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Blam ! Machinehead
Date de sortie
1996 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution en Espagne
Distribution en Italie
Systèmes

#decors3dtext #femme #objets3dtext #robot #scrollmulti #sf #vuesubj
Et au milieu coule un virus
Les années 2020. Dans le futur...Oui, je vous vois venir avec vos gros sabots, on est déjà au-delà de 2020 (test réalisé en janvier 2022) mais en 1996, c'était un bond d'un quart de siècle dans le futur. Les nano-technologies ont pris le pas sur toutes les innovations et la mondialisation a fait son chemin, donnant plus de pouvoir aux firmes transnationales comme Senclair. Un savant, sorte de docteur fou à la Dr Jekyll, a inventé un virus capable de transformer les rêves et désirs en matière réelle : le cérébro-virus. Mais ce savant a laissé s'échapper un vrai virus tueur qui transforme la terre en une terre désolée et cauchemardesque, avec une sorte de magma qui irradie tout.
Pour contrer ce virus, des scientifiques cherchent à trouver l'entrée du Bunker où s'est réfugié le savant, et y placer une charge nucléaire capable de mettre un terme à cette catastrophe. Un aéroglisseur équipé de cette charge sera le véhicule idéal, mais le scientifique qui a mis au point cette innovation renonce à se sacrifier. Car oui, ce ne peut être qu'une mission suicide. La collaboratrice de ce scientifique, Kimberly Stride, assommée dans son laboratoire, se retrouve aux manettes de l'aéroglisseur, avec un émetteur qui la relie à son "associé". C'est lui qui lui indiquera les tâches, les missions à effectuer, jusqu'à l'affrontement final. A condition que le manque d'énergie ne déclenche la charge nucléaire qui se trouve dans le ventre du véhicule de Kimberly.
Her name is Stride...Kimberly Stride
La mission de votre avatar féminin se décline en quatre chapitres divisés en trois à cinq phases. Avec votre clavier et votre souris, vous allez devoir appréhender des commandes simples mais qui ne rendent pas la prise en main aussi simple qu'un simple jeu de course ou qu'un habituel clone de Doom. Au démarrage de votre première mission, vous allez devoir vous habituer à un environnement inhabituel : Le sol est recouvert de matières organiques, les carcasses de voitures et les bâtiments éventrés jouxtent des araignées mutantes aussi grosses qu'un side-car, des insectes volants se comportent comme des drones, et des batteries de défense vous pilonnent avec de l'artillerie lourde : il va falloir se battre contre des armes conventionnelles et contre des créatures mutantes. Heureusement, vous disposez d'une mitrailleuse à munitions illimitées (barre espace) et vous avez des missiles plus costauds (touche ctrl). Vous pouvez d'ailleurs utiliser les deux armes en même temps.
Vous devez ouvrir des portes en frappant des téléporteurs qui ont des numéros : les clés vertes ouvrent des voies d'irréalité (des routes dans ce décor irréel qui est en fait créé par le cérébro-virus). Et les clés rouges ouvrent des bâtiments réels, des bunkers, des accès fermés...Les missions sont précisées au démarrage, et des consignes plus précises sont lancées sur l'écran, grâce au HUD qui vous relie à votre collègue indélicat (celui qui vous a placé là après vous avoir assommée).
Par exemple, dans la mission 1, vous allez devoir éradiquer les araignées et les moustiques géants, les armes qui vous pilonnent, et trouver le chemin du bunker. Il y a des pylônes avec des larves d'insectes géants, et il faudra détruire dix cocons géants pour aller au bout de votre mission et ouvrir le bunker. La carte qui permet de visualiser les ennemis et les clés à trouver (triangles et carrés sur la Map) s'active en pressant F3. Mais il faudra passer par la case manuel pour apprivoiser les commandes, en sachant que le bec de votre aéroglisseur peut pointer vers le haut ou vers le bas, et que cela rend la visée plutôt difficile. De même, la conduite dans cet environnement psychédélique est une source de stress et la musique sur-vitaminée peut vous énerver et non stimuler vos réflexes (le menu permet de baisser ou couper le son de la musique). Tout ce qui se trouve sur l'écran est à détruire, y compris les robots humanoïdes qui semblent vous demander de les épargner : chaque destruction laisse un bonus à récupérer comme dans un jeu d'arcade (munitions, énergie) et des munitions de plus en plus dévastatrices seront à récupérer au fur et à mesure de votre avancée dans les niveaux. Quand le niveau d'énergie est trop bas, le HUD clignote et un compte à rebours s'active. Si vous ne trouvez pas d'énergie, la bombe nucléaire explose, et vous avec.
A la fin de chaque niveau, un mot de passe vous est donné (différent selon que vous êtes en mode facile, médium ou difficile) pour ne pas avoir à recommencer depuis le tout début à chaque partie.
Perle ou bouse, les avis divergent
Les avis, les tests d'époque, sont très partagés : on ne peut parler d'unanimité, et a contrario les opinions vont du "très bien" au "n'importe nawak". Les commandes ne sont pas toujours intuitives, les graphismes apportent un côté malaisant (atmosphère d'apocalypse oblige !) et la mission (en anglais sur la version testée) est parfois mal précisée. Mais les niveaux sont très vastes, et si vous apprenez à contrôler votre véhicule et à ne pas rester coincé dans le décor, vous allez enchaîner les missions avec les rythmes entraînants de Nathan Mc Cree, le musicien attitré de Core design (les trois premiers Tomb Raider, c'est lui !).
Pendant que l'équipe de Core Design développait le premier Tomb Raider, les autres membres s'activaient avec cet opus qui donne encore à une femme le soin de sauver le monde. Kimberly Stride ne connaîtra pas la postérité de son homologue Lara Croft, et le jeu sera occulté. Pourtant, les "let's play" et "walkthrough" jalonnent le net, et si la version PC a été boudée, le jeu a connu une vraie notoriété sous PS1 et sous Saturn. En testant ce jeu, je me suis rendu compte que ce jeu avait été une vraie mine d'or, injustement sous-évaluée. Pas d'abandonware d'or, mais pas non plus de plomb : c'est un jeu que l'on soumettra volontiers au vote de la communauté comme "jeu du mois".
Lancement
Jeu testé sur PCEM avec win 98.
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Les années 2020. Dans le futur...Oui, je vous vois venir avec vos gros sabots, on est déjà au-delà de 2020 (test réalisé en janvier 2022) mais en 1996, c'était un bond d'un quart de siècle dans le futur. Les nano-technologies ont pris le pas sur toutes les innovations et la mondialisation a fait son chemin, donnant plus de pouvoir aux firmes transnationales comme Senclair. Un savant, sorte de docteur fou à la Dr Jekyll, a inventé un virus capable de transformer les rêves et désirs en matière réelle : le cérébro-virus. Mais ce savant a laissé s'échapper un vrai virus tueur qui transforme la terre en une terre désolée et cauchemardesque, avec une sorte de magma qui irradie tout.
Pour contrer ce virus, des scientifiques cherchent à trouver l'entrée du Bunker où s'est réfugié le savant, et y placer une charge nucléaire capable de mettre un terme à cette catastrophe. Un aéroglisseur équipé de cette charge sera le véhicule idéal, mais le scientifique qui a mis au point cette innovation renonce à se sacrifier. Car oui, ce ne peut être qu'une mission suicide. La collaboratrice de ce scientifique, Kimberly Stride, assommée dans son laboratoire, se retrouve aux manettes de l'aéroglisseur, avec un émetteur qui la relie à son "associé". C'est lui qui lui indiquera les tâches, les missions à effectuer, jusqu'à l'affrontement final. A condition que le manque d'énergie ne déclenche la charge nucléaire qui se trouve dans le ventre du véhicule de Kimberly.

La mission de votre avatar féminin se décline en quatre chapitres divisés en trois à cinq phases. Avec votre clavier et votre souris, vous allez devoir appréhender des commandes simples mais qui ne rendent pas la prise en main aussi simple qu'un simple jeu de course ou qu'un habituel clone de Doom. Au démarrage de votre première mission, vous allez devoir vous habituer à un environnement inhabituel : Le sol est recouvert de matières organiques, les carcasses de voitures et les bâtiments éventrés jouxtent des araignées mutantes aussi grosses qu'un side-car, des insectes volants se comportent comme des drones, et des batteries de défense vous pilonnent avec de l'artillerie lourde : il va falloir se battre contre des armes conventionnelles et contre des créatures mutantes. Heureusement, vous disposez d'une mitrailleuse à munitions illimitées (barre espace) et vous avez des missiles plus costauds (touche ctrl). Vous pouvez d'ailleurs utiliser les deux armes en même temps.
Vous devez ouvrir des portes en frappant des téléporteurs qui ont des numéros : les clés vertes ouvrent des voies d'irréalité (des routes dans ce décor irréel qui est en fait créé par le cérébro-virus). Et les clés rouges ouvrent des bâtiments réels, des bunkers, des accès fermés...Les missions sont précisées au démarrage, et des consignes plus précises sont lancées sur l'écran, grâce au HUD qui vous relie à votre collègue indélicat (celui qui vous a placé là après vous avoir assommée).
Par exemple, dans la mission 1, vous allez devoir éradiquer les araignées et les moustiques géants, les armes qui vous pilonnent, et trouver le chemin du bunker. Il y a des pylônes avec des larves d'insectes géants, et il faudra détruire dix cocons géants pour aller au bout de votre mission et ouvrir le bunker. La carte qui permet de visualiser les ennemis et les clés à trouver (triangles et carrés sur la Map) s'active en pressant F3. Mais il faudra passer par la case manuel pour apprivoiser les commandes, en sachant que le bec de votre aéroglisseur peut pointer vers le haut ou vers le bas, et que cela rend la visée plutôt difficile. De même, la conduite dans cet environnement psychédélique est une source de stress et la musique sur-vitaminée peut vous énerver et non stimuler vos réflexes (le menu permet de baisser ou couper le son de la musique). Tout ce qui se trouve sur l'écran est à détruire, y compris les robots humanoïdes qui semblent vous demander de les épargner : chaque destruction laisse un bonus à récupérer comme dans un jeu d'arcade (munitions, énergie) et des munitions de plus en plus dévastatrices seront à récupérer au fur et à mesure de votre avancée dans les niveaux. Quand le niveau d'énergie est trop bas, le HUD clignote et un compte à rebours s'active. Si vous ne trouvez pas d'énergie, la bombe nucléaire explose, et vous avec.
A la fin de chaque niveau, un mot de passe vous est donné (différent selon que vous êtes en mode facile, médium ou difficile) pour ne pas avoir à recommencer depuis le tout début à chaque partie.

Les avis, les tests d'époque, sont très partagés : on ne peut parler d'unanimité, et a contrario les opinions vont du "très bien" au "n'importe nawak". Les commandes ne sont pas toujours intuitives, les graphismes apportent un côté malaisant (atmosphère d'apocalypse oblige !) et la mission (en anglais sur la version testée) est parfois mal précisée. Mais les niveaux sont très vastes, et si vous apprenez à contrôler votre véhicule et à ne pas rester coincé dans le décor, vous allez enchaîner les missions avec les rythmes entraînants de Nathan Mc Cree, le musicien attitré de Core design (les trois premiers Tomb Raider, c'est lui !).
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