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Introduction
En l’an de grâce 1998, les jeux de stratégie en temps réel sont en plein boum. Les sorties de Dark Reign, Total Annihilation ou encore du premier Age of Empires en 1997 ne vont pas décourager les éditeurs quant au fait de proposer des titres innovants et intéressants dès l’année suivante, avec la sortie du mastodonte StarCraft mais aussi de Dune 2000. Mais c’est aussi l’occasion pour de petits éditeurs de proposer des titres plus confidentiels mais tout aussi qualitatifs, comme le très intrigant La Guerre des mondes ou encore K.K.N.D. II : Krossfire. Au milieu de cette concurrence acharnée, l’éditeur néerlandais Midas Interactive débarque via sa filiale Arena Games avec Echelon - Explore, Discover & Eliminate (que je vais juste appeler Echelon pour le reste de la fiche, bien qu’il ne faille pas confondre le jeu avec le jeu de tir Echelon sorti en 2001), un STR sorti dans l’indifférence la plus totale et développé par le studio Digital Reality à qui l'on doit la série Imperium Galactica entre autres.
Le désert du fun
Si j’en crois l’arrière de la boîte (en français, s’il vous plaît !), le jeu nous propose une aventure dans un univers de science-fiction “différent”. Oui, les guillemets sont bien sur le texte original, je n’invente rien, à croire qu’il s’agit presque d’une preuve d’auto-dérision de la part de l’équipe de traduction. Nous sommes sur la planète Ring World, et trois factions viennent se mettre sur la face pour le contrôle des ressources : les barbares Trasks, les sages Eriins et les ingénieux Aruthas. Si cela vous rappelle quelque chose, c’est parce que le scénario du jeu, dans ses factions et sa tentative de création d’univers semble grandement s’inspirer de Dune II : Battle for Arrakis et des trois maisons jouables dans le titre de Westwood Studios, à savoir les Atréides (Eriins), les Harkonnens (Trasks) et les Ordos (Aruthas).
D’ailleurs le jeu ne s’embarrasse pas de ces fioritures que sont les cinématiques d’introduction, les descriptions des unités, ou même le tutoriel. Ici, vous êtes lâchés dans le menu principal, vous choisissez une faction, et en avant la musique pour un total incroyable de 5 MISSIONS par faction. Oui, 5 petites missions, autant dire que le contenu est plutôt chiche pour le mode campagne. Peut-être que le mode escarmouche rattrapera le ...-Comment ça, pas de mode escarmouche contre l’IA ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Et pas de mode multijoueurs non plus ?! Et bah ça va être vite vu au moins… Oui, le contenu d’Echelon dépasse à peine celui d’une démo de magazine vendue au prix fort. Je ne sais pas à combien Midas Interactive vendait ce jeu à l’époque, mais même pour 20 francs ( 3 euros pour les moins de 20 ans, NDLR) ce serait déjà trop cher… En plus, la boîte est plus grosse qu’un format Big Box standard, ce qui fait que telle une grosse tâche rougeâtre, elle prend une place beaucoup trop importante compte tenu de la qualité de son contenu sur mon étagère !
Bon, vous l’aurez compris, j’essaie de meubler autant que faire se peut parce que le jeu ne propose absolument rien qui justifie que l’on y consacre plus de 15 minutes, à moins d’être… Moi qui passe beaucoup trop de temps sur des titres qui n’en valent absolument pas la peine. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour la préservation du patrimoine vidéoludique, j’vous jure… Indigne d’un projet étudiant, Echelon n’est qu’un clone de Command & Conquer / Dune 2000 qui n’a même pas pour lui un univers original ou rigolo comme The Aztec et se contente juste d’être un jeu vide, chiant de par son rythme extrêmement lent et qui en plus se targue d’être frustrant car l’intelligence artificielle ne semble connaître que le rush de début de partie comme stratégie viable, ce qui en l’absence de tutoriel vous met face à un mur dès la seconde mission de n’importe laquelle des trois campagnes ! Oubliez les lignes de dialogues doublées, elles sont absentes, ou encore la musique, qui a le mérite de ne pas vriller les tympans mais qui est générique au possible.
Conclusion
Vous voulez vraiment essayer ce jeu ? Et bien, il est disponible ici, sur le site, mais je ne vous le conseille pas. Pour son absence totale d’intérêt et pour être un des STR les plus vides en termes de contenu que j’ai pu voir, il mérite amplement son Abandonware de Plomb ! Côté presse spécialisée, la seule critique en anglais parle d’un titre vraiment très basique et qui n’intéressera que les novices du genre avant de s’essayer à des titres plus complexes, mais même en tant que titre d’introduction au genre, Echelon se ramasse complètement du fait de son absence de tutoriel et de son IA impitoyable. Allez, à la poubelle !
Lancement
Le titre bénéficie d'une version automatiqu pour vous éviter de vous lancer dans l'émulation de Win 9x ou XP : Téléchargez, installez et jouez.
Complétez cette fiche
Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.
Des questions ? besoin d'aide ?
Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

En l’an de grâce 1998, les jeux de stratégie en temps réel sont en plein boum. Les sorties de Dark Reign, Total Annihilation ou encore du premier Age of Empires en 1997 ne vont pas décourager les éditeurs quant au fait de proposer des titres innovants et intéressants dès l’année suivante, avec la sortie du mastodonte StarCraft mais aussi de Dune 2000. Mais c’est aussi l’occasion pour de petits éditeurs de proposer des titres plus confidentiels mais tout aussi qualitatifs, comme le très intrigant La Guerre des mondes ou encore K.K.N.D. II : Krossfire. Au milieu de cette concurrence acharnée, l’éditeur néerlandais Midas Interactive débarque via sa filiale Arena Games avec Echelon - Explore, Discover & Eliminate (que je vais juste appeler Echelon pour le reste de la fiche, bien qu’il ne faille pas confondre le jeu avec le jeu de tir Echelon sorti en 2001), un STR sorti dans l’indifférence la plus totale et développé par le studio Digital Reality à qui l'on doit la série Imperium Galactica entre autres.

Si j’en crois l’arrière de la boîte (en français, s’il vous plaît !), le jeu nous propose une aventure dans un univers de science-fiction “différent”. Oui, les guillemets sont bien sur le texte original, je n’invente rien, à croire qu’il s’agit presque d’une preuve d’auto-dérision de la part de l’équipe de traduction. Nous sommes sur la planète Ring World, et trois factions viennent se mettre sur la face pour le contrôle des ressources : les barbares Trasks, les sages Eriins et les ingénieux Aruthas. Si cela vous rappelle quelque chose, c’est parce que le scénario du jeu, dans ses factions et sa tentative de création d’univers semble grandement s’inspirer de Dune II : Battle for Arrakis et des trois maisons jouables dans le titre de Westwood Studios, à savoir les Atréides (Eriins), les Harkonnens (Trasks) et les Ordos (Aruthas).
D’ailleurs le jeu ne s’embarrasse pas de ces fioritures que sont les cinématiques d’introduction, les descriptions des unités, ou même le tutoriel. Ici, vous êtes lâchés dans le menu principal, vous choisissez une faction, et en avant la musique pour un total incroyable de 5 MISSIONS par faction. Oui, 5 petites missions, autant dire que le contenu est plutôt chiche pour le mode campagne. Peut-être que le mode escarmouche rattrapera le ...-Comment ça, pas de mode escarmouche contre l’IA ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Et pas de mode multijoueurs non plus ?! Et bah ça va être vite vu au moins… Oui, le contenu d’Echelon dépasse à peine celui d’une démo de magazine vendue au prix fort. Je ne sais pas à combien Midas Interactive vendait ce jeu à l’époque, mais même pour 20 francs ( 3 euros pour les moins de 20 ans, NDLR) ce serait déjà trop cher… En plus, la boîte est plus grosse qu’un format Big Box standard, ce qui fait que telle une grosse tâche rougeâtre, elle prend une place beaucoup trop importante compte tenu de la qualité de son contenu sur mon étagère !
Bon, vous l’aurez compris, j’essaie de meubler autant que faire se peut parce que le jeu ne propose absolument rien qui justifie que l’on y consacre plus de 15 minutes, à moins d’être… Moi qui passe beaucoup trop de temps sur des titres qui n’en valent absolument pas la peine. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour la préservation du patrimoine vidéoludique, j’vous jure… Indigne d’un projet étudiant, Echelon n’est qu’un clone de Command & Conquer / Dune 2000 qui n’a même pas pour lui un univers original ou rigolo comme The Aztec et se contente juste d’être un jeu vide, chiant de par son rythme extrêmement lent et qui en plus se targue d’être frustrant car l’intelligence artificielle ne semble connaître que le rush de début de partie comme stratégie viable, ce qui en l’absence de tutoriel vous met face à un mur dès la seconde mission de n’importe laquelle des trois campagnes ! Oubliez les lignes de dialogues doublées, elles sont absentes, ou encore la musique, qui a le mérite de ne pas vriller les tympans mais qui est générique au possible.

Vous voulez vraiment essayer ce jeu ? Et bien, il est disponible ici, sur le site, mais je ne vous le conseille pas. Pour son absence totale d’intérêt et pour être un des STR les plus vides en termes de contenu que j’ai pu voir, il mérite amplement son Abandonware de Plomb ! Côté presse spécialisée, la seule critique en anglais parle d’un titre vraiment très basique et qui n’intéressera que les novices du genre avant de s’essayer à des titres plus complexes, mais même en tant que titre d’introduction au genre, Echelon se ramasse complètement du fait de son absence de tutoriel et de son IA impitoyable. Allez, à la poubelle !

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