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Tunnels & Trolls : Crusaders of Khazan
Date de sortie
1990 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution au Royaume-Uni
Systèmes







Dosbox
Compatible avec la version 0.73
#adaptjeu #creatperso #curseur #decors2dbitmap #equipe #fantasy #femme #objets2dbitmap #scrollmulti #vuehaute
Toile de fond
Depuis 1986, l'industrie du jeu vidéo connaît une accélération des productions de jeux de rôle ayant pour trame plus ou moins lointaine l'univers de Donjons et dragons. Après The Bard's Tale, et la série des jeux Gold Box Engine : Curse of the Azure Bonds ...).
Les nouveaux entrants qui désiraient se démarquer de ces grosses licences avaient un choix limité : devaient-ils produire un jeu radicalement différents à l'image de Dungeon Master ? Un clone ? Ou bien miser sur une licence concurrente de Donjons et Dragons ?
New World Computing opta pour la troisième réponse. Elle acheta les droits du plus grand concurrent de Donjons et Dragons pour l'adapter en jeu vidéo. Sur le papier, la chose apparaissait faire sens. "Tunnels and Trolls" est un jeu papier simple, parfait pour les joueurs occasionnels. Et en 1990 à sa sortie, le jeu de rôle ne touchait plus seulement les fans du genre mais aussi les joueurs peu habitués à massacrer de l'orc à la chaîne.
Le jeu
Auréolé de la licence d'un jeu d'héroïque fantaisie populaire, l'éditeur américain allait se montrer particulièrement prudent au niveau de l'interface. Nous voici dans du très, très, trop classique : l'écran est divisé entre une partie graphique fenêtrée et le texte. Pourtant des efforts supplémentaires auraient été les bienvenus car la circulation entre les fenêtres est laborieuse et l'ensemble graphique est particulièrement pauvre. Tout cela ressemble à des fenêtres façon Windows 95.
Pour adapter Tunnels and Trolls, c'est la prudence qui a été de mise au niveau du scénario : les forces du mal et du bien étaient arrivées à une paix précaire à condition que le champion du bien s'exile... Capturé par les odieux méchants, un groupe d'aventuriers (vous en l'occurrence) essaie de le libérer. Car il faut rapidement rassembler toutes les forces de la lumière, celles des ténèbres se sont mises en marche pour écraser les royaumes du bien...
Le début du jeu apparaît relativement long. La création de personnages rappelle furieusement celle de Donjons et Dragons et les différences entre les deux jeux papiers ne sont pas assez mises en avant. Nous aurons droit soit de choisir les personnages pré-tirés ou bien de se lancer dans la génération de vos propres avatars. La personnalisation est à l'image de ce qui se faisait à l'époque : ni pire ni meilleure.
Si l'on passe cette première demi-heure, place maintenant à la laborieuse phase d'équipements. La suite est-elle plus glorieuse ? Pas vraiment. Si l'immersion du joueur et le contexte apparaissent intéressant et se rapprochent des jeux d'aventure, les phase d'exploration et de combat apparaissent laborieuses. Nous voilà dans un mélange de Gold Box Engine et de Ultima en moins bien.
Avis
Basé sur une licence attractive, New World Computing échoue à apporter quelque chose de nouveau au style. L'interface peu attractive relègue le jeu au rang de clone des meilleurs jeux de l'époque.
On attendait mieux de l'éditeur qui avait produit Might and Magic II au même moment.
Lancement
Utilisez DOSBox ou D-Fend Reloaded pour exécuter le jeu.
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New World Computing opta pour la troisième réponse. Elle acheta les droits du plus grand concurrent de Donjons et Dragons pour l'adapter en jeu vidéo. Sur le papier, la chose apparaissait faire sens. "Tunnels and Trolls" est un jeu papier simple, parfait pour les joueurs occasionnels. Et en 1990 à sa sortie, le jeu de rôle ne touchait plus seulement les fans du genre mais aussi les joueurs peu habitués à massacrer de l'orc à la chaîne.

Auréolé de la licence d'un jeu d'héroïque fantaisie populaire, l'éditeur américain allait se montrer particulièrement prudent au niveau de l'interface. Nous voici dans du très, très, trop classique : l'écran est divisé entre une partie graphique fenêtrée et le texte. Pourtant des efforts supplémentaires auraient été les bienvenus car la circulation entre les fenêtres est laborieuse et l'ensemble graphique est particulièrement pauvre. Tout cela ressemble à des fenêtres façon Windows 95.
Pour adapter Tunnels and Trolls, c'est la prudence qui a été de mise au niveau du scénario : les forces du mal et du bien étaient arrivées à une paix précaire à condition que le champion du bien s'exile... Capturé par les odieux méchants, un groupe d'aventuriers (vous en l'occurrence) essaie de le libérer. Car il faut rapidement rassembler toutes les forces de la lumière, celles des ténèbres se sont mises en marche pour écraser les royaumes du bien...
Le début du jeu apparaît relativement long. La création de personnages rappelle furieusement celle de Donjons et Dragons et les différences entre les deux jeux papiers ne sont pas assez mises en avant. Nous aurons droit soit de choisir les personnages pré-tirés ou bien de se lancer dans la génération de vos propres avatars. La personnalisation est à l'image de ce qui se faisait à l'époque : ni pire ni meilleure.
Si l'on passe cette première demi-heure, place maintenant à la laborieuse phase d'équipements. La suite est-elle plus glorieuse ? Pas vraiment. Si l'immersion du joueur et le contexte apparaissent intéressant et se rapprochent des jeux d'aventure, les phase d'exploration et de combat apparaissent laborieuses. Nous voilà dans un mélange de Gold Box Engine et de Ultima en moins bien.

Basé sur une licence attractive, New World Computing échoue à apporter quelque chose de nouveau au style. L'interface peu attractive relègue le jeu au rang de clone des meilleurs jeux de l'époque.
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