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Angel Devoid : Face of the Enemy
Date de sortie
02/1996 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution en Europe
Systèmes

#fmv
Jeu de main, tronche du vilain
Your name is Hard. Jake Hard...
Oui, vous êtes un inspecteur de police et vous poursuivez l'ennemi public Numéro 1 de Neo City, Angel Devoid. Votre course-poursuite à moto high speed se termine dans le décor et vous voilà salement amoché.
Angel Devoid vous réserve une surprise infâme : une opération chirurgicale sans votre assentiment, où votre visage sera remplacé par celui de Angel Devoid. A peine l'infirmière a t-elle ôté les bandages qui recouvrent votre visage qu'elle s'enfuit en criant "C'est Angel Devoid !" et il vous faudra quatre secondes pour éviter le premier game over du jeu avec l'arrivée imminente d'un policier armé dans la chambre.
Dans la peau de l'ennemi public Numéro 1, vous devez fuir avec ce visage, d'abord pour sauver votre peau, et pour identifier le nouveau visage du vrai vilain. Une aventure haletante commence, une course intense pour la vérité et contre la mort ! Direction les bas-fonds de Neo City, pour mener l'enquête au contact des amis et des ennemis d'Angel Devoid. Et cela ne sera pas facile car vous ne pourrez parler, vos cordes vocales ayant été touchées par votre opération chirurgicale !
Un FMV magnifique pour un univers somptueux
Attention les yeux ! Si le scénario peut paraître édulcoré à première vue, voire tiré par les cheveux, l'ambiance est d'emblée exceptionnelle ! A la manière d'un univers Cyberpunk digne de Blade Runner (le nom du studio, Electric Dreams, est un hommage à l'oeuvre de Philip K. Dick), vous voici propulsé dans un monde sombre et désespéré à l'aube du quatrième millénaire.
Et c'est en lisant le manuel que l'on comprend la mécanique de précision que les auteurs du jeu ont introduite avec cet univers.
Nous sommes en 3023, et la planète bleue, rebaptisée Terra, est devenue invivable, polluée, surpeuplée, en proie à toutes les violences.
Mars, la Planète rouge, a accueilli une colonie humaine qui a coopéré pour exporter des minerais capables de purifier l'air de la terre. Sur Mars, la colonie a vécu en harmonie avec cette terre d'accueil, et de nombreuses familles ont cherché à y vivre pour trouver la sérénité.
Pour assurer la sécurité, une force militaire a été assurée par les "Death 7", une milice d'élite qui a soutenu le gouvernement sur Mars.
Lorsque la Terra a retrouvé son autonomie, les gouvernants ont exigé des colons de Mars qu'ils privilégient leur planète d'origine et des dissensions sont apparues. Une guerre a éclaté, avec des massacres perpétrés par les terriens. Les Death 7 ont cherché à protéger les civils, et le capitaine qui les commandait, Angel Devoid, a été considéré comme un terroriste.
C'est à bord d'un vaisseau spatial que Devoid est allé se rendre aux terriens, mais il a pu s'échapper et est devenu le chef d'un réseau terroriste qui agite les bas-fonds de Neo City.
Et c'est dans cet univers complètement déjanté, avec des robots qui quadrillent les rues, des cyberdogs en meute qui se jettent sur les vagabonds, avec des bars où les drogues se consomment en vente libre, que vous allez errer sur les traces de Angel Devoid, sans connaître son nouveau visage, ni son adresse, avec les flics aux fesses et les membres de son ancienne bande, les fameux Death 7, lancés à vos trousses.
Un polar nerveux dans un futur chaotique, avec des bruits métalliques qui résonnent et des rues sombres et caverneuses que vous parcourrez d'un pas lourd et alangui.
Un film interactif plus qu'un jeu d'aventure
Le parti-pris du jeu est de vous mettre sur les traces d'Angel Devoid dans la peau de ce malfrat : avec une démarche qui trahit votre convalescence, votre absence de voix qui vous condamne au silence, vous arpentez les rues de Neo City avec votre PDA comme principale alliée : en effet, l'IA de votre PDA vous mettra en garde face aux dangers et lors de votre arrivée dans un lieu louche. Lorsque votre PDA clignote, une information est à saisir, et parfois même ce sera une blagounette.
Les flèches directionnelles à l'écran indiquent la direction à prendre, et il vous suffira de cliquer sur ces directions pour avancer.
Quant à l'inventaire, il déroule les objets invisibles en appuyant sur les fenêtres, et pour se servir d'un objet, il faudra sélectionner celui-ci dans votre inventaire et s'habituer au fait que l'objet n'apparaît pas en surbrillance dans le champ de l'action.
De rares énigmes perlent le jeu, et celles-ci consistent le plus souvent en des actions à faire ou d'utiliser un objet à un endroit précis. Il y a aussi des choix de visages qui apparaissent sur votre écran de contrôle (coléreux, neutre et angélique) à sélectionner en abordant certains personnages : Comme votre avatar ne peut parler, le visage affiché peut déterminer l'issue du monologue qu'il impose à ses détracteurs. Et certains choix s'avéreront fatals, comme bon nombre d'actions.
D'ailleurs, et c'est le principal reproche que les testeurs ont fait au studio à l'époque, il faudra souvent avoir le bon réflexe et agir à l'instant T, tuer un ennemi, fuir, utiliser une carte magnétique, sous peine de Game Over.
Chaque action est couronnée par une cinématique qui permet de se représenter l'avancement du jeu. On regrettera la difficulté à entendre les discours des protagonistes, bien que très bien localisés, et du coup, l'intrigue sera compliquée à suivre, et certaines actions vous apparaîtront décalées.
On comprendra à la fin l'histoire de ce visage échangé par Angel Devoid, et certains personnages rencontrés prennent du relief avec l'épilogue du jeu.
Il faudra sauvegarder souvent pour anticiper les Game Over, et juste avant la fin du jeu, trois actions permettront de vivre trois fins différentes.
Le jeu, sorti en 1996, est une pépite mésestimée, sans doute en raison de l'explosion des titres de jeux en FMV comme Ripper, Chronomaster, Gabriel Knight 2 ou 11th Hour.
Les membres du studio sont pour la plupart des transfuges du studio Pixis Interactive, qui ont fait leurs armes sur des jeux érotiques en FMV comme Voyeur.
1996, c'est l'âge d'or du jeu d'aventure en full motion video !
Conclusion : Un jeu moins convaincant que le film
Le jeu est lent (malgré un dénouement en près de quatre heures ! ) et le propos est confus. Il faudra souvent recommencer, non seulement parce que l'on meurt souvent, mais aussi parce que les dialogues sont souvent peu audibles, couverts par des bruits électroniques ou métalliques .
Mais le jeu s'apparente aussi à une superproduction, avec une vingtaine d'acteurs, et des costumes plutôt réussis. Une ambiance cyberpunk très réussie, et un jeu avec trois fins alternatives intégrées dans des cinématiques de haut vol.
Le jeu a sans doute été sous-évalué à sa sortie, victime de la surenchère de la concurrence en matière de FMV. Mais trente ans plus tard, un parfum de nostalgie exhale de mon expérience de jeu. Délicat et enivrant, un parfum qui donne envie de tester d'autres jeux en FMV. Et ça tombe bien, il y a tant de jeux à faire connaître à la communauté abandonware ! J'y retourne, d'autres tests m'appellent !
Lancement
Une version automatique permet de jouer au jeu sans mettre les mains dans le cambouis. Ctrl + F4 pour changer de CD et Ctrl + F9 pour quitter le jeu et revenir sur le bureau.
Trivia : Easter egg
Lorsque vous serez dans l'ascenseur qui conduit aux étages du musée, vous devrez taper le numéro de l'étage sur le panneau de commande. Amusez-vous à taper le nombre démoniaque 666, et vous serez introduits dans les bureaux de Electric Dreams, avec les principaux développeurs du jeu mis en scène pendant une cinématique d'environ une minute.
Deux sauvegardes sur la version automatique
J'ai eu deux bugs rédhibitoires pendant le test du jeu : au début du jeu, j'ai eu un bug dans la partie de Trix, et sans avoir l'adresse de M. Digit, le jeu sera bloqué. J'ai réussi à sauvegarder le jeu après le Trix, sur un jeu anglophone, et j'ai incorporé le fichier sous le numéro 1 (CD2 : la sauvegarde permet d'aller chez M. Digit).
Plus tard, l'ascenseur du musée bloque pour monter à l'étage de la galerie d'art et la sauvegarde numéro 2 vous ouvre les portes de cette fameuse galerie. Bon jeu à tous, et patience car le jeu ralentit souvent, et les passages au CD suivant peuvent donner lieu à des crashes. Sauvegardez souvent et soyez patient.
Complétez cette fiche
Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
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Oui, vous êtes un inspecteur de police et vous poursuivez l'ennemi public Numéro 1 de Neo City, Angel Devoid. Votre course-poursuite à moto high speed se termine dans le décor et vous voilà salement amoché.
Angel Devoid vous réserve une surprise infâme : une opération chirurgicale sans votre assentiment, où votre visage sera remplacé par celui de Angel Devoid. A peine l'infirmière a t-elle ôté les bandages qui recouvrent votre visage qu'elle s'enfuit en criant "C'est Angel Devoid !" et il vous faudra quatre secondes pour éviter le premier game over du jeu avec l'arrivée imminente d'un policier armé dans la chambre.
Dans la peau de l'ennemi public Numéro 1, vous devez fuir avec ce visage, d'abord pour sauver votre peau, et pour identifier le nouveau visage du vrai vilain. Une aventure haletante commence, une course intense pour la vérité et contre la mort ! Direction les bas-fonds de Neo City, pour mener l'enquête au contact des amis et des ennemis d'Angel Devoid. Et cela ne sera pas facile car vous ne pourrez parler, vos cordes vocales ayant été touchées par votre opération chirurgicale !

Attention les yeux ! Si le scénario peut paraître édulcoré à première vue, voire tiré par les cheveux, l'ambiance est d'emblée exceptionnelle ! A la manière d'un univers Cyberpunk digne de Blade Runner (le nom du studio, Electric Dreams, est un hommage à l'oeuvre de Philip K. Dick), vous voici propulsé dans un monde sombre et désespéré à l'aube du quatrième millénaire.
Et c'est en lisant le manuel que l'on comprend la mécanique de précision que les auteurs du jeu ont introduite avec cet univers.
Nous sommes en 3023, et la planète bleue, rebaptisée Terra, est devenue invivable, polluée, surpeuplée, en proie à toutes les violences.
Mars, la Planète rouge, a accueilli une colonie humaine qui a coopéré pour exporter des minerais capables de purifier l'air de la terre. Sur Mars, la colonie a vécu en harmonie avec cette terre d'accueil, et de nombreuses familles ont cherché à y vivre pour trouver la sérénité.
Pour assurer la sécurité, une force militaire a été assurée par les "Death 7", une milice d'élite qui a soutenu le gouvernement sur Mars.
Lorsque la Terra a retrouvé son autonomie, les gouvernants ont exigé des colons de Mars qu'ils privilégient leur planète d'origine et des dissensions sont apparues. Une guerre a éclaté, avec des massacres perpétrés par les terriens. Les Death 7 ont cherché à protéger les civils, et le capitaine qui les commandait, Angel Devoid, a été considéré comme un terroriste.
C'est à bord d'un vaisseau spatial que Devoid est allé se rendre aux terriens, mais il a pu s'échapper et est devenu le chef d'un réseau terroriste qui agite les bas-fonds de Neo City.
Et c'est dans cet univers complètement déjanté, avec des robots qui quadrillent les rues, des cyberdogs en meute qui se jettent sur les vagabonds, avec des bars où les drogues se consomment en vente libre, que vous allez errer sur les traces de Angel Devoid, sans connaître son nouveau visage, ni son adresse, avec les flics aux fesses et les membres de son ancienne bande, les fameux Death 7, lancés à vos trousses.
Un polar nerveux dans un futur chaotique, avec des bruits métalliques qui résonnent et des rues sombres et caverneuses que vous parcourrez d'un pas lourd et alangui.

Le parti-pris du jeu est de vous mettre sur les traces d'Angel Devoid dans la peau de ce malfrat : avec une démarche qui trahit votre convalescence, votre absence de voix qui vous condamne au silence, vous arpentez les rues de Neo City avec votre PDA comme principale alliée : en effet, l'IA de votre PDA vous mettra en garde face aux dangers et lors de votre arrivée dans un lieu louche. Lorsque votre PDA clignote, une information est à saisir, et parfois même ce sera une blagounette.
Les flèches directionnelles à l'écran indiquent la direction à prendre, et il vous suffira de cliquer sur ces directions pour avancer.
Quant à l'inventaire, il déroule les objets invisibles en appuyant sur les fenêtres, et pour se servir d'un objet, il faudra sélectionner celui-ci dans votre inventaire et s'habituer au fait que l'objet n'apparaît pas en surbrillance dans le champ de l'action.
De rares énigmes perlent le jeu, et celles-ci consistent le plus souvent en des actions à faire ou d'utiliser un objet à un endroit précis. Il y a aussi des choix de visages qui apparaissent sur votre écran de contrôle (coléreux, neutre et angélique) à sélectionner en abordant certains personnages : Comme votre avatar ne peut parler, le visage affiché peut déterminer l'issue du monologue qu'il impose à ses détracteurs. Et certains choix s'avéreront fatals, comme bon nombre d'actions.
D'ailleurs, et c'est le principal reproche que les testeurs ont fait au studio à l'époque, il faudra souvent avoir le bon réflexe et agir à l'instant T, tuer un ennemi, fuir, utiliser une carte magnétique, sous peine de Game Over.
Chaque action est couronnée par une cinématique qui permet de se représenter l'avancement du jeu. On regrettera la difficulté à entendre les discours des protagonistes, bien que très bien localisés, et du coup, l'intrigue sera compliquée à suivre, et certaines actions vous apparaîtront décalées.
On comprendra à la fin l'histoire de ce visage échangé par Angel Devoid, et certains personnages rencontrés prennent du relief avec l'épilogue du jeu.
Il faudra sauvegarder souvent pour anticiper les Game Over, et juste avant la fin du jeu, trois actions permettront de vivre trois fins différentes.
Le jeu, sorti en 1996, est une pépite mésestimée, sans doute en raison de l'explosion des titres de jeux en FMV comme Ripper, Chronomaster, Gabriel Knight 2 ou 11th Hour.
Les membres du studio sont pour la plupart des transfuges du studio Pixis Interactive, qui ont fait leurs armes sur des jeux érotiques en FMV comme Voyeur.
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Le jeu est lent (malgré un dénouement en près de quatre heures ! ) et le propos est confus. Il faudra souvent recommencer, non seulement parce que l'on meurt souvent, mais aussi parce que les dialogues sont souvent peu audibles, couverts par des bruits électroniques ou métalliques .
Mais le jeu s'apparente aussi à une superproduction, avec une vingtaine d'acteurs, et des costumes plutôt réussis. Une ambiance cyberpunk très réussie, et un jeu avec trois fins alternatives intégrées dans des cinématiques de haut vol.
Le jeu a sans doute été sous-évalué à sa sortie, victime de la surenchère de la concurrence en matière de FMV. Mais trente ans plus tard, un parfum de nostalgie exhale de mon expérience de jeu. Délicat et enivrant, un parfum qui donne envie de tester d'autres jeux en FMV. Et ça tombe bien, il y a tant de jeux à faire connaître à la communauté abandonware ! J'y retourne, d'autres tests m'appellent !

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J'ai eu deux bugs rédhibitoires pendant le test du jeu : au début du jeu, j'ai eu un bug dans la partie de Trix, et sans avoir l'adresse de M. Digit, le jeu sera bloqué. J'ai réussi à sauvegarder le jeu après le Trix, sur un jeu anglophone, et j'ai incorporé le fichier sous le numéro 1 (CD2 : la sauvegarde permet d'aller chez M. Digit).
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