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#arene #camion #choixperso #decors3dtext #duel #moto #objets3dtext #scrollmulti #voiture #vuedos
Putain de réveillon !
24 décembre 2005... 10 ans dans le futur par rapport à la conception du jeu Twisted Metal. Un mystérieux personnage défiguré, Calypso, convie les douze pilotes les plus fous pour une course mortelle : Douze guerriers qui vont s'entretuer dans des courses urbaines sur fond de décor apocalyptique. Ces douze mercenaires sont équipés de véhicules dotés d'armes destructrices. Du camion puissant à la moto ultra rapide, du taxi au blindé en passant par une voiture de cirque, chaque pilote a une personnalité et des armes qui vous renvoient dans l'imaginaire de Mad Max.
Douze guerriers, six courses, un seul vainqueur. Ou plutôt un seul survivant. Avec un prix qui correspond à tout ce que peut souhaiter un survivant vainqueur des meilleurs guerriers du monde. Une seule précision : l'un des douze pilotes, ce sera vous. Et vous choisissez d'incarner l'un des douze pilotes. Un scénario aussi vrillé que la tôle des véhicules qui vont se défoncer à coups de missiles, de roquettes et de lance-flammes. Twisted Metal, ou métal contorsionné, c'est ici que débute l'une des sagas les plus fructueuses de l'histoire du jeu vidéo. Approchez, que diable... Le réveillon sera chaud bouillant, c'est Calypso qui régale !
A la source d'une licence mythique de l'ère de la Playstation
Dès ce premier opus, le concept indécrottable de la licence du jeu est posée, ainsi que bon nombre de personnages.Dans le menu d'options, vous allez paramétrer votre clavier ou faire reconnaître votre manette de jeu, et vous allez opter pour le niveau de difficulté. Puis vient le temps du choix de votre avatar, parmi les douze pilotes. Et c'est parti pour six courses jusqu'à la victoire finale.
- Le circuit Arena : petite arène conçue pour un duel. C'est l'occasion d'exercer votre agilité, de vous familiariser avec les power-up qui jonchent le sol (armes, tremplins, turbo) et de viser l'ennemi pour vous retrouver en position favorable (derrière lui plutôt que face à face).
- Le circuit Warehouse : dans une ville dont le plan est en damier (on est censé être à Los Angeles), vous devez dénicher vos trois ennemis au milieu d'une jungle urbaine assez dense et truffée de piétons.
- Le tracé Freeway : une voie rapide entrecoupée de tunnels et de voies secondaires, avec cinq ennemis à terrasser dans un environnement nocturne et plein de pièges.
- Le circuit City Park vous amène à foncer dans des ruelles, avec une rivière et des plans inclinés, en face de six ennemis chevronnés.
- Cyburbia : Un périphérique comme épine dorsale, avec des quartiers résidentiels et un canal, et huit pilotes déterminés à en finir avec vous.
- Rooftop : un circuit sur les toits des gratte-ciels, avec une pyramide de verre, des chemins qui surplombent des ravins profonds et les trois meilleurs pilotes à abattre.
Pour un joueur aguerri, le jeu peut se terminer en moins d'une demi-heure. Mais en essayant de finir le jeu avec un pilote différent à chaque fois, cela devrait suffire à vous tenir en haleine pendant plusieurs jours, ou même une ou deux semaines. On regrettera l'absence de rétroviseurs, et le manque de réalisme dans les dommages au véhicule que l'on conduit. Mais l'IA est intuitive et pose des soucis, le moteur du jeu est plutôt convenable pour un jeu de 1995-1996. L'équipe de SingleTrac signe un monument du genre, et on retrouvera une fidélité indéfectible de la plupart des membres de la team, derrière l'enthousiaste Dave Jaffe dont c'est le premier vrai jeu, après des débuts remarqués chez Travellers Tales pour y développer Mickey Mania sur SNES.
Conclusion : un brouillon avant le chef-d'oeuvre
David Jaffe a d'emblée offert un titre de légende à la console de chez Sony : Tekken, Mortal Kombat 3 et Krazy Ivan sont sortis dès le lancement de la PlayStation, et ce petit jeu sans prétention aurait pu rester dans l'anonymat. Mais le bouche à oreille a fait le reste et le jeu s'est vendu à des milliers d'exemplaires, ouvrant la voie à une suite. Mais aussi à une obligation de résultats : le second opus a non seulement gommé les défauts du premier (décors confus, bugs, maniabilité bof sur PC) mais est sans doute le meilleur de cette saga qui a poursuivi ses développements jusqu'aux années 2010.
La version PC, généralisée pour le second opus, a été moins distribuée dans le monde, et a connu sa raison d'être avec une version multiplayer qui avait besoin d'une connexion Internet. Les serveurs ne sont plus là, nous n'avons testé que la version solo. Et si la version PlayStation permettait le duel par écran splitté, on peut regretter cette lacune pour la conversion sur PC. Ce titre est donc un très joli brouillon, qui n'éclipsera pas Destruction Derby, mais qui prépare le chef-d'oeuvre que nous avons aussi à vous proposer : le second volet de cette saga, qui ne se déclinera ensuite que sous le support de la console Sony.
Lancement
Le jeu peut être lancé dans un PC émulant Win 98. Mais la version automatique fonctionne au poil, ne vous en privez pas !
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Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
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Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

24 décembre 2005... 10 ans dans le futur par rapport à la conception du jeu Twisted Metal. Un mystérieux personnage défiguré, Calypso, convie les douze pilotes les plus fous pour une course mortelle : Douze guerriers qui vont s'entretuer dans des courses urbaines sur fond de décor apocalyptique. Ces douze mercenaires sont équipés de véhicules dotés d'armes destructrices. Du camion puissant à la moto ultra rapide, du taxi au blindé en passant par une voiture de cirque, chaque pilote a une personnalité et des armes qui vous renvoient dans l'imaginaire de Mad Max.
Douze guerriers, six courses, un seul vainqueur. Ou plutôt un seul survivant. Avec un prix qui correspond à tout ce que peut souhaiter un survivant vainqueur des meilleurs guerriers du monde. Une seule précision : l'un des douze pilotes, ce sera vous. Et vous choisissez d'incarner l'un des douze pilotes. Un scénario aussi vrillé que la tôle des véhicules qui vont se défoncer à coups de missiles, de roquettes et de lance-flammes. Twisted Metal, ou métal contorsionné, c'est ici que débute l'une des sagas les plus fructueuses de l'histoire du jeu vidéo. Approchez, que diable... Le réveillon sera chaud bouillant, c'est Calypso qui régale !

Dès ce premier opus, le concept indécrottable de la licence du jeu est posée, ainsi que bon nombre de personnages.Dans le menu d'options, vous allez paramétrer votre clavier ou faire reconnaître votre manette de jeu, et vous allez opter pour le niveau de difficulté. Puis vient le temps du choix de votre avatar, parmi les douze pilotes. Et c'est parti pour six courses jusqu'à la victoire finale.
- Le circuit Arena : petite arène conçue pour un duel. C'est l'occasion d'exercer votre agilité, de vous familiariser avec les power-up qui jonchent le sol (armes, tremplins, turbo) et de viser l'ennemi pour vous retrouver en position favorable (derrière lui plutôt que face à face).
- Le circuit Warehouse : dans une ville dont le plan est en damier (on est censé être à Los Angeles), vous devez dénicher vos trois ennemis au milieu d'une jungle urbaine assez dense et truffée de piétons.
- Le tracé Freeway : une voie rapide entrecoupée de tunnels et de voies secondaires, avec cinq ennemis à terrasser dans un environnement nocturne et plein de pièges.
- Le circuit City Park vous amène à foncer dans des ruelles, avec une rivière et des plans inclinés, en face de six ennemis chevronnés.
- Cyburbia : Un périphérique comme épine dorsale, avec des quartiers résidentiels et un canal, et huit pilotes déterminés à en finir avec vous.
- Rooftop : un circuit sur les toits des gratte-ciels, avec une pyramide de verre, des chemins qui surplombent des ravins profonds et les trois meilleurs pilotes à abattre.
Pour un joueur aguerri, le jeu peut se terminer en moins d'une demi-heure. Mais en essayant de finir le jeu avec un pilote différent à chaque fois, cela devrait suffire à vous tenir en haleine pendant plusieurs jours, ou même une ou deux semaines. On regrettera l'absence de rétroviseurs, et le manque de réalisme dans les dommages au véhicule que l'on conduit. Mais l'IA est intuitive et pose des soucis, le moteur du jeu est plutôt convenable pour un jeu de 1995-1996. L'équipe de SingleTrac signe un monument du genre, et on retrouvera une fidélité indéfectible de la plupart des membres de la team, derrière l'enthousiaste Dave Jaffe dont c'est le premier vrai jeu, après des débuts remarqués chez Travellers Tales pour y développer Mickey Mania sur SNES.

David Jaffe a d'emblée offert un titre de légende à la console de chez Sony : Tekken, Mortal Kombat 3 et Krazy Ivan sont sortis dès le lancement de la PlayStation, et ce petit jeu sans prétention aurait pu rester dans l'anonymat. Mais le bouche à oreille a fait le reste et le jeu s'est vendu à des milliers d'exemplaires, ouvrant la voie à une suite. Mais aussi à une obligation de résultats : le second opus a non seulement gommé les défauts du premier (décors confus, bugs, maniabilité bof sur PC) mais est sans doute le meilleur de cette saga qui a poursuivi ses développements jusqu'aux années 2010.
La version PC, généralisée pour le second opus, a été moins distribuée dans le monde, et a connu sa raison d'être avec une version multiplayer qui avait besoin d'une connexion Internet. Les serveurs ne sont plus là, nous n'avons testé que la version solo. Et si la version PlayStation permettait le duel par écran splitté, on peut regretter cette lacune pour la conversion sur PC. Ce titre est donc un très joli brouillon, qui n'éclipsera pas Destruction Derby, mais qui prépare le chef-d'oeuvre que nous avons aussi à vous proposer : le second volet de cette saga, qui ne se déclinera ensuite que sous le support de la console Sony.

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