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Megafortress
Date de sortie
1991 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution en Europe
Distribution en France
Distribution aux États-Unis
Systèmes






Dosbox
Compatible avec la version 0.73
#1990 #adaptlivre #armee #avion #decors3dpoly #editeur #moyenorient #objets3dpoly #scrollmulti #vuesubj
Scénario
Vous connaissez probablement le B-52 Stratofortress, ce monstre volant qui a eu son "heure de gloire" pendant la guerre du Vietnam. 8 réacteurs, 56 mètres d'envergure, 120 tonnes un fois chargé, dont 30 en missiles et bombes en tous genres : l'idéal pour le bombardement massif. A quoi ressemblerait un B-52 équipé des dernières trouvailles technologiques ? C'est ce qu'a imaginé Dale Brown dans son roman "Flight of the Old Dog" (non traduit en français) : un B-52 est retapé et renommé "Megafortress" (ou "Old Dog" pour les intimes) afin d'aller détruire une installation militaire armée d'un laser sur le territoire soviétique. Megafortress est une libre adaptation de ce roman. Comme les soviétiques n'étaient plus aussi effrayants en cette année 1991, ils ont été remplacés par le nouveau méchant à la mode : l'Irak.
Présentation
1991 a été une année faste pour les simulateurs de vol : Chuck Yeager's Air Combat, Falcon 3.0, Secrets Weapons of the Luftwaffe, Gunship 2000, F-117A Stealth Fighter 2.0... Difficile de se faire remarquer dans ces conditions. Pour cela, Megafortress a choisi un créneau bien particulier : le simulateur prise de tête ! Pour piloter un tel monstre volant, il faut 6 pilotes, chacun à leur poste, avec des tas de boutons à l'écran. On passe plus de temps à surveiller des écrans de contrôle et tripoter des interrupteurs qu'à admirer le paysage. Dans le genre, seul Shuttle fera pire l'année suivante ! A titre d'exemple, rien que pour décoller, il faut jongler avec le moteur, les réacteurs, les freins, les ailerons et le mode "Land" (et éventuellement les essuie-glaces s'il pleut). Sur l'écran de radar, on peut s'amuser à brouiller les signaux ennemis. Même la pressurisation de l'habitacle est prise en compte. Heureusement, les graphismes sont suffisamment clairs pour distinguer tous les instruments. Si vous cherchez un simulateur accessible pour planer et aligner les loopings, Megafortress n'est pas pour vous. Si en revanche vous privilégiez la stratégie et la complexité, vous devriez y trouver votre bonheur.
Lancement sous DOSBox
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1991 a été une année faste pour les simulateurs de vol : Chuck Yeager's Air Combat, Falcon 3.0, Secrets Weapons of the Luftwaffe, Gunship 2000, F-117A Stealth Fighter 2.0... Difficile de se faire remarquer dans ces conditions. Pour cela, Megafortress a choisi un créneau bien particulier : le simulateur prise de tête ! Pour piloter un tel monstre volant, il faut 6 pilotes, chacun à leur poste, avec des tas de boutons à l'écran. On passe plus de temps à surveiller des écrans de contrôle et tripoter des interrupteurs qu'à admirer le paysage. Dans le genre, seul Shuttle fera pire l'année suivante ! A titre d'exemple, rien que pour décoller, il faut jongler avec le moteur, les réacteurs, les freins, les ailerons et le mode "Land" (et éventuellement les essuie-glaces s'il pleut). Sur l'écran de radar, on peut s'amuser à brouiller les signaux ennemis. Même la pressurisation de l'habitacle est prise en compte. Heureusement, les graphismes sont suffisamment clairs pour distinguer tous les instruments. Si vous cherchez un simulateur accessible pour planer et aligner les loopings, Megafortress n'est pas pour vous. Si en revanche vous privilégiez la stratégie et la complexité, vous devriez y trouver votre bonheur.

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