #objets2dbitmap
Présentation
Ports of Call. La traduction ? Port d'escale. Le titre n'apparaît pas très engageant pour ce qui fut en son temps la référence des jeux de gestion.
Le jeu est une simulation économique de type maritime. Votre objectif est de faire prospérer votre compagnie de fret maritime. Pour ce faire, vous aurez le choix de déterminer votre port d'attache, choisir le nom de votre future entreprise.
Une fois décidé où vous vous lancerez, il vous faudra choisir votre type de navire. Compte tenu de la faiblesse des réserves d'argent en début de partie, la réponse est évidente : vous achèterez un navire poubelle. Une fois que vous vous développerez, vous pourrez investir dans des navires plus imposants ou rester avec des navires poubelles en espérant qu'ils arrivent à bon port.
Ici, il n'y a pas de conscience écologique ou de recherche et développement très poussées.
On était alors encore aux rudiments du genre gestion/simulation. Le jeu est de type expansion infinie et il n'y a pas d'autres objectifs que de vous étendre jusqu'à ce que vous lassiez du jeu. La durée de vie dépend donc, comme souvent, de votre patience et/ou de votre intérêt pour le jeu.
Compte tenu du nombre de choix proposés au joueur, les parties pourront être longues. Vous avez en effet de nombreux ports et bateaux à disposition.
Le jeu vous propose en outre une petite partie simulation où vous devez faire accoster votre bateau.
Une partie classique commence donc par l'achat du bateau, par faire le plein, puis choisir votre contrat. Dans Ports of Call, vous ne traitez pas avec une compagnie en particulier. Vous prenez ce qui vous semble le plus lucratif au moment où vous arrivez au port. Il faudra donc peser le pour ou le contre (éloignement du port d'arrivée, état du navire...). Ce genre de mécanismes de jeu sera au centre de jeux comme Zeppelin : Giants of the Sky quelques années plus tard. Mais il n'y a pas comme dans Capitalism, un effet de réputation qui pourrait jouer en votre faveur.
Mécanique du jeu
A partir de l'écran principal, vous pouvez gérer très facilement votre entreprise. Le tout est bien pensé et intuitif. Le passage par la lecture du manuel n'est donc pas indispensable. Typiquement, on a accès à un jeu constitué de menus et de sous-menus : je prends la gestion de mon navire, j'ai ensuite accès à des sous-menus : faire le plein, réparer... On revient ensuite à l'écran principal. On repart dans un autre menu pour acheter les bateaux... Et ainsi de suite. Si ces mécanismes apparaissent aujourd'hui très familiers, ils ne l'étaient pas en ce temps-là. C'est surtout par souci d'économie d'espace sur les disquettes que furent probablement inventées les menus pour chaque action à effectuer. Il est dommage que nombre de simulations ultérieures ne soient pas allées plus loin. Mais, on peut y voir une forme d'hommage aux grands classiques de jeux de gestion dont Port of Call !
Graphismes et sons
Les graphismes étaient pour l'époque et surtout pour les versions Amiga et Atari particulièrement en avance sur leur temps. La version PC comme souvent à l'époque est sortie postérieurement et n'a pas bénéficié des mêmes égards (avec des graphismes au mieux en EGA). Ils demeurent toutefois corrects même avec nos standards actuels.
Le son apparaît souvent décalé par rapport aux attentes : par exemple, on commence avec du morse ou des bruits de moteur de vos bateaux ! L'ensemble est conforme à ce que l'on trouvait dans les jeux des années 90.
Conclusion
Voilà un grand classique des jeux de gestion ! L'occasion vous est donnée de vous (re)plonger dans une références du genre. Même si celle-ci a bien vieilli, elle demeure un titre solide et prenant.
Lancement
Lancez le jeu dans DOSBox ou dans D-Fend Reloaded.
Complétez cette fiche
Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.
Des questions ? besoin d'aide ?
Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

Ports of Call. La traduction ? Port d'escale. Le titre n'apparaît pas très engageant pour ce qui fut en son temps la référence des jeux de gestion.
Le jeu est une simulation économique de type maritime. Votre objectif est de faire prospérer votre compagnie de fret maritime. Pour ce faire, vous aurez le choix de déterminer votre port d'attache, choisir le nom de votre future entreprise.
Une fois décidé où vous vous lancerez, il vous faudra choisir votre type de navire. Compte tenu de la faiblesse des réserves d'argent en début de partie, la réponse est évidente : vous achèterez un navire poubelle. Une fois que vous vous développerez, vous pourrez investir dans des navires plus imposants ou rester avec des navires poubelles en espérant qu'ils arrivent à bon port.
Ici, il n'y a pas de conscience écologique ou de recherche et développement très poussées.
On était alors encore aux rudiments du genre gestion/simulation. Le jeu est de type expansion infinie et il n'y a pas d'autres objectifs que de vous étendre jusqu'à ce que vous lassiez du jeu. La durée de vie dépend donc, comme souvent, de votre patience et/ou de votre intérêt pour le jeu.
Compte tenu du nombre de choix proposés au joueur, les parties pourront être longues. Vous avez en effet de nombreux ports et bateaux à disposition.
Le jeu vous propose en outre une petite partie simulation où vous devez faire accoster votre bateau.
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A partir de l'écran principal, vous pouvez gérer très facilement votre entreprise. Le tout est bien pensé et intuitif. Le passage par la lecture du manuel n'est donc pas indispensable. Typiquement, on a accès à un jeu constitué de menus et de sous-menus : je prends la gestion de mon navire, j'ai ensuite accès à des sous-menus : faire le plein, réparer... On revient ensuite à l'écran principal. On repart dans un autre menu pour acheter les bateaux... Et ainsi de suite. Si ces mécanismes apparaissent aujourd'hui très familiers, ils ne l'étaient pas en ce temps-là. C'est surtout par souci d'économie d'espace sur les disquettes que furent probablement inventées les menus pour chaque action à effectuer. Il est dommage que nombre de simulations ultérieures ne soient pas allées plus loin. Mais, on peut y voir une forme d'hommage aux grands classiques de jeux de gestion dont Port of Call !

Les graphismes étaient pour l'époque et surtout pour les versions Amiga et Atari particulièrement en avance sur leur temps. La version PC comme souvent à l'époque est sortie postérieurement et n'a pas bénéficié des mêmes égards (avec des graphismes au mieux en EGA). Ils demeurent toutefois corrects même avec nos standards actuels.
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