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Times of Conflict
Date de sortie
2000 (
)

Genre
Développement
Création graphique
Production audio
Édition
Systèmes

#curseur #decors3dtext #exploit #exterm #objets2dmodel #sf #tempsreel #vuepersp
Introduction
Il y a des studios de développement que j’aime bien. Des studios qui, qu’importe les jeux, m’ont toujours procuré de la joie, de la bonne humeur et parfois une légère envie de pester contre des joueurs adverses plus efficaces que moi. Le studio français Eugen Systems fait partie de cette catégorie de studios, et quoi de plus normal vu qu’ils sont spécialisés dans les jeux de stratégie ! De The Gladiators : Les jeux de l’arène intergalactiques et son ambiance unique à la guerre ultra moderne dépeinte dans Act of War et Act of Aggression, ou encore R.U.S.E., Eugen Systems est passé par de très nombreux éditeurs français pour ses projets, d’Ubisoft à Atari en passant par Focus Home Interactive (désormais appelé PullUp Entertainment). Mais il me manquait encore un jeu à tester dans leur palmarès, et pas des moindres puisqu’il s’agit de leur premier titre jamais développé, le bien nommé Times of Conflict.
Sorti en novembre 2000 en France, Times of Conflict est un jeu de stratégie en temps réel développé par Eugen Systems et édité par le studio français Microïds (qui décidément était très amateur de stratégie en ce début des années 2000 puisqu’ils sortiront également le sympathique Far Gate à peu près au même moment). On est alors en pleine frénésie du genre de la Stratégie en Temps Réel (ou STR), avec déjà plusieurs sous-genres émergeant au delà de la classique stratégie en temps réel avec construction de bases et gestion de ressources, formule chère aux classiques comme Age of Empires, Warcraft ou Dune 2 : Battle for Arrakis (la mention de ce dernier jeu n’étant point fortuite mais j’y reviendrai plus tard). Le paysage vidéoludique du genre STR est déjà marqué par des titres innovants comme Homeworld ou Ground Control, qui délestent la formule classique pour des approches parfois radicalement différentes.
Dune 2 chez les Français
Plantons déjà le décor : Nous sommes sur la planète Edhaer, une planète où trois civilisations se font constamment la guerre, chacune commandée par un Ancien. Mais ces fameux Anciens semblent être sous les ordres d’un mystérieux empereur galactique, une entité inconnue qui semble tirer les ficelles de tout ce conflit avec pour unique but de récupérer une ressource précieuse endémique à Edhaer : l’Aarine. Créée et distribuée par la civilisation indigène des Aaris, créatures simiesques et sentientes de nature pacifique. Pacifisme qui n’est pas vraiment la principale caractéristique des autres factions de la planète, chacune représentant une forme de régime autoritaire usant de ses propres méthodes pour contrôler leur population. Tout d’abord, nous avons la Guilde, assemblée théocratique dont la religion et la foi sont les moteurs des adeptes de cette faction. Ici, on parle d’archontes, de prophètes, et de rituels et de traditions : la Guilde semble être la faction la plus primitive des trois, mais ne doit pas être sous-estimée pour autant, leur fanatisme faisant en grande partie leur force.
Vient ensuite l’Alliance, dictature militaire où seule la force brute prévaut : Ici on se bat avec les plus grosses armes possibles, les plus gros chars, et on ne fait pas dans la dentelle, quitte à massacrer ses voisins. Enfin vient la Fondation, bureaucratie digne de la maison qui rend fou des Douze Travaux d’Astérix et où on parle de secrétaires, de directoire, de sections… Bref, on met tout le monde dans des petites cases et on s’assure que tout fonctionne. Et au dessus de tout ça, il y a le fameux Empire Galactique et son empereur, ainsi que ses maisons, des clans qui se font la gu-Attendez, ça me rappelle quelque chose…
Et oui, Times of Conflict reprend pour lui beaucoup d’éléments de la série de livres "Dune" de Frank Herbert : une planète avec une civilisation indigène, des maisons qui se font la guerre, un empereur galactique qui cherche à mettre la main sur une ressource exclusive à la planète… On va dire que niveau originalité, on repassera, et le fait que Dune 2000, remake de Dune 2 : Battle for Arrakis, soit sorti deux ans auparavant (et en 2000 pour son portage PlayStation) ne fait que renforcer les suspicions qu’Eugen Systems s’est grandement inspiré du jeu de Westwood Studios et de l’univers de Dune pour le développement de Times of Conflict. A noter que le jeu est intégralement traduit et doublé en français, avec de nombreux dialogues doublés, ce qui est appréciable et une qualité que l’on pouvait déjà noter sur Far Gate. Si le scénario des campagnes ne casse pas trois pattes à un canard (chacune des factions voyant notre héros se rebeller contre son Ancien pour s’affranchir des manipulations de l’empereur), la présence de dialogues à choix multiples permet de renouveler un peu l’aventure.
Bon, maintenant que le scénario est abordé, passons au reste : Niveau gameplay, Times of Conflict se sépare en deux parties : la carte principale où on peut déplacer ses personnages et ses troupes, ainsi que gérer ses ressources pour mettre la main sur les territoires adverses, et les batailles en elles-mêmes qui se jouent comme un STR classique avec quelques changements apportés au gameplay : On commence avec un QG… Mais pas de villageois. Comment récolter l’Aarine et le Pétrole, les deux ressources du jeu ? Et bien, l’Aarine est obtenue en prenant le contrôle des villages neutres Aaris sur la carte. Attention, si vous détruisez les maisons du village, vous obtiendrez moins d’Aarine. Le pétrole, lui, est obtenu en construisant des derricks sur les nappes de pétrole réparties sur la carte, une fois que vous avez construit des cuves permettant le stockage du précieux liquide, bien entendu.
Niveau unités, chaque faction possède ses propres troupes et ses propres forces et faiblesses. Par exemple, la Guilde s’appuie sur une puissante infanterie permettant de mener des attaques rapides en début de jeu. La Fondation possède de très très bons véhicules mais nécessite un temps de mise en place de sa base plus important, là où l’Alliance se contente de noyer l’ennemi sous de la chair à canon et des véhicules faibles mais peu coûteux. A vous de voir quelle manière de joueur vous conviendra le mieux, dans tous les cas vous allez devoir vous attendre à des affrontements avec BEAUCOUP d’unités.
Les graphismes de Times of Conflict sont plutôt originaux, puisqu’ils mélangent modèles 3D pour les bâtiments, véhicules et éléments de relief de la carte avec des sprites en 2D pour l’infanterie et certains éléments de décor. De ce fait, le jeu encaisse sans problèmes des batailles avec un très grand nombre de troupes, avec des effets visuels franchement pas trop mal pour l’époque. Après, on aimera ou pas ce mélange graphique, mais à titre personnel je trouve que ça donne un certain charme au jeu. Et compte tenu de la petite équipe derrière,Eugen Systems a abattu un travail impressionnant, surtout quand on prend en compte le fait que c'est littéralement leur premier projet ! Bon, bien sûr, Times of Conflict n’est pas parfait, et pour moi le point le plus dommageable du jeu, c’est son absence de tutoriel : si vous voulez apprendre à jouer, il va falloir lire le manuel avec attention, sinon vous allez vous retrouver devant votre écran comme une poule devant un couteau. Le jeu possède aussi une caméra un peu capricieuse, et la mini-carte peut se révéler fastidieuse à manipuler.
Conclusion
Alors certes, Times of Conflict n’est pas le jeu de l’année 2000, ni même le STR de l’année 2000. Il possède trop de petits défauts qui l’éjectent automatiquement de la compétition, cependant il reste un petit titre très intéressant à essayer, d’autant plus qu’il marque les débuts dans l’industrie d’un studio qui enchaîne les sans-fautes ensuite, et ça, c’est pas rien. En plus, c’est français, ce serait donc dommage de ne pas jeter un œil à une petite production bien de chez nous qui en plus se paie le luxe d’être un bon titre. En tout cas, c’est mon avis, mais ça n’a pas été celui de l’intégralité de la presse spécialisée.
Si JeuxVideo.com note le jeu 16/20, Gen4 sera beaucoup plus sévère avec un 8/20. Pire encore, Gamekult sanctionne Times of Conflict avec un aberrant 2/10, assorti d’un test qui transpire la mauvaise foi et le rédacteur qui visiblement avait passé une très très mauvaise journée et a décidé de se venger sur le premier jeu venu en pondant un test assassin. Franchement, Gamekult, déjà que votre test de Far Gate frisait les limites de la stupidité, là avec Times of Conflict c’est juste ridicule, au point que je me demande si vous n’aviez pas juste des comptes à régler avec Microïds à l’époque. D’ailleurs Microïds (ou Eugen Systems, d’ailleurs), si vous passez par là, ce serait bien de remettre le jeu sur Steam ou GoG, non ? Il est bien ce jeu, alors c’est dommage de le laisser croupir dans sa version physique de l’époque…Mais heureusement, Abandonware France est là pour vous en faire profiter, avec en plus une version automatique bien huilée.
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Il y a des studios de développement que j’aime bien. Des studios qui, qu’importe les jeux, m’ont toujours procuré de la joie, de la bonne humeur et parfois une légère envie de pester contre des joueurs adverses plus efficaces que moi. Le studio français Eugen Systems fait partie de cette catégorie de studios, et quoi de plus normal vu qu’ils sont spécialisés dans les jeux de stratégie ! De The Gladiators : Les jeux de l’arène intergalactiques et son ambiance unique à la guerre ultra moderne dépeinte dans Act of War et Act of Aggression, ou encore R.U.S.E., Eugen Systems est passé par de très nombreux éditeurs français pour ses projets, d’Ubisoft à Atari en passant par Focus Home Interactive (désormais appelé PullUp Entertainment). Mais il me manquait encore un jeu à tester dans leur palmarès, et pas des moindres puisqu’il s’agit de leur premier titre jamais développé, le bien nommé Times of Conflict.
Sorti en novembre 2000 en France, Times of Conflict est un jeu de stratégie en temps réel développé par Eugen Systems et édité par le studio français Microïds (qui décidément était très amateur de stratégie en ce début des années 2000 puisqu’ils sortiront également le sympathique Far Gate à peu près au même moment). On est alors en pleine frénésie du genre de la Stratégie en Temps Réel (ou STR), avec déjà plusieurs sous-genres émergeant au delà de la classique stratégie en temps réel avec construction de bases et gestion de ressources, formule chère aux classiques comme Age of Empires, Warcraft ou Dune 2 : Battle for Arrakis (la mention de ce dernier jeu n’étant point fortuite mais j’y reviendrai plus tard). Le paysage vidéoludique du genre STR est déjà marqué par des titres innovants comme Homeworld ou Ground Control, qui délestent la formule classique pour des approches parfois radicalement différentes.

Plantons déjà le décor : Nous sommes sur la planète Edhaer, une planète où trois civilisations se font constamment la guerre, chacune commandée par un Ancien. Mais ces fameux Anciens semblent être sous les ordres d’un mystérieux empereur galactique, une entité inconnue qui semble tirer les ficelles de tout ce conflit avec pour unique but de récupérer une ressource précieuse endémique à Edhaer : l’Aarine. Créée et distribuée par la civilisation indigène des Aaris, créatures simiesques et sentientes de nature pacifique. Pacifisme qui n’est pas vraiment la principale caractéristique des autres factions de la planète, chacune représentant une forme de régime autoritaire usant de ses propres méthodes pour contrôler leur population. Tout d’abord, nous avons la Guilde, assemblée théocratique dont la religion et la foi sont les moteurs des adeptes de cette faction. Ici, on parle d’archontes, de prophètes, et de rituels et de traditions : la Guilde semble être la faction la plus primitive des trois, mais ne doit pas être sous-estimée pour autant, leur fanatisme faisant en grande partie leur force.
Vient ensuite l’Alliance, dictature militaire où seule la force brute prévaut : Ici on se bat avec les plus grosses armes possibles, les plus gros chars, et on ne fait pas dans la dentelle, quitte à massacrer ses voisins. Enfin vient la Fondation, bureaucratie digne de la maison qui rend fou des Douze Travaux d’Astérix et où on parle de secrétaires, de directoire, de sections… Bref, on met tout le monde dans des petites cases et on s’assure que tout fonctionne. Et au dessus de tout ça, il y a le fameux Empire Galactique et son empereur, ainsi que ses maisons, des clans qui se font la gu-Attendez, ça me rappelle quelque chose…
Et oui, Times of Conflict reprend pour lui beaucoup d’éléments de la série de livres "Dune" de Frank Herbert : une planète avec une civilisation indigène, des maisons qui se font la guerre, un empereur galactique qui cherche à mettre la main sur une ressource exclusive à la planète… On va dire que niveau originalité, on repassera, et le fait que Dune 2000, remake de Dune 2 : Battle for Arrakis, soit sorti deux ans auparavant (et en 2000 pour son portage PlayStation) ne fait que renforcer les suspicions qu’Eugen Systems s’est grandement inspiré du jeu de Westwood Studios et de l’univers de Dune pour le développement de Times of Conflict. A noter que le jeu est intégralement traduit et doublé en français, avec de nombreux dialogues doublés, ce qui est appréciable et une qualité que l’on pouvait déjà noter sur Far Gate. Si le scénario des campagnes ne casse pas trois pattes à un canard (chacune des factions voyant notre héros se rebeller contre son Ancien pour s’affranchir des manipulations de l’empereur), la présence de dialogues à choix multiples permet de renouveler un peu l’aventure.
Bon, maintenant que le scénario est abordé, passons au reste : Niveau gameplay, Times of Conflict se sépare en deux parties : la carte principale où on peut déplacer ses personnages et ses troupes, ainsi que gérer ses ressources pour mettre la main sur les territoires adverses, et les batailles en elles-mêmes qui se jouent comme un STR classique avec quelques changements apportés au gameplay : On commence avec un QG… Mais pas de villageois. Comment récolter l’Aarine et le Pétrole, les deux ressources du jeu ? Et bien, l’Aarine est obtenue en prenant le contrôle des villages neutres Aaris sur la carte. Attention, si vous détruisez les maisons du village, vous obtiendrez moins d’Aarine. Le pétrole, lui, est obtenu en construisant des derricks sur les nappes de pétrole réparties sur la carte, une fois que vous avez construit des cuves permettant le stockage du précieux liquide, bien entendu.
Niveau unités, chaque faction possède ses propres troupes et ses propres forces et faiblesses. Par exemple, la Guilde s’appuie sur une puissante infanterie permettant de mener des attaques rapides en début de jeu. La Fondation possède de très très bons véhicules mais nécessite un temps de mise en place de sa base plus important, là où l’Alliance se contente de noyer l’ennemi sous de la chair à canon et des véhicules faibles mais peu coûteux. A vous de voir quelle manière de joueur vous conviendra le mieux, dans tous les cas vous allez devoir vous attendre à des affrontements avec BEAUCOUP d’unités.
Les graphismes de Times of Conflict sont plutôt originaux, puisqu’ils mélangent modèles 3D pour les bâtiments, véhicules et éléments de relief de la carte avec des sprites en 2D pour l’infanterie et certains éléments de décor. De ce fait, le jeu encaisse sans problèmes des batailles avec un très grand nombre de troupes, avec des effets visuels franchement pas trop mal pour l’époque. Après, on aimera ou pas ce mélange graphique, mais à titre personnel je trouve que ça donne un certain charme au jeu. Et compte tenu de la petite équipe derrière,Eugen Systems a abattu un travail impressionnant, surtout quand on prend en compte le fait que c'est littéralement leur premier projet ! Bon, bien sûr, Times of Conflict n’est pas parfait, et pour moi le point le plus dommageable du jeu, c’est son absence de tutoriel : si vous voulez apprendre à jouer, il va falloir lire le manuel avec attention, sinon vous allez vous retrouver devant votre écran comme une poule devant un couteau. Le jeu possède aussi une caméra un peu capricieuse, et la mini-carte peut se révéler fastidieuse à manipuler.

Alors certes, Times of Conflict n’est pas le jeu de l’année 2000, ni même le STR de l’année 2000. Il possède trop de petits défauts qui l’éjectent automatiquement de la compétition, cependant il reste un petit titre très intéressant à essayer, d’autant plus qu’il marque les débuts dans l’industrie d’un studio qui enchaîne les sans-fautes ensuite, et ça, c’est pas rien. En plus, c’est français, ce serait donc dommage de ne pas jeter un œil à une petite production bien de chez nous qui en plus se paie le luxe d’être un bon titre. En tout cas, c’est mon avis, mais ça n’a pas été celui de l’intégralité de la presse spécialisée.
Si JeuxVideo.com note le jeu 16/20, Gen4 sera beaucoup plus sévère avec un 8/20. Pire encore, Gamekult sanctionne Times of Conflict avec un aberrant 2/10, assorti d’un test qui transpire la mauvaise foi et le rédacteur qui visiblement avait passé une très très mauvaise journée et a décidé de se venger sur le premier jeu venu en pondant un test assassin. Franchement, Gamekult, déjà que votre test de Far Gate frisait les limites de la stupidité, là avec Times of Conflict c’est juste ridicule, au point que je me demande si vous n’aviez pas juste des comptes à régler avec Microïds à l’époque. D’ailleurs Microïds (ou Eugen Systems, d’ailleurs), si vous passez par là, ce serait bien de remettre le jeu sur Steam ou GoG, non ? Il est bien ce jeu, alors c’est dommage de le laisser croupir dans sa version physique de l’époque…Mais heureusement, Abandonware France est là pour vous en faire profiter, avec en plus une version automatique bien huilée.

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