CINEMAWARE
Jeux (11)
1987
The Three Stooges
Développement, Édition1988
Dark Side
Distribution aux États-Unis1988
Rocket Ranger
Développement, Édition aux États-Unis1988
The King of Chicago
Développement, Édition1989
Sinbad and the Throne of the Falcon
Développement, Édition1990
Dragons Breath
Distribution aux États-Unis1990
It Came From the Desert
Développement, Édition1990
TV Sports : Basketball
Développement, Édition1991
Enemy Within
Développement, Édition1991
Rollerbabes
Développement, Édition2003
Robin Hood Defender of the Crown
Développement
Une erreur ? Un complément ? Rédiger un texte ? Contactez nous.
Autres noms : Cinemaware Corporation, Cinemaware, Inc.
Excroissance de la société américaine Master Designer Software, la mission de Cinemaware est de créer des jeux à la réalisation exceptionnelle, qu'elle désigne sous le nom de films interactifs. L'idée est notamment de faire oublier l'ordinateur en minimisant voire rendant inutile l'utilisation du clavier au profit de la souris ou du joystick, et de se rapprocher de l'univers de l'industrie cinématographique. Ce sera le cas de leur premier titre, Defender of the Crown qui montrera l'étendue des possibilités qu'offraient les ordinateurs 16 bits et plus particulièrement, l'Amiga.
Les titres suivants confirmeront cette impression : S.D.I., The King of Chicago, Sinbad and the Throne of the Falcon, Rocket Ranger, Lords of the Rising Sun, It Came from the Desert et Wings. Le rapprochement avec l'industrie cinématographique sera effectif avec The Three Stooges, une propriété de Columbia Pictures Industries. En parallèle, Cinemaware propose aussi plusieurs simulations sportives. Malgré cela, la gestion de l'entreprise n'est pas optimale et des fortunes sont gaspillées dans la production. Du coup, la société doit mettre la clef sous la porte en 1991. R.I.P. ?
Pas tout à fait. Au début du nouveau millénaire, la marque Cinemaware a été relancée en commençant par exploiter le filon Defender of the Crown. Pour autant, aucun ancien de la société n'a été impliqué dans cette "résurrection", qui pourrait, avec beaucoup de mauvais esprit, sembler opportuniste. Le lien proposé ci-dessus correspond à la nouvelle personnification (morale) de Cinemaware.
Pour en savoir plus