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Bill Elliott's NASCAR Challenge
Date de sortie
1991 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution en Europe
Systèmes







Dosbox
Compatible avec la version 0.63
#circuit #decors3dpoly #etatsunis #objets2dbitmap #scrollmulti #stockcar #vuesubj
Présentation
Bill Elliott's Nascar Challenge est le précurseur de la saga des Nascar Racing. Edité en 1991, ce titre apparaît comme un bon jeu de course, sous le patronage de Bill Elliott, l'un des pilotes de stock-car parmi les plus populaires au cours des années 1980 et 1990, au pays de l'Oncle Sam.
Vous avez le choix entre trois voitures américaines, après avoir mis votre nom ou pseudonyme pour sauvegarder vos choix : la Ford Thunderbird est une réplique de la voiture de Bill; ou bien préférerez-vous la Chevrolet Lumina, à moins que vous ne soyez tenté(e,s) par la Pontiax Grand-Prix. Boîte manuelle ou automatique, clavier ou joystick, tout est à choisir dans les options.
Vous pouvez vous entraîner, ou entreprendre vos qualifications, ou, en mode tête brûlée, débuter une course sur l'un des huit circuits proposés.
Vous courez dans votre bolide en vue intérieure, avec votre tableau de bord bien visible, et votre rétroviseur apparaît sans permettre de bien deviner de quel côté se trouvent les voitures qui vous talonnent.
Oui mais voilà : vous allez très vite vous apercevoir de la difficulté de négocier vos virages (et sans conteste, le circuit Sears est un relède pour soigner quiconque aurait des tendances masochistes : les virages s'enchaînent sans réelle ligne droite, et vous pouvez règler votre course sur 250 tours: un vrai challenge de dingue que d'arriver au finish !)
Alors pour surmonter la difficulté, vous allez vous apercevoir que la clé de voûte du jeu c'est ce qui précéde la course proprement dite: vous allez apprendre à booster votre moteur, mais en tenant compte des capacités offertes par votre voiture, son poids, sa maniabilité, sa puissance. Le choix des pneumatiques, en fonction des virages, plutôt à droite ou plutôt à gauche, conditionneront des choix de pneus plus ou moins épais sur le côté concerné.
Vous pouvez visionner vos performances ou vos erreurs sur une vidéo qui vous propose six caméras diffèrentes, avec une vue du ciel particulièrement intéressante, ou depuis la tour de la régie.
Un jeu qui s'apparente ainsi davantage à une simulation qu'à un vrai jeu de course, comme vous allez le constater en l'essayant.
Papyrus Design vs Distinctive Software
Pour les puristes, le premier titre de jeux de courses automobiles que l'on peut classer comme soft de simulation, sur Dos hein, c'est Pole Position.
David Kaemmer a été profondément marqué par ce titre, et la légende affirme qu'il a créé son studio, Papyrus Design Group pour lancer des jeux de simulation de courses de voitures.
En 1989, son rêve se matérialise avec l'avènement de Indianapolis 500, qui reste la référence absolue jusqu'en 1991.
De son côté, Don Mattrick, fervent passionné de courses automobiles en arcade et en simulation, a fondé Distinctive Software pour lancer ses propres jeux.
Parmi l'avalanche de titres à succès, il y a Test Drive et Test Drive II qui attirent l'attention des éditeurs et des passionnés de courses.
La société canadienne saisit la chance qui lui est offerte de dépasser Papyrus en signant un contrat avec une des stars les plus en vue du Championnat états-unien de stock-car (le Nascar): cette personnalité, c'est Bill Elliott !
Donald Mattrick dépense toute son énergie et ses royalties, mais le studio est également engagé sur un jeu de cette licence pour la Game Boy (Bill Elliott's Nascar Challenge : Fast Tracks et sur un autre projet pour micro: Mario Andretti's Racing Challenge. Le premier est un échec cinglant et le second obtient des ventes honorables.
Le studio s'endette, et a délaissé sa licence Test Drive en la cédant à Accolade ce qui le prive de rentrées d'argent.
La presse a beau encenser Bill Elliott's Nascar Challenge, les ventes ne décollent pas autant que ce que l'on espérait.
Objectif technique et artistique atteints, mais c'est le résultat économique qui fait la différence: le studio est racheté par Electronic Arts, l'éditeur du studio Papyrus.
Une grande partie de l'équipe de développement de ce Nascar Challenge a travaillé sur la suite de... Indianapolis ? Nan ! Sur une version améliorée de Nascar Challenge, sans Bill Elliott, mais avec la mention Nascar: Ce sera Nascar Racing.
David Kaemmer va poursuivre son rêve et c'est en 1998 que le jeu Grand Prix Legends devient la nouvelle référence.
Et si DSI avait disparu depuis longtemps des écrans des compagnies de jeux vidéo, la plupart de ses anciens employés avaient poursuivi la quête de Donald Mattrick.
Conclusion
Le jeu propose des bruitages assez crédibles, aujourd'hui comme en 1991, mais ne propose pas de musiques, contrairement à la version Amiga.
Mais c'est un jeu qui montre beaucoup de fluidité, malgré les sprites des 10 voitures qui participent à la course en même temps que vous.
Un jeu fluide et réaliste, qui a tenu la dragée haute aux ténors de ce début de décennie des années 1990. C'est probablement la grande difficulté de ce jeu qui m'empêche de lui décerner un abandonware d'or. L'abandonware d'argent n'existe pas chez nous, mais cela aurait probablement le statut que mérite ce classique érigé au rang de Hit. Sept ans avant Grand Prix Legends, la simulation de course automobile avait son titre phare, celui que vous tenez aujourd'hui entre vos mains !
Lancement et test anti-piratage
Jeu testé sous D-Fend Reloaded. Lancez BENC.COM. Les codes anti-piratage se trouvent avec le manuel. Il faut associer le numéro de la page avec le circuit qui apparaît. Vous pouvez aussi lancer BENC_K.EXE pour désactiver la protection.
Complétez cette fiche
Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.
Des questions ? besoin d'aide ?
Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

Bill Elliott's Nascar Challenge est le précurseur de la saga des Nascar Racing. Edité en 1991, ce titre apparaît comme un bon jeu de course, sous le patronage de Bill Elliott, l'un des pilotes de stock-car parmi les plus populaires au cours des années 1980 et 1990, au pays de l'Oncle Sam.
Vous avez le choix entre trois voitures américaines, après avoir mis votre nom ou pseudonyme pour sauvegarder vos choix : la Ford Thunderbird est une réplique de la voiture de Bill; ou bien préférerez-vous la Chevrolet Lumina, à moins que vous ne soyez tenté(e,s) par la Pontiax Grand-Prix. Boîte manuelle ou automatique, clavier ou joystick, tout est à choisir dans les options.
Vous pouvez vous entraîner, ou entreprendre vos qualifications, ou, en mode tête brûlée, débuter une course sur l'un des huit circuits proposés.
Vous courez dans votre bolide en vue intérieure, avec votre tableau de bord bien visible, et votre rétroviseur apparaît sans permettre de bien deviner de quel côté se trouvent les voitures qui vous talonnent.
Oui mais voilà : vous allez très vite vous apercevoir de la difficulté de négocier vos virages (et sans conteste, le circuit Sears est un relède pour soigner quiconque aurait des tendances masochistes : les virages s'enchaînent sans réelle ligne droite, et vous pouvez règler votre course sur 250 tours: un vrai challenge de dingue que d'arriver au finish !)
Alors pour surmonter la difficulté, vous allez vous apercevoir que la clé de voûte du jeu c'est ce qui précéde la course proprement dite: vous allez apprendre à booster votre moteur, mais en tenant compte des capacités offertes par votre voiture, son poids, sa maniabilité, sa puissance. Le choix des pneumatiques, en fonction des virages, plutôt à droite ou plutôt à gauche, conditionneront des choix de pneus plus ou moins épais sur le côté concerné.
Vous pouvez visionner vos performances ou vos erreurs sur une vidéo qui vous propose six caméras diffèrentes, avec une vue du ciel particulièrement intéressante, ou depuis la tour de la régie.
Un jeu qui s'apparente ainsi davantage à une simulation qu'à un vrai jeu de course, comme vous allez le constater en l'essayant.

Pour les puristes, le premier titre de jeux de courses automobiles que l'on peut classer comme soft de simulation, sur Dos hein, c'est Pole Position.
David Kaemmer a été profondément marqué par ce titre, et la légende affirme qu'il a créé son studio, Papyrus Design Group pour lancer des jeux de simulation de courses de voitures.
En 1989, son rêve se matérialise avec l'avènement de Indianapolis 500, qui reste la référence absolue jusqu'en 1991.
De son côté, Don Mattrick, fervent passionné de courses automobiles en arcade et en simulation, a fondé Distinctive Software pour lancer ses propres jeux.
Parmi l'avalanche de titres à succès, il y a Test Drive et Test Drive II qui attirent l'attention des éditeurs et des passionnés de courses.
La société canadienne saisit la chance qui lui est offerte de dépasser Papyrus en signant un contrat avec une des stars les plus en vue du Championnat états-unien de stock-car (le Nascar): cette personnalité, c'est Bill Elliott !
Donald Mattrick dépense toute son énergie et ses royalties, mais le studio est également engagé sur un jeu de cette licence pour la Game Boy (Bill Elliott's Nascar Challenge : Fast Tracks et sur un autre projet pour micro: Mario Andretti's Racing Challenge. Le premier est un échec cinglant et le second obtient des ventes honorables.
Le studio s'endette, et a délaissé sa licence Test Drive en la cédant à Accolade ce qui le prive de rentrées d'argent.
La presse a beau encenser Bill Elliott's Nascar Challenge, les ventes ne décollent pas autant que ce que l'on espérait.
Objectif technique et artistique atteints, mais c'est le résultat économique qui fait la différence: le studio est racheté par Electronic Arts, l'éditeur du studio Papyrus.
Une grande partie de l'équipe de développement de ce Nascar Challenge a travaillé sur la suite de... Indianapolis ? Nan ! Sur une version améliorée de Nascar Challenge, sans Bill Elliott, mais avec la mention Nascar: Ce sera Nascar Racing.
David Kaemmer va poursuivre son rêve et c'est en 1998 que le jeu Grand Prix Legends devient la nouvelle référence.
Et si DSI avait disparu depuis longtemps des écrans des compagnies de jeux vidéo, la plupart de ses anciens employés avaient poursuivi la quête de Donald Mattrick.

Le jeu propose des bruitages assez crédibles, aujourd'hui comme en 1991, mais ne propose pas de musiques, contrairement à la version Amiga.
Mais c'est un jeu qui montre beaucoup de fluidité, malgré les sprites des 10 voitures qui participent à la course en même temps que vous.
Un jeu fluide et réaliste, qui a tenu la dragée haute aux ténors de ce début de décennie des années 1990. C'est probablement la grande difficulté de ce jeu qui m'empêche de lui décerner un abandonware d'or. L'abandonware d'argent n'existe pas chez nous, mais cela aurait probablement le statut que mérite ce classique érigé au rang de Hit. Sept ans avant Grand Prix Legends, la simulation de course automobile avait son titre phare, celui que vous tenez aujourd'hui entre vos mains !

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